Mes Petites Amoureuses De Rimbaud

est mort le 23 mai 1908, est un poète, dramaturge et romancier français. Coppée fut le poète populaire et sentimental de Paris et de ses faubourgs, des tableaux de rue intimistes du monde des humbles. Poète du souvenir d'une première rencontre amoureuse (« Septembre, au ciel léger »), de la nostalgie d'une autre existence (« Je suis un pâle enfant du vieux Paris ») ou de la beauté du crépuscule (« Le crépuscule est triste et doux »), il rencontra un grand succès populaire.Il naît à Paris au 2, rue

vingt-deux ans, il publie à compte d’auteur les Poèmes saturniens (1866) et les Fêtes galantes en 1869. Il rencontre Mathilde Mauté à l’âge de vingt-cinq ans et l’épouse en 1870. Le siège de Paris, les troubles de la Commune (1871), et la rencontre de Rimbaud en 1871 bouleversent sa vie : les deux poètes vivent une relation passionnée et partent en Angleterre et en Belgique (Verlaine écrit alors Romances sans paroles). En juillet 1873, Verlaine tire sur son ami et est emprisonné en Belgique. Lorsqu’il

Bucoliques ) s’extasiaient sur la beauté de la nature mais aussi des femmes qu’ils aimaient. Ronsard s’inscrit très simpleemnt dans cette esthétique. Surnommé « Prince des poètes » (et Poète des princes…), il est devenu la référence de la poésie amoureuse. Qui n’a pas appris : « Comme on voit sur la branche au mois de mai la rose / En sa belle jeunesse, en sa première fleur / Rendre le ciel jaloux de sa vive couleur, / Quand l’Aube de ses pleurs au point du jour l’arrose » (Les Amours). La beauté

……13 Victor HUGO………………………………………………………………………………………………..14 Il dort. Quoique le sort fût pour lui bien étrange… » Les Misérables…………15 Charles BAUDELAIRE…………………………………………………………………………………..16 A une passante…………………………………………………………………………………….17 Arthur RIMBAUD………………………………………………………………………………………….18 Voyelles……………………………………………………………………………………………...19 Jacques PRÉVERT………………………………………………………………………………………..20 Déjeuner du matin……………………………………………………………………………….21 Jean de la FONTAINE Jean de La Fontaine né le 8 juillet 1621

Poèmes saturniens (1866) de Paul Verlaine. _ « Hymne à la Beauté », Extrait des Fleurs du Mal (1857 – 1861) de Charles Baudelaire. _ « La Maline » (1870) de Arthur Rimbaud _ « Le Front » (1536) de Maurice Scève, 1536 _ « Ô beaux yeux bruns, ô regards détournés » (1555) de Louise LABÉ _ « Vénus Anadyomène » (1870) de Arthur Rimbaud « La femme qui pleure »(1937) de Pablo Picasso (1881-1973) Daté du 28 Octobre 1937 « Portrait d’une femme » (1480)de Sandro Botticelli « L’Arlésienne »

Le dormeur du val C'est un trou de verdure où chante une rivière, Accrochant follement aux herbes des haillons D'argent ; où le soleil, de la montagne fière, Luit : c'est un petit val qui mousse de rayons. Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue, Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu, Dort ; il est étendu dans l'herbe, sous la nue, Pâle dans son lit vert où la lumière pleut. Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme Sourirait un enfant malade, il fait un somme : Nature, berce-le

intéressantes les lettres écrites sous forme de poème. En effet, cela rend la description encore plus réelle, le lecteur est alors immiscé dans l’atmosphère de la bataille mais aussi dans le cœur du poète, ici le lecteur est au centre de la relation amoureuse. L’ancrage dans la réalité de la guerre nous amène de nouveau au sein des tranchées (par exemple : « obus », « giclement de mon sang », « le front de l’armée » …). D’un autre côté, le caractère testamentaire de ce poème nous immisce au centre des

 www.comptoirlitteraire.com André Durand présente ‘’Le bateau ivre’’ (1871) Poème de RIMBAUD Comme je descendais des Fleuves impassibles, Je ne me sentis plus guidé par les haleurs : Des Peaux-Rouges criards les avaient pris pour cibles, Les ayant cloués nus aux poteaux de couleurs. 5 J'étais insoucieux de tous les équipages, Porteur de blés flamands ou de cotons anglais. Quand avec mes haleurs ont fini ces tapages, Les Fleuves m'ont laissé descendre où

histoire De nos amours !Moi, je vois tout dans ma pensée, Tout à la fois !La trace par ton pied laissée Au fond des bois,Les champs, les pelouses qui cachent Nos verts sentiers,Et ta robe blanche où s'attachent Les églantiers,Comme si ces fleurs amoureuses Disaient tout bas :- Te voilà ! nous sommes heureuses ! Ne t'en va pas !Je vois la profonde ramée Du bois charmantOù nous rêvions, toi, bien aimée, Moi, bien aimant ;Où du refus tendre et farouche J'étais vainqueur, Où ma bouche cherchait ta bouche

Arthur Rimbaud Son enfance Rimbaud était un poète du XIXe siècle. Il est né à Charleville le 20 octobre 1854 et mort le 10 novembre 1891 à Marseille. Jean Nicolas Arthur Rimbaud est le second fils d’une famille de 6 enfants (Frédérique, Arthur, Vitalie, Isabelle) dont une morte à 1 mois et une autre à 17 ans (les deux nommées Vitalie, la deuxième née un an après la première). Son père Frédéric Rimbaud était capitaine d’infanterie et ne venait que pendant ses rares permissions. Après la naissance