Mère Courage et ses enfants

depuis toujours la malédiction de « l’étoile double » sous laquelle il est né. Il a été frappé de cette malédiction suite à la visite, au château de ses parents, quelques mois avant sa naissance, d’un bel étranger aux yeux noirs qui a envouté sa mère par ses chants de bohémien. Oluf manifeste depuis sa naissance un tempérament fantasque, tantôt affable, tantôt violent. Pour l’amour de la belle châtelaine Brenda, qui le conjure de se débarrasser de sa mauvaise étoile, il combattra son double

tragique : la situation tragique oblige le héros à faire un choix et de ce choix dépend sa vie. = Andromaque, l’héroïne, est sommée de choisir entre la fidélité à son mari, mort, et la survie de son fils. L’enfant devient ici un moyen de pression sur la mère, pour exercer un chantage. Ce procédé est le propre des régimes dictatoriaux. Cette pièce est écrite en vers qui sont des alexandrins. III. Explication de l’extrait : Les premiers vers situent l’action : L’action se passe dans l’Antiquité légendaire

trivial, toujours semblable, et d'une nature à laquelle il soit impossible de se tromper, c'est l'amour maternel. Il est aussi difficile de supposer une mère sans amour maternel qu'une lumière sans chaleur; n'est-il donc pas parfaitement légitime d'attribuer à l'amour maternel toutes les actions et les paroles d'une mère, relatives à son enfant ? Et cependant, écoutez cette petite histoire, où j'ai été singulièrement mystifié par l'illusion la plus naturelle." Ma profession de peintre me pousse à

« Louange à vous, mères de tous les pays, louange à vous en votre soeur ma mère, en la majesté de ma mère morte. Mères de toute la terre, Nos Dames les mères, je vous salue, vieilles chéries, vous qui nous avez appris à faire les noeuds des lacets de nos souliers, qui nous avez appris à nous moucher, oui, qui nous avez montré qu’il faut souffler dans le mouchoir et y faire feufeu, comme vous nous disiez, vous, mères de tous les pays, vous qui patiemment enfourniez, cuillère après cuillère, la semoule

le poète Admiration du poète pour la muse « ô »  tonalité lyrique Tonalité affective marqué par le pronom «  tu » et l’allitération en M « ô muse de mon cœur amante des palais » La figure féminine glisse vers une représentation masculine «  un enfant de chœur » «  un saltimbanque » = superposition de la figure de la Muse et du poète, métaphore du saltimbanque souvent utilisé chez Baudelaire pour représenter le poète ( le spleen de Paris) C. L’inspiration du spleen La fonction traditionnelle

Pour commencer, se lancer dans une procédure d'adoption demande beaucoup de courage et de patience, sans être sûr de pouvoir un jour adopter. En effet, même si on possède tous les critères, il faut aussi avoir suffisamment d'argent. En effet, adopter a pour conséquence des privations matérielles, comme reporter les vacances, ne pas changer sa vieille voiture, etc. Il faut compter entre 10 000 et 15 000 euros (frais de voyage, de dossier, de traduction, dons à l'orphelinat, etc.). En outre, l'adoption

femmes dans le monde du travail n’a pas été reconnue avant longtemps. Ainsi, au début de la période de révolution industrielle, elles étaient encore invisibles, restreintes à leur image de femme idéale, identifiée à la maîtresse de maison, mère et éducatrice des enfants. Depuis les débuts de l’industrialisation et l’entrée dans l’Ere Moderne, leur image évolue. Les femmes commencent à occuper d’autres postes que ceux qui leur étaient traditionnellement réservés , dans le secteur agricole notamment. De

raçaisLE REGISTRE EPIQUE : amplifier des événementsEtymologie : du grec «epos » c’est-à-dire la parole célébrant les exploits souvent guerriers d’un héros.THEMES - L’état de guerre, la guerre car celle-ci offre l’occasion d’une mise en valeur du courage guerrier.GENRE - A l’origine, l’épopée s’inscrit dans le genre poétique (Homère), mais on le trouve aussi dans les romans, au théâtrePROCEDES, CARACTERISTIQUES - L’épique est créé par :• L’amplification• L’hyperbole• Les métaphores , les superlatifs

mentionnés, ainsi que certains détails, qui auraient permis l’identification des personnes concernées, ont été changés. À mes enfants À toutes ces femmes qui rêvent, en silence, de s’en sortir un jour. –7 – Préface J’ai reçu par un bel après-midi glacial de janvier le manuscrit de Samia Shariff. On m’expliquait sommairement que cette femme d’origine algérienne, mère de six enfants et vivant au Canada, y raconte sa tragédie et leur fuite risquée de son pays. Son éditeur me demandait d’abord de lire ce

prête à enquêter sur mes origines, sur les fantômes de mon passe. Au fur et à mesure que j’approche de l’ancienne ville ou à vécu ma mère et mon père, Yonville, une angoisse m’envahit comme si j’avais peur de découvrir la vérité. Après des adieux déchirants avec mon mari, je me suis mise enfin en route dans ce train bien décidée à enquêter sur l’histoire de ma mère dont j’ai à vrai dire peu de souvenirs tant j’étais jeune quand elle nous a quittée. Arrivée sur les lieux de mon enfance, j’ai éprouvé