Mes Filles Mes Filles Anastasie

enfantés par la Révolution de juillet ; mais le pouvoir l’ennuie quelquefois, et il vient rire avec nous... » Goriot : Ancien vermicellier, qui s’est enrichi durant la révolution française. Il a gagné des milles et des cents. Il est veuf, il a deux filles. Ils les adorent, les aiment et ferait tout pour elles, il s’est même ruiné juste pour satisfaire leurs caprices d’enfant. Celle-ci ont désormais honte de lui et de ce qu’il est devenu mais lui se dit que c’est uniquement à cause de ses gendres qui

son honneur, droit → valeurs morales ex : les épopées d'Homère → L'Iliade et l'Odyssée. Or, la notion de héros évolue au fil des époques. Que reste-t-il du héros défini dans l'Antiquité dans des Romans du 19eme siècle ? Texte n°1 (p.53) : Le Père Goriot de Balzac (1835) Questions : Fiche d'identité d'un texte. 1. Qui ? Le père Goriot et ses deux filles, Anastasie et Delphine , le prêtre et Rastignac. 2. A qui ? Aux lecteurs 3. Quand ? Dans le années 1830, dans la journée 4. Où ? Dans

inspirée de certains personnages des légendes germaniques faisant le lien entre deux mondes – l’humain et le divin – (comme la reine de Saba, qui a le pied de chèvre) ; cela peut évoquer aussi sainte Berthe de Blangy, mère abbesse, dont l’une des filles, également sainte, s’appelle Emma ou Emme : la fille, Berthe, devient alors la mère de ses parents. Par ailleurs cette référence à Berthe au Grand Pied, si elle renvoie à un imaginaire légendaire et magique, rappelle évidemment la laideur (supposée)

toiles peintes mais des 10 drames vivants et muets, des drames glacés qui remuaient chaudement le cœur, des drames continus. La vieille demoiselle Michonneau gardait sur ses yeux fatigués un crasseux abat-jour en taffetas vert, cerclé par du fil d'archal qui aurait effarouché l'ange de la Pitié. Son châle à franges maigres et pleurardes semblait couvrir un squelette, tant les formes qu'il cachait étaient anguleuses. Quel acide avait dépouillé cette créature de ses formes féminines ? elle devait

leur apparence. Par exemple, le père Goriot en a souffert quand les autres pensionnaires l’accusaient de se ruiner à payer de jeunes et jolies dames de compagnie qui venaient lui rendre fréquemment visite. Pourtant, ces jeunes dames n’étaient que les filles de Goriot (page 50). Ils se sont donc trompés sur son compte. Un deuxième exemple prouve aussi que les pensionnaires ont des préjugés. Lorsque Rastignac arrive au début du roman dans la maison Vauquer, Vautrin le charrie parce qu’il vient de province

de la vie parisienne. Nous assistons aux deux derniers mois de Jean-Joachim Goriot, un vieil homme de soixante-dix ans, ancien négociant en vermicelle et pâtes d’Italie, qu’une folle passion pour ses filles, devenues par leur mariage des femmes du monde, mène à la déchéance et à la ruine. Anastasie de Restaud et Delphine de Nucingen méprisent leur père qui vit chichement dans une pension du quartier Latin  ; elles laisseront mourir seul, après avoir achevé de le dépouiller, sauf de ses illusions

est le personnage principal. Après avoir été rejeté de sa famille d’adoption, il va vouloir se venger sans états d’âmes et peut-être à tord de celle-ci. C’est aussi le cas pour Anastasie de restaud et Delphine de Nucingen, dans le père Goriot de Balzac, qui vont ignorer leur père, qui a tout sacrifié pour l’amour de ses filles. Elles vont par la suite le laisser mourir sans états d’âme et sans regrets. Thérèse raquin peut aussi bien être citée. Le livre éponyme raconte l’histoire d’une criminelle, son

entre des toiles peintes mais des drames vivants et muets, des drames glacés qui remuaient chaudement le cœur, des drames continus. La vieille demoiselle Michonneau gardait sur ses yeux fatigués un crasseux abatjour en taffetas vert, cerclé par du fil d’archal qui aurait effarouché l’ange de la Pitié. Son châle à franges maigres et pleurardes semblait couvrir un squelette, tant les formes qu’il cachait étaient anguleuses. Quel acide avait dépouillé cette créature de ses formes féminines ? elle devait

entre des toiles peintes mais des drames vivants et muets, des drames glacés qui remuaient chaudement le coeur, des drames continus. La vieille demoiselle Michonneau gardait sur ses yeux fatigués un crasseux abat−jour en taffetas vert, cerclé par du fil d'archal qui aurait effarouché l'ange de la Pitié. Son châle à franges maigres et pleurardes semblait couvrir un squelette, tant les formes qu'il cachait étaient anguleuses. Quel acide avait dépouillé cette créature de ses formes féminines ? elle devait

des toiles peintes mais des drames vivants et muets, des drames glacés qui remuaient chaudement le coeur, des drames continus. La vieille demoiselle Michonneau gardait sur ses yeux fatigués un crasseux abat-jour en taffetas vert, cerclé par du fil d'archal qui aurait effarouché l'ange de la Pitié. Son châle à franges maigres et pleurardes semblait couvrir un squelette, tant les formes qu'il cachait étaient anguleuses. Quel acide avait dépouillé cette créature de ses formes féminines? elle devait