Mes Filles Mes Filles Anastasie

Splendeurs et misères des courtisanes (1838-1847) Extrait d'évaluation : - Eh bien, lui dit le peintre, le père Goriot est éclopé. Bianchon là-haut près de lui. Le bonhomme a vu l'une de ses filles, la comtesse de Restaurama. Puis il a voulu sortir et sa maladie a empiré. La société va être privée d'un de ses beaux ornements. Rastignac s'élança vers l'escalier. - Hé ! Monsieur Eugène ! - Monsieur Eugène ! Madame vous appelle, cria Sylvie.

Défendre son point de vue sur les valeurs de la famille marocaine. | Production écrite | 1 heure | Le rôle du père dans la société marocaine. Sujet : « En vous référant à la sentimentalité de Goriot et en prenant compte de l’indifférence de ses filles à son égard, démontrez dans un texte argumentatif l’impossibilité pour une famille marocaine de négliger le pôle paternel. » | S’exprimer par écrit et défendre son point de vue sur une valeur sociale. | * Trouver des arguments à partir d’une

les bases de ce qui deviendra un véritable édifice : la Comédie humaine, construction littéraire unique en son genre, avec des liens entre les volumes, des passerelles, des renvois. C'est l'histoire du Père Goriot qui s'est ruiné pour ses filles. C'est aussi l'histoire de Rastignac qui veut faire partie de la haute société. C'est finalement l'histoire de Vautrin, qui pense qu'il faut atteindre ses objectifs, quels qu'en soient les moyens.Le roman se termine sur la mort misérable du Père Goriot

Splendeurs et misères des courtisanes (1838-1847) Extrait d'évaluation : - Eh bien, lui dit le peintre, le père Goriot est éclopé. Bianchon là-haut près de lui. Le bonhomme a vu l'une de ses filles, la comtesse de Restaurama. Puis il a voulu sortir et sa maladie a empiré. La société va être privée d'un de ses beaux ornements. Rastignac s'élança vers l'escalier. - Hé ! Monsieur Eugène ! - Monsieur Eugène ! Madame vous appelle

Le roman de Maylis de Kerangal est une fresque sur la vie, celle que l’on perd, celle que l’on reçoit. Le lecteur découvre à travers une galerie de portraits des destins croisés, des êtres qui vont se rejoindre autour d’un corps, celui de Simon. Le fil du récit nous entraîne dans un univers mystérieux où la vie et la mort se côtoient. L’étude de cette œuvre en classe de seconde est recommandée dans le cadre de l’enseignement d’exploration « Littérature et société ». Maylis de Kerangal aborde un grand

quête passionnée du bonheur, les héros stendhaliens, cyniques ou souriantes, refusent la médiocrité. Ces personnages sont nés pour être heureux. Ils entreprennent une continuelle chasse au bonheur qui constitue comme le fil rouge de leur existence. L’amour est associé au bonheur, mais ce bonheur réside plutôt dans une attitude fondamentale de l’homme : profiter le plus possible de l’instant qui passe (Lamartine). Mais le bonheur, ne s’attend pas passivement, il doit

mendiante. III. Lecture et explication de la consigne Rédigez un portrait en imitant celui de la comtesse Anastasie de Restaud IV. Travail individuel Donner à l’élève le temps de restituer le portrait Lecture des productions personnelles V. Travail Collectif Rédaction d’un portrait collectivement Traces écrites. Exemple Rédiger un portrait Support La comtesse Anastasie de Restaud, grande et bien faite, passait pour avoir l’une des plus jolies tailles de Paris. Figurez-vous,

péripécie  arrestation de Vautrin, Jacques Colin, trompe-la-mort  Projet de Goriot et de Rastignac de « commencer demain notre vie heureuse ». mot du père dénouement situation final 5 jours du 17 au 21 février 1820  violente dispute de ses 2 filles devant le père Goriot  apoclèpsie  Rastignac et Delphine au bal de Mme de Beauséant.  Bianchon et Rastignac s'occupe de Goriot  Mort de Goriot solitaire, le 20 février.  enterrement à "père la chaise" avec Bianchon et Rastignac Apport théorique

et jamais monotone de la scène infiniment variée du monde au XVIIIe siècle. Pour la première fois peut-être dans le roman, l’esprit fait vivre autant que la passion un récit sans cesse entrecoupé de fines réflexions qui viennent s’immiscer dans le fil de l’action sans pour autant jamais l’interrompre. Les représentations, les réflexions et les anecdotes s’y mêlent tout à la fois de façon charmante et opportune et s’appellent les unes les autres. Les caractères sont étudiés avec une minutie qui leur

vieillard, le père Goriot. Deux jeunes gens : Victorine Taillefer, une orpheline, et Eugène de Rastignac, un étudiant. C'est Rastignac qui révèle le mystère du père Goriot grâce à sa cousine, la vicomtesse de Beauséant. Goriot s'est ruiné pour ses filles : Anastasie de Restaud et Delphine de Nucingen. Mais celles-ci ont honte de leur père, enrichi sous la révolution dans la fabrication des pâtes alimentaires. Vautrin révèle à Rastignac les rouages de la société et les moyens de parvenir. Il veut faire