Mère Courage et ses enfants

femmes à l'époque et qui était donc très choquant. Elle actionne une machine à fabriquer des munitions. La femme au centre est en train d'allaiter son enfant et parle à sa fille qui est dos aux « spectateurs », elle lui tend une lettre, certainement du père qui se trouve à la guerre, elle représente l'occupation la plus naturelle des femmes:être mère. La femme en rouge à droite est courbée car son travail demande de l'effort, elle bêche son champ. En second plan, nous pouvons voir Marianne, elle

s’appeler Lauren Kline et être chez elle. Elle lui confie ensuite son secret : elle se trouve  dans le coma depuis six mois. Elle est donc dans un état proche de la mort, mais elle reste  néanmoins la propriétaire de l’appartement, même si c’est sa mère qui s’occupe des  questions administratives. Quand Arthur, très perturbé, lui demande de rentrer chez elle, elle  lui rappelle qu’il est son « locataire post­mortem » (p. 43). Elle reste donc. Elle lui raconte  ensuite qu’elle peut tout entendre autour d’elle et réussit

soldats Marseillais devant se rendre à Paris à pieds pour combattre les autrichiens, on chanté ce chant tout le long de leurs voyage. C’est dans se contexte de guerre que l’on a besoin d’un chant entraînant pour unir les soldats et leurss donner du courage. Arrivé à la capitale, les soldats chantaient toujours cette chanson. Les parisiens la renommèrent la Marseillaise. Cette chanson a eu un tel succès, que le ministre de la guerre l’a fait voté comme chant officiel. Histoire La Marseillaise a connut

femme de Siana -Ebila: mère de Siana -Kiessé: grand mère de Siana -Adila: ainée des tantes de Siana -Noeme: la cadette des tantes de Siana -Mbondo: ainé des oncles de Siana -Nguia: oncle de Siana -Solo: amie de Siana -Yengo: ami de Siana -Umangui: frere de la grand mere de Siana -Amie de Kiessé: la vielle femme originnaire de Kanigui. -la femme du colonel: mère de solo -le colonel: le père de solo Les personnages secondaires -Mbara: vieux lépreux -Enfant pecheur: petit garcon

son portrait physique et morale par  ses actions ses pensée et sa passivité , alors de ses 17ans à ses 46 ans on peut étudier  le personnage de jeanne à chaque étape de sa vie et définir ses rôles : comme une jeune  fille, une femme épouse, une mère et une grande mère :  Jeune fille : comme dit au dessué jeanne est le personnage principal, né d’une famille de  la petite noblesse de province, fille unique du baron Simon et de la Baronne Adélaide et  (elle) porte le nom de Jeanne le Perthuis des Vauds.  C’est une jeune fille âgée de 17 ans

Besançon, vieille ville espagnole, Jeté comme la graine au gré de l'air qui vole, Naquit d'un sang breton et lorrain à la fois Un enfant sans couleur, sans regard et sans voix ; Si débile qu'il fut, ainsi qu'une chimère, Abandonné de tous, excepté de sa mère, Et que son cou ployé comme un frêle roseau Fit faire en même temps sa bière et son berceau. Cet enfant que la vie effaçait de son livre, Et qui n'avait pas même un lendemain à vivre, C'est moi. Je vous dirai peut-être

grandissant, nous les admirons, que ce soit leur courage ou tout simplement parce qu’ils représentent un futur moi. Pour les jeunes enfants, les parents sont ceux qui peuvent et arrivent à tout faire : conduire une voiture, fabriquer des maquettes, cuisiner… Ils font des choses que nous n’avons pas encore le droit de faire et cela nous pousse à les idéaliser, les héroïser. Ils incarnent un idéal. Des parents peuvent être admirés par leurs enfants car ils ont vaincu une maladie comme le cancer, ont

| |Monsieur, quand il fallait que je fisse une lettre, | |C'est lui qui l'écrivait. Est-ce qu'on va se mettre | |A tuer les enfants maintenant ? Ah mon Dieu ! | |On est donc des brigands ! Je vous demande un peu, | |Il jouait ce matin, là, devant la fenêtre !

contemporains connaissent les épisodes de la vie de Néron et se sont déjà fait une image du tyran, ils sont donc exigeants. Les sources historiques et les historiens latins, comme Tacite, présentent Néron comme un prince veule et cruel qui fit assassiner sa mère et tua sa deuxième femme, Popée. Il décima la noblesse romaine et ordonna le suicide de son maître Sénèque. Cependant, ces évènements ne sont pas rapportés dans le Britannicus de Racine. Ils sont en germe d’où l’expression « monstre naissant ». Néron

Noël en famille. Désirant rassembler tous les siens à cette occasion, la mère va semer le doute chez sa fille rebelle : « Tu sais, ma chérie, la famille, c’est sacré. Nous vieillissons… Des Noël tous ensemble, il n’y en aura peut-être plus beaucoup… Ton frère, lui, revient spécialement de Londres… » Un cas classique de chantage affectif, assorti d’une menace implicite : « Si tu ne viens pas, nous serons très malheureux. » La mère adopte là le comportement type de la « victime » pour obtenir de l’autre