Merleau Ponty Liberté

est donc le projet.  D'autre part, le travail permet aussi à l’homme de subvenir à ses besoins et désirs matériels : il permet ainsi de se libérer de la dépendance vis à vis de la nature (cf. cromagnon). Mais il semble aussi être  un facteur de liberté future : je travaille pour passer de bonnes vacances au soleil et pour avoir une bonne retraite. Mais une question se pose alors : l’organisation sociale que suppose le «perfectionnement» du travail ne conduit-elle pas nécessairement à une hiérarchisation

D’autre part, et à partir des acquis de la Critique de la raison pure, Kant élabore une philosophie morale profondément nouvelle qui part du concept de loi morale valable pour tout être raisonnable, universelle et nécessaire, et de son corrélat, la « liberté transcendantale ». Exposée en particulier dans la Critique de la raison pratique, l'éthique kantienne a été qualifiée de déontologique, c'est-à-dire qu'elle considère l'action en elle-même et le devoir ou obligation morale, indépendamment de toute

artistes qui exposent d’étranges objets dont on ne comprend ni le sens, ni la fonction, et qui grèvent les finances publiques, et enlaidissent le paysage urbain. Mais là n’est pas le problème : nous vivons dans un pays libre, et la liberté publique se reconnaît aussi à la liberté laissée aux artistes de créer selon leur imagination ! Au diable donc ces considérations mesquines qui laissent apercevoir le nez du commissaire politique qui voudrait embrigader l’art dans les bataillons de son idéologie préférée 

reproduction interne des phénomènes extérieurs, classés suivant la constance de leurs liaisons? (Boutroux, Contingence, 1874, p.99).Si la pensée ne mettait elle-même dans les choses ce qu'elle y trouvera ensuite, elle serait sans prises sur les choses (Merleau-Ponty, Phénoménol. perception, 1945, p.425).V. abstrait ex. 14, analogie ex. 10, distinguer A 3 ex. de Vuillemin, homme ex. 2, intelligence I A 1 c ex. de Lamarck, intelligent ex. 2: 4. Philosophes et linguistes se sont toujours accordés à reconnaître

toujours porte en germe le fanatisme, cette parole dogmatique et figée qui ne circule pas, qui ne s’expose pas mais s’impose. L’agora c’est l’espace où une parole horizontale se prend, se donne et s’échange, lieu de l’iségorie [ἰσηγορία], l’égale [ἴσος] liberté de parler publiquement [ἀγορευεῖν], c'est-à-dire l’égalité de droits dans un État démocratique. On notera le lien intime entre la laïcisation, la démocratisation et la libre circulation de la parole. La réflexion scientifique et philosophique accélère

facultés (jeunes enfants, malades mentaux et animaux). 11. Cs n’est pas seulement ce qui nous rappelle nos devoirs, elle revendique aussi des droits, en particulier la liberté de cs, càd le droit de professer les croyances de son choix. Ex : concept de laïcité en France avec respect de toutes les religions. Pas de liberté d’expression en Iran. 12. cogito pratique et théorique est-ce important ? cogito cartésien : je pense donc je suis 13. Husserl avec intentionnalité : cs

phénoménologie de Husserl, soutenue à Strasbourg en 1930. Levinas est le premier à introduire en France la pensée de Husserl et celle de Heidegger. De 1930 à 1940, il est le spécialiste incontesté de la phénoménologie allemande, montrant la voie à Sartre, Merleau-Ponty et Gabriel Marcel. c. Sa carrière : En 1930, Levinas est naturalisé français. Il s'installe à Paris et entre dans l'administration scolaire de l'Alliance Israélite Universelle (créée pour venir en aide aux Juifs de tout pays où ils n'avaient

s’explique par la cause qui précède. Une réalité absolue existe-t-elle ? Certains philosophes contemporains nient cette possibilité et considèrent comme Merleau-ponty que « le monde est ce que je vois » Mais Kant reconnaît l’existence d’une vérité absolue qui n’est pas accessible à la connaissance humaine. « Je ne saurais donc admettre Dieu, la liberté et l’immortalité selon le besoin qu’en a ma raison dans son usage pratique nécessaire sans repousser en même temps les prétentions de la raison pure à

frayés par d’autres, se gouvernent par imitation (…) ; aussi un homme sage doit-il suivre toujours les sentiers battus par les grands personnages »[41]. En revanche, le respect des lois (constitutions, règles, coutumes…) conduira les gouvernés à la liberté et au bien-être. A en croire C. Rousseau, Machiavel ne fait pas de distinction entre bonnes lois et mauvaises lois. Pour lui, toute loi est bonne à condition qu’elle ait une emprise de la force. « Des lois quasiment iniques ou absurdes ont de

Locke, Mill, Aron, etc.) qu'ils considèrent incapable de garantir la liberté individuel qui constitue pourtant son objectif premier et fragilise la société en favorisant l'individualisme. Ils expliquent que les libéraux considèrent la liberté comme une non-interférence : je suis libre à condition qu'on respecte mes droits fondamentaux et qu'on n'intervienne pas dans ma vie privée. Les républicains pensent, de leur coté, la liberté comme non domination. Il faut que tous soient librés, non menacés par