Mères et Filles

ensuite l'amener chez une dame qui s'occupe de l'excision des filles. Khady n'est pas toute seule, il y a des cousines du Dakar qui sont avec elle, également accompagnées de leurs grands-mères respectives. Les grands-mères vont laisser leurs petites filles seules pour revenir à la fin de l'intervention. ( LIRE EXTRAIT PAGE 29 )Quand les petites filles sont enfin excisées, elles sont ramenées chez elle en compagnie de leurs grands-mères. Cette coutume, va donner naissance à certaines douleurs, l'enfant

Article « De la prévisibilité à la diversité des parcours? Le cas de jeunes mères ayant délaissé leurs études » Marc Molgat et Caroline Ringuet Service social, vol. 51, n° 1, 2004, p. 60-77. Pour citer cet article, utiliser l'adresse suivante : http://id.erudit.org/iderudit/012712ar Note : les règles d'écriture des références bibliographiques peuvent varier selon les différents domaines du savoir. Ce document est protégé par la loi sur le droit d'auteur. L'utilisation des services d'Érudit

utrefois, les femmes et les filles étaient considérées comme des objets, ou des gens qui n’avaient pas une très haute classe sociale. Alors, on s’habillait d’une manière très pudique, dont les vêtements remontaient jusqu’au cou. La beauté de la femme rayonnait par le visage, ainsi qu’avec sa personnalité. Aujourd’hui, les temps ont bien changé… Le monde du « show- business » à pris une place énorme dans la vie de nos jeunes, ça devient même un peu inquiétant. Les tenus « sexy » sont en tête de liste

comportements des parents, leur modèle d'éducation. Dans cet ouvrage, nous rencontrerons plutôt les témoignages des mères. Dans les trois premiers chapitres nous verrons les rapports des mères aux prescripteurs en s’intéressant d'avantage à la famille, aux spécialistes et aux livres. Dans le quatrième chapitre nous parlerons de l'évolution des pratiques et des figures de référence au fil des naissances. Puis dans le cinquième chapitre, nous parlerons du rapport aux prescriptions, de la contradiction

commun aux trois documents est la disparité entre les garçons et les filles, c'est-à-dire la différence entre ces deux ci. 2. Selon Nicolas Jonas, dans son essai consacré à la famille, la disparité entre garçons et filles dans les différentes filières d’enseignement s’explique que dans l’enseignement général, plus les filières sont valorisées, plus la proportion de garçons est importante. Dans l’enseignement technique, les filles sont surreprésentées dans les filières tertiaires et médico-sociales

Bard, Les Filles de Marianne : histoire des féminismes, 1914-1940, Paris, Fayard, 1995, p (...) 2Cette étude se concentre sur la représentation de ces enfants et de la figure dont ils dépendent, la mère de famille, dans les numéros publiés entre 1914 et 1940. Cette trame chronologique, justifiée notamment par le succès croissant du Petit Écho, correspond aussi au moment où la propagande repopulationniste est puissamment diffusée dans la société française. Cette recherche consacrée aux mères, aux filles

scolarisation des jeunes filles de milieu rural… B – LA PLACE DU SYSTEME EDUCATIF AU MAROC : Le Maroc n’a pas cessé depuis son indépendance en 1956 de développer le secteur de l’éducation. Ainsi, les finalités qui seront à la base de la politique marocaine en matière d’éducation furent énoncées : la gratuité de l’enseignement adoptée au lendemain de l’indépendance l’uniformisation des programmes la marocanisation du personnel enseignant la scolarisation des filles en milieu rural Néanmoins

femmes (1662) de Molière et L’Ecole des mères. (1732) de Marivaux. Ces deux pièces s’interpellent par la ressemblance du sujet traité. En effet dans les deux, il s’agit de l’éducation d’une jeune fille qui est justement faite en sorte pour que celle-ci reste la plus naïve et ignorante possible. En quoi l’éloignement volontaire de Marivaux par rapport au théâtre de Molière, que l’on peut voir à travers la comparaison de L’Ecole des femmes et de L’Ecole des mères reste une réforme et non une révolution

dissociée de la procréation. * Education et familles L’accès des filles à l’enseignement : Au XVIIIe siècle, l’instruction des filles était interdite pour ne pas les détourner de leur rôle au sein de la famille. Au XIXe, le principe st admis mais à condition que cette éducation reste différente et inférieure à celle des hommes. Sous l’impulsion du député Camille Sée (1847-1919), l’enseignement secondaire laïc s’ouvre aux filles en 1880, mais programmes ne comportent ni latin, ni grec, ni philosophie

Mme de Tourvel, Laclos critique l’éducation monastique. On se rend compte que les connaissances acquises au couvent ne sont  pas suffisantes pour la vie mondaine. Le personnage de Cécile illustre l’opinion de Laclos, selon lui, dans les couvents les filles n’apprennent rien d’utile et ignorent la vie mondaine, elles sont naïves, après être sorties du couvent, elles sont destinées à des mariages arrangés, elles doivent être vertueuses, fidèles et dévotes, tranquilles et obéissantes, elle l'avoue elle