Mes Aïeux

catholiques et les élèves doivent porter des uniformes. Les canadiens sont très patriotes et chantent l’hymne national tous les matins. Dans les établissements privées, une prières est récitée chaque jour. Hymne en français : Ô Canada ! Terre de nos aiëux, Ton front est ceint de fleurons glorieux ! Car ton bras sait porter l’épée, Il sait porter la croix ! Ton histoire est une épopée Des plus brillants exploits. Et ta valeur, de foi trempée, Protégera nos foyers et nos droits. Protégera nos

liberté ensemble, sachant qu'un jour nous serons libres. Et ce sera le jour, ce sera le jour où tous les enfants de Dieu pourront chanter avec une signification nouvelle:"Ma patrie c'est toi, douce terre de liberté, c'est toi que je chante. Terre où mes aïeux sont morts, terre fierté du Pélerin; que du versant de chaque montagne retentisse le carillon de la liberté." Et si le destin de l'Amérique est d'être une grande nation, tout cela doit devenir vrai. Que la liberté retentisse donc des collines prodigieuses

le jour, après minuit. Sur les collines sont les pierres consacrées. Les adolescentes mènent les jeux mythiques et cherchent la grande voie. On glorifie, on acclame Celle qui fut désignée pour être livrée aux Dieux. On appelle les Aïeux, témoins vénérés. Et les sages aïeux des hommes contemplent le sacrifice. C'est ainsi qu'on sacrifie à Iarilo, le magnifique, le flamboyant[5] [dans la mythologie slave, Iarilo est le dieu de la nature]. » Chacun des deux grands tableaux débute par une introduction

parents le reste de son âge ! Quand reverrai-je, hélas, de mon petit village Fumer la cheminée, et en quelle saison Reverrai-je le clos de ma pauvre maison, Qui m'est une province, et beaucoup davantage ? Plus me plaît le séjour qu'ont bâti mes aïeux, Que des palais Romains le front audacieux, Plus que le marbre dur me plaît l'ardoise fine : Plus mon Loir gaulois, que le Tibre latin, Plus mon petit Liré, que le mont Palatin, Et plus que l'air marin la doulceur angevine. Joachim Du Bellay

faire le choix entre deux prétendants de sa fille se base très largement sur la filiation pour se décider : ‘’ tous deux formés d’un sang noble, vaillant, fidèle, jeunes, mais qui font lire aisément dans leur yeux l’éclatante vertu de leurs braves aïeux’’. Lorsque Rodrigue se présente en duel contre le compte (don Gomès), il évoque sa filiation ‘’cette ardeur que dans les yeux je porte, sais-tu que c’est son sang ? le sais-tu ? . De plus, don Diègue considère le soufflet de don Gomès comme un outrage

bien que la suivante. Les relations entre les deux générations du roman : 1- Le père : pédagogue sage et avisé soucieux de l’avenir de ses enfants Les connaissances que le père transmet à ses enfants sont : - la mémoire des aïeux et le respect qu’on leur doit (= valeurs morales) - la maîtrise de techniques manuelles de taille - les connaissances en zoologie -les connaissances en botanique Les caractéristiques de son enseignement sont : - les répétitions en début de phrase

« séjour », qui désigne l’intérieur, l’endroit où l’on vit, la chaleur avec le « front », qui désigne la façade, l’extérieur. L’adjectif « audacieux » avec ses quatre syllabes et sa diérèse, traduit la magnificence des palais romains et s’oppose aux « aïeux » au vers précédent qui évoquent la chaleur de la vie familiale. On a donc l’opposition entre un luxe impersonnel et une maison chaleureuse et agréable. Le « marbre » et l’ « ardoise » s’opposent par le prestige, le caractère résistant et la couleur

"angevine" -> féminin  - Liré -> inconnu -> obscurité intime / "mont Palatin"-> connu  - "air marin" (qualifie Rome car la ville est proche de la mer) -> salé rude / air angevin -> "douceur" Critique de Rome au profit de son pays natal Vers 9 "aïeux" fidèle au passé, aux racines Vers 11 "gaulois" -> pays, patrie, régionalisme différent de Rome, universaliste, qui veut tout posséder. Revendication patriotique contre envahissement de l'Italie, peut-être même nationaliste (avant on se sentait

diable diffère quant à sa stratégie utilisée, car dans le diable n'est pas rusé et prudent dans les deux oeuvres. Il serait intéressant de comparer ces portraits du diable datant du 19e siècle avec un portrait plus moderne, tel celui de Mes Aïeux dans leur chanson Le yabe est dans la cabane.

les traces de son père et se séparera de tous ses points d'ancrages. Il semblerait donc que chacun soit condamné à entreprendre et mener une déformation des exploits et prouesses réaliser par leurs ancêtres, tel que décrit par le groupe musical Mes Aïeux dans leur chanson “Dégénération”. Pourtant, tous ont tout de même tenter de suivre cette longue traînée d'efforts et d'exploits, quoi que chacun à sa vitesse, sachant probablement que le tonnerre ne frappe jamais deux fois au même endroit et qu'ils