Mes Aïeux

voulons pas retourner à la féodalité » […]. Les royalistes s’écrient « Nous ne voulons pas, de constitution en constitution, nous égarer dans de vains systèmes, abandonner ces idées morales et religieuses qui ont fait la gloire et le bonheur de nos aïeux. » Aucun de ces excès n’est à craindre dans l’espèce de monarchie rétablie par le roi. […] La Charte, […] c’est un traité où chacun des deux abandonne quelque chose de ses prétentions pour concourir à la gloire de la Patrie. » François-René

une requête en rectification de ses actes de naissance et de mariage, de ceux de son père, grand père et de son arrière grand-père ainsi que des actes de naissance de ses enfants et de son époux. Elle fonde sa demande sur le fait que le nom de ses aïeux,  « Charles de la B. », a subi deux erreurs à travers le temps pour devenir le nom actuel de « D ». Le tribunal de grande instance puis la cour d’appel déboutent Mme D épouse V au motif que les ascendants de la requérante, qui ont volontairement

from every mountainside, let freedom ring!" »     — « tous les enfants de Dieu pourront chanter avec un sens nouveau cette chanson patriotique, « Mon pays, c'est de toi, douce patrie de la liberté, c'est de toi que je chante. Terre où reposent mes aïeux, fierté des pèlerins, de chaque montagne, que la liberté retentisse ! » Enfin, aux mots du vieux negro spiritual Free at Last : « Free at last! Free at last! Thank God Almighty, we are free at last! »     — « Enfin libres ! Enfin libres ! Dieu

1) Un Roi humaniste 2) .. Qui fait preuve de bon sens aussi 1) Gargantua illustre des valeurs typiquement humaniste a) l'éducation l.8 : ''la mansuétude'', ''générosité'' l.6, ''sagesse'' l.2 → références aux ancêtres ''nos pères aïeux..'' l.1, ''rappeler'' l.8 : souvenirs d'exemples du passé : légitimité, reconnaissance ; il veut faire honneur à ses ancêtres. l.31 à 44 → Ponocrates + princes âgés → expérience : ils peuvent bien enseigner → faire un roi accompli et autonome →

description de l'âge de fer. Dans les quatre premiers vers, c'est une présentation méliorative que Voltaire réalise, qui est en réalité une satire. On peut voir effectivement une antiphrase entre les termes « le bon vieux temps » (vers 1) et « nos bons aïeux » (vers 31), il s'agit ici d'un mythe du paradis perdu. L'emploi du terme « bon » est en réalité ironique. On a également une anaphore et un effet de polysyndète aux vers 2, 3 et 4 (« et l'âge d'or, et le règne d'Astrée, et les beaux jours de Saturne

le même milieu naturel, ils sont donc soumis aux mêmes contraintes du milieu naturel. À leur tour, ils doivent répéter les mêmes gestes avantageux que leurs prédécesseurs, sauf qu’ils y sont un peu mieux préparés par l’héritage biologique de leurs aïeux. Ainsi, ils continueront à « sur-utiliser » les mêmes organes et à « sous-utiliser » les mêmes autres organes. Sur de longues périodes de temps, il en résulte des transformations visibles : l’espèce évolue, elle s’adapte de mieux en mieux à son milieu

adverbes ou locutions temporelles "toujours", "de tout temps", " de siècle en siècle". Priam fait remarquer à sa belle-fille Andromaque et, à travers elle, aux autres femmes, le caractère quasi normal de la guerre : "vos maris et vos pères et vos aïeux furent des guerriers"; la répétition de la conjonction "et" crée isi un effet d'accumulation qui laisse à penser que la guerre est inéluctable. La guerre engendre évidemment de graves conséquences. La plus évidente et présente dans tous les textes

Tantale et d’Atrée, appartient à une famille maudite. Ses ancêtres ont provoqué les dieux et une fatalité pèse sur la lignée ; violence et haine régissent les rapports de ces Atrides. Clytemnestre accuse d’ailleurs son mari de la même cruauté que ses aïeux. L’enjeu du sacrifice d’Iphigénie, la guerre à Troie, est aussi la conséquence de l’emprise des dieux. Vénus est à l’origine de l’amour de Pâris pour Hélène, cette Hélène blâmée par sa sœur Clytemnestre. Agamemnon et Ménélas n’ont d’autre choix que

l’expression « bon temps » mais alors que dans le vers 21 lauteur fait l’éloge du temps present, le vers 1 est construit sur une antiphrase.. On remarque egalement que voltaire fait preuve de pitié lorqui’il parle des habitants de l’age d’or. « nos bon aieux » Vers 11 la propreté, le gout, les ennemies vers 18 l’or de la terre et les trésors de l’ordre. La repetition de la sonorité « or »… Le ton badin : Indice de l’ironie : « regrettera qui veut le bion vieux temps l’1. « Ce temps profane… » l.8

parents le reste de son âge ! Quand reverrai-je, hélas, de mon petit village Fumer la cheminée, et en quelle saison Reverrai-je le clos de ma pauvre maison, Qui m’est une province, et beaucoup davantage ? Plus me plaît le séjour qu’ont bâti mes aïeux, Que des palais Romains le front audacieux, Plus que le marbre dur me plaît l’ardoise fine : Plus mon Loir gaulois, que le Tibre latin, Plus mon petit Liré, que le mont Palatin, Et plus que l’air marin la doulceur angevine. Un hémisphère dans