Merteuil Sympathie

par être amusée de ce petit incident, et en parla dans sa lettre à Sophie. Elle pense que quand elle sera mariée elle ne se servira pas de ce cordonier là. Pendant ce temps là, de l'autre côté de la ville, au Chateau de Stors, la marquise de Merteuil est assise dans son cabinet. Elle réfléchit. Elle doit écrire au Vicompte de Valmont. Elle se souvient lorsqu'ils étaient amants dans le passé. Beaucoup de choses les rapprochaient dont le fait que c'etait tout deux, deux libertins. Madame la Marquise

2 – Les Liaisons Dangereuses, Laclos Intro : Le texte que nous allons étudier est la lettre 127 de la marquise de Merteuil issue du roman épistolaire Les Liaisons Dangereuses ecrit par Laclos en 1782. Ce roman, principalement basé sur le pouvoir, l'intrigue et la séduction met en lumière deux libertins de la haute société : Le vicomte de Vlamont et la marquise de Merteuil, anciens amants et toujours complices, excellent dans l'art de la manipulation pour débaucher (salir la réputation) de jeunes

du roman. Voulant se venger de son amant le comte de Gercourt, la marquise de Merteuil décide de détruire le mariage de celui-ci et de Cécile de Volanges. Elle demande alors de l'aide au vicomte de Valmont son complice libertin. Mais celui-ci refuse et préfère séduire la présidente de Tourvel, qui est, d'après lui, un "défi" plus intéressant. La deuxième partie est contrôlée par les actes libertins de madame de Merteuil. Valmont quant à lui avance dans ses projets personnels. La marquise révèle à

D’Artagnan dans les trois mousquetaires d’Alexandre Dumas ex : Aragorn dans le Seigneur des Anneaux de Tolkien 3°) Des personnages qui cristallisent des réactions intenses chez le lecteur ex : Vautrin dans le Père Goriot de Balzac ex : la marquise de Merteuil dans les Liaisons dangereuses de Laclos II Des personnages plus humains, plus proches de nous 1°) Un souci de réalisme pour que le genre romanesque gagne ses lettres de noblesse ex : Marianne dans La Vie de Marianne de Marivaux ex : Une Vie de

se consacre à l'écriture. Vers 1778, il commence à rédiger son roman Les Liaisons dangereuses qu'il publie en 1782. Les Liaisons Dangereuses est un roman épistolaire mettant en scène le déroulé du plan machiavélique des deux libertins, Madame de Merteuil et le Vicomte de Valmont. Le succès est assuré, mais le scandale aussi, son roman allant, d'après certain, à l'encontre des Lumières. Peut-on alors dire que les personnages de ce roman sont le reflet d'une société ? Étudions comment Laclos à travers

→Polyphonie énonciative. →Superposition des discours d’Odette, de Swann/Narrateur. →Vision pessimiste de l’amour qui est mensonges et trahisons. →Points communs des Liaisons Dangereuses ⇾ Relations humaines: un jeu de dupes. Par contre, La Marquise de Merteuil est rompue à l’art de la dissimulation alors qu’Odette est une menteuse maladroite. (l.9 à 11)

Quel vision du héros de roman est donné aux lecteurs à travers le vicomte Le vicomte de Valmont se présente comme étant un homme très raffiné avec une penchant libertin très assumé. On ressent qu'il est follement attiré par la marquise de Merteuil et qu'il est prêt à tous les paris fous pour atteindre son objectif qui est qu'elle redevienne sa maîtresse. Il est très sûr de lui même mais il ne conçoit pas la duperie de la marquise. 4) Définissions du libertinage : Le libertinage représente

principal, le romancier doit crééun passé a son personnage puis un caractère fort pour pouvoir avoir une modification intensedans l’intrigue dans les différents problèmes du roman. Dans les Liaisons Dangereuses, dans la lettre 81 que fait la Marquise de Merteuil au Vicomte de Valmont, on a un portrait qui reflèteune rentrée au monde, déjà avec se portrait on peut y avoir une image claire sur le future de cette Marquise et l’évolution positif ou négatif qu’aura cette Marquise.De même un portrait moral est

évidents du personnage est de dénoncer la société de l’époque de l’auteur. C’est à travers le personnage et sa façon d’interpréter les choses, qu’on arrive au point de vue du romancier. On peut observer cela à travers le portrait de la marquise de Merteuil, dans Les Liaisons Dangereuses de Choderlos Laclos, où la lettre qui présente son autoportrait, est l’image de la société libertine du 18ème siècle. Un autre exemple, est celui de Madame Bovary de Gustave Flaubert, où l’auteur dénonce la dure réalité

Choderlos de Laclos, Les liaisons dangereuses (1782) Madame de Merteuil répond ici à son ami le comte de Valmont qui a tenté de la mettre en garde contre les dangers d'une liaison avec un autre célèbre libertin. Elle est offensée qu'il ait pu la suspecter de faiblesse. Si cependant vous m'avez vue, disposant des événements et des opinions, faire de ces hommes si redoutables le jouet de de mes caprices ou de mes fantaisies ; ôter aux uns la volonté, aux autres la puissance de me nuire ; si j'ai