Mercantilistes Physiocrates Classiques Et Néoclassiques

démarche normative et la démarche positive. Introduction à l’Economie Ridha CHKOUNDALI 3 CHAPITRE 3 - HISTOIRE DE LA PENSEE ECONOMIQUE Section 1 – Le discours de l’économie politique 1) La pensée Mercantiliste 2) Le libéralisme a) Les physiocrates b) Les classiques c) Les néoclassiques 3) La théorie de l’intervention de l’Etat : Keynes Section 2 – Le discours critique de l’économie politique : Le socialisme CHAPITRE 4 – PRESENTATION DE L’ACTIVITE ECONOMIQUE Section 1 - Les agents économiques

concepts d’économie - Principaux concepts de gestion - Principaux concepts des méthodes quantitatives SEMESTRE 2 S2M1 : Macroéconomie II - Demande agrégée - Offre agrégée - Niveau général des prix - L’équilibre macroéconomique chez les classiques - L’équilibre macroéconomique chez Keynes - Le modèle IS-LM S2M2 : Microéconomie II - La théorie des prix - L’équilibre des marchés parfaits - L’équilibre des marchés imparfaits - Théorie des marchés et théorie des jeux de stratégie - La

dans ce chapitre aux théories néo-classiques et keynésiennes de l'équilibre. Section1: La théorie néo-classique. Mercantiliste  Physiocrate  Classique  Marxiste  Néoclassique  Keynésien  Néolibéraux Interventionniste Libéraux Libéraux Socialistes Libéraux Interventionnistes Libéralisme Libéralisme sauvage 1929 Intervention 1980 Les économistes néo-classiques dont la théorie a émergée dans les années 1870 ont voulus démontré la justesse des thèses classiques concernant le capitalisme, mais

– La démarche normative et la démarche positive. 2 Introduction à l’Economie Ridha CHKOUNDALI CHAPITRE 3 - HISTOIRE DE LA PENSEE ECONOMIQUE Section 1 – Le discours de l’économie politique 1) La pensée Mercantiliste 2) Le libéralisme a) Les physiocrates b) Les classiques c) Les néoclassiques 3) La théorie de l’intervention de l’Etat : Keynes Section 2 – Le discours critique de l’économie politique : Le socialisme CHAPITRE 4 – PRESENTATION DE L’ACTIVITE ECONOMIQUE Section 1 - Les agents économiques

la naissance de l’esprit laïc. La thèse soutenue par les mercantilistes est la suivant : l’Etat accroît sa force en favorisant l’enrichissement de ses citoyens et en particulier l’enrichissement des commerçants. Un Etat fort est un Etat riche, le nerf de la guerre sera donc l’argent. A partir de cette réflexion, l’intérêt de l’Etat sera mis en avant, par conséquent, il y a un abandon total des références à la morale et les mercantilistes sont des conseillers pour les souverains et c’est la première

la liberté des échanges. La Richesse des nations reste à ce jour un des ouvrages les plus importants de cette discipline (pour Amartya Sen, « le plus grand livre jamais écrit sur la vie économique[1] »). Il est le document fondateur de la théorie classique en économie comme sans aucun doute du libéralisme économique. GenèseAdam Smith entame la rédaction de la Richesse des nations en 1764, alors qu’il est tuteur d'Henry Scott, jeune duc de Buccleugh alors âgé de 18 ans (charge pour laquelle il est

sur 22 Paragraphe 1 : La doctrine 1)Définition. Là ce qui compte, c’est le réel. En effet, une conception classique du gouvernement bien organisé, l’Etat doit être riche et les citoyens pauvres. Si un Etat veut être riche, il faut que ces citoyens soient riches. Il fait du mercantilisme, c’est la théorie de l’enrichissement des nations par l’accumulation de métaux précieux. Les mercantilistes croient en la prééminence de la richesse monétaire. La seconde idée, c’est que l’Etat doit jouer u rôle actif

montée en puissance se fera progressivement au fil des siècles et dès le 16ème/17ème, les économistes posent la question du rôle de l’Etat dans la vie éco ce qui donne lieu au prémices du débat sur l’intervention de l’Etat entre les mercantilistes et les physiocrates. Etat supporte plusieurs types de def : Conception juridique : Etat est une personne morale ce qui veut dire que l’Etat a des droits et des obligations à remplir, et exerce ces droits et ces obligations par l’intermédiaire d’agents

pensées pré-classiques (1), ensuite bien développées dans la pensée libérale classique (2) et puis ajustées avec la pensée socialiste (3), avant qu’elles soient infléchies par le libéralisme interventionniste (4). 1 - LA PENSEE FINANCIERE PRE-CLASSIQUE La pensée financière pré-classique remonte au xvi siècle. Elle a été conçue à ses origines par les mercantilistes (a) et reconsidérée ultérieurement par les physiocrates (b). a) La pensée financière mercantiliste La pensée mercantiliste s’étend

dans la moitié des cas ces opérations sont un échec. - Les concentrations remettent en cause les principes de la concurrence pure et parfaite. Chez les néoclassiques est la condition nécessaire à l’obtention d’un équilibre général et à l’atteinte d’une situation optimale au sens de Pareto. Donc la concurrence pure et parfaite est chez les néoclassique sinéquanone à l’efficacité des marchés. De plus, en situation de monopole ou d’oligopole, les entreprises bénéficient d’un pouvoir de marché et d’une