Mes Aïeux

parents le reste de son âge ! Quand reverrai-je, hélas, de mon petit village Fumer la cheminée, et en quelle saison Reverrai-je le clos de ma pauvre maison, Qui m'est une province, et beaucoup davantage ? Plus me plaît le séjour qu'ont bâti mes aïeux, Que des palais Romains le front audacieux, Plus que le marbre dur me plaît l'ardoise fine : Plus mon Loir gaulois, que le Tibre latin, Plus mon petit Liré, que le mont Palatin, Et plus que l'air marin la doulceur angevine «  Heureux qui, comme

* Les aïeux sont gardien de la culture. Ils sont persuadés que leurs descendants vont connaitre la même vie qu’eux. Pour Mead, la culture se transmet des aïeux vers les parents, des parents vers les enfants. Mode de transmission de la culture qui est linéaire, continue. Ce premier type de transmission de la culture est le fait des sociétés non modernes. C’est la culture POSTFIGURATIVE. LES SOCIETES MODERNES : * Société qui change, culture en mutation progressive. Les aïeux ont disparu

il raille l’âge d’or en le traitant de manière très familière, tout comme au vers 31 : « nos bons aïeux ». Il cherche à montrer que ce passé regretté par certains de ses contemporains est peu enviable, en employant des hyperboles : « Ils n’avaient rien, / Ils étaient nus » (v. 33-34), « Sobres étaient » (v. 36). Il met ainsi en évidence la vie austère que devaient mener les premiers hommes, « nos aïeux ». B – Innocence ou ignorance ? Voltaire personnifie la nature de l’âge d’or, qui devient enfant

parents le reste de son âge ! Quand reverrai-je, hélas, de mon petit village Fumer la cheminée, et en quelle saison Reverrai-je le clos de ma pauvre maison, Qui m'est une province, et beaucoup davantage ? Plus me plaît le séjour qu'ont bâti mes aïeux, Que des palais Romains le front audacieux, Plus que le marbre dur me plaît l'ardoise fine : Plus mon Loir gaulois, que le Tibre latin, Plus mon petit Liré, que le mont Palatin, Et plus que l'air marin la douceur angevine. Ce poème a été

vierges arrivent ,l'une d'elles sera choisie et elle sera sacrifiée. Les adolescentes mènent les jeux mythiques et cherchent la grande voie. On glorifie, on acclame celle qui fut désignée pour être livrée aux Dieux. On appelle les Aïeux, témoins vénérés. Et les sages aïeux des hommes contemplent le sacrifice. Larilo ressemble à des loups d'après l 'interprétation d'Igor Stravinsy. Larilo est le dieu de la nature dans la mythologie slave. La jeune vierge sera dévorée par les loups.Les loups choisissent

5- Quand reverrai-je, hélas, de mon petit village Fumer la cheminée, et en quelle saison Reverrai-je le clos de ma pauvre maison, Qui m'est une province, et beaucoup davantage ? Plus me plaît le séjour qu'ont bâti mes aïeux, 10- Que des palais Romains le front audacieux, Plus que le marbre dur me plaît l'ardoise fine : Plus mon Loir gaulois, que le Tibre latin, Plus mon petit Liré, que le mont Palatin Et plus que l'air marin la doulceur

comparant ce qui renforce leur contraste. Notons que le comparé réfère au pays natal de Du Bellay et le comparant à Rome. Les comparaisons sont en elles-mêmes inégales et fortement subjectives. Ainsi la première oppose-t-elle" le séjour qu'ont bâti mes aïeux" au "front audacieux". Le terme de "séjour" ne réfère pas à un lieu désigné comme tel, mais selon son usage, un lieu où l'on séjourne, où l'on vit. Il s'oppose au "front", c'est-à-dire au fronton ou plutôt à la façade des palais romains. Que la façade

v.2, « Ulysse » v.1, mes aïeux » v.9, « palais romains » v.10, « marbre dur » v.11 3) La référence a la langue latine : On remarque l’utilisation d’une syntaxe latine, visible dans les deux quatrains : l’apostrophe « quand reverrai-je » v.5, la question rhétorique, qui va de « quand reverrai-je » v.5, à « et beaucoup davantage ? » v.8, et enfin les périphrases : « Heureux, qui comme » v.1, « ou comme celui-là » v.2 et « plus me plait le séjour qu’on bâti mes aïeux » v.9, qui fait référence

parents le reste de son âge !5 Quand reverrai-je, hélas, de mon petit village6 Fumer la cheminée, et en quelle saison7 Reverrai-je le clos de ma pauvre maison,8 Qui m'est une province et beaucoup davantage ?9 Plus me plaît le séjour qu'ont bâti mes aïeux,10 Que des palais romains le front audacieux,11 Plus que le marbre dur me plaît l'ardoise fine;12 Plus mon Loire gaulois que le Tibre latin,13 Plus mon petit Liré que le mont Palatin,14 Et plus que l'air marin la douceur angevine.

d'interrogation à la fin du deuxième quatrain renforce l'idée de nostalgie car il ne sait pas quand il va rentrer III)Opposition Liré/Rome 2 tercets - "séjour..aïeux"/ "palais....audacieux" v9/10 : oppose la convivialité de sa maison natale construite par sa famille avec l'impersonnalité des palais romains. - périphrase "séjour...aïeux" - césures à l'hémistiche du dernier tercets symbolisent toute l'opposition des lieux. Conclusion: Les poètes aspirent tous au voyage mais le voyage