Mes Yeux Ne Voyaient Plus Je Ne Pouvais Parler Analyse

Théâtre dans le théâtre > théâtre qu'est la vieévoque davantage de procédés pour montrer qu'Ismène joue sur son rôle d'aînéeAntigone est plus spontanée, plus dans l'action mais elle est consciente : je ne veux pas mourir . J'aurais bien voulu ne pas mourir : à commenter Tu n'évoques pas assez la fin de l'extrait . Bonne conclusion mais un peu longue. Essaie d'être plus concis dans certaines remarques pour gagner du temps et développer l'analyse de la dernière partie du texteCandice Phèdre 0'50+1'30+7'04+

ça fait d'être amoureux ? Elle attend sa venue. Il sera là, ce soir, à neuf heures. Tout près d'elle. Elle prend un bain, chantonne. Elle sent battre son coeur. Fort. Elle est heureuse ; elle est amoureuse. Folle d'amour. Elle pense à ses grands yeux, son corps, sa bouche, son sourire... « Attentes, ô délices, attentes dès le matin et tout le long de la journée, attentes des heures du soi, délices de tout le temps ; savoir qu'il arriverait ce soir à neuf heures, et c'était déjà du bonheur. »

NO ÉTIDIANT : 14318317 TRIMESTRE : AUTOMNE 2014. ADRESSE : 3094 Esther , Laval , QC, H7P 2G8 E-mail : judith_oli@hotmail.com DATE : ANNALISE DU CAS : ‹‹DES FRONTIÈRES À FRANCHIR›› Ce premier travail noté consiste à analyser le cas ‹‹Des frontières à franchir›› En analysant le texte, je considère qu’une approche ‹problème › est à utiliser, étant donné que la situation problème qui ressorte du texte, nécessite de trouver des solutions et des raiponces qui pourront

voulais le revoir, passer une journée avec lui. Mais le temps que tu y ailles il était mort. Je courais. Sans rien voir autour de moi, juste pour te retrouver. Les personnes autour de moi n’existaient pas. Le monde n’existait plus. Il n’y avait plus aucunes limites, plus aucunes frontières. Je courais contre l’ennemi. La mort me lançait un défi. Le défi de ta vie. Aucune coupe à la ligne d’arrivée. Juste toi. Toi qui derrière ton air enthousiaste vivait l’enfer. La mort t’a détruit. Mes poumons

Faites une analyse détaillée de ce récit ! Maupassant La parure C'était une de ces jolies et charmantes filles, nées, comme par une erreur du destin, dans une famille d'employés. Elle n'avait pas de dot, pas d'espérances, aucun moyen d'être connue, comprise, aimée, épousée par un homme riche et distingué; et elle se laissa marier avec un petit commis du ministère de l'Instruction publique. Elle fut simple, ne pouvant être parée, mais malheureuse comme une déclassée; car les femmes n'ont

hommage à Mouloud Feraoun - hommage d'autant plus émouvant que lui aussi fut assassiné mais en 1993 durant l'autre guerre d'Algérie, cette fois par les intégristes : « Il est intéressant de tester le cheminement de l'œuvre d'un écrivain qui a joué un rôle primordial en ces années 50 ou il a grandement contribué à faire connaître les dures conditions de vie de ses compatriotes. Mouloud Feraoun était jusqu'à il y a une vingtaine d'années, l'écrivain le plus fréquenté par les écoliers d'Algérie. Le Fils

celui-ci se dressaient 99 étages, empilés les uns sur les autres ; sa hauteur était inimaginable. Il était même impossible d'estimer la quantité de données qui composaient l'ensemble. À l’intérieur de celui-ci se trouvaient de nombreuses cités, en plus d'innombrables petites villes et villages, ainsi que des forêts, des prairies et même des lacs. Un seul escalier reliait chaque étage à un autre, et ils se situaient dans des donjons où erraient de nombreux monstres ; les atteindre et les emprunter

il vit 2. En conclusion du roman de Guy de Maupassant, Une Vie, Rosalie dclare La vie voyez-vous, a nest jamais si bon ou si mauvais quon croit. Pensez-vous quun roman doit ouvrir les yeux du lecteur sur la vie ou bien au contraire permettre dchapper la ralit 3. Un philosophe a dclar quil avait beaucoup plus appris sur lconomie et la politique dans les romans de Balzac quen lisant les conomistes et les historiens. Dans quelle mesure la lecture des romans permet-elle de connatre une priode historique

a puisé ses plus grandes beautés. L'auteur cède la parole à son héroïne, qui nous raconte les faits de son enfance et de sa jeunesse, surtout les émotions qu'elle en éprouve. C'est l'histoire intime d'une intelligence avide, d'un cœur ardent, d'une âme puissante en un mot, placée dans des conditions étroites et subalternes, exposée aux luttes de la vie, et conquérant enfin sa place à force de constance et de courage. Ce qui nous paraît surtout éminent dans cet ouvrage, plus éminent encore

Diogenes Verlag AG Zurich, 1995. © Éditions Gallimard, 1996, pour la traduction française. Adaptation : Aurigod PREMIÈRE PARTIE 1 À quinze ans, j’ai eu la jaunisse. La maladie débuta en automne et se termina au printemps. Plus l’année finissante devenait froide et sombre, plus j’étais faible. C’est seulement avec l’année nouvelle que je remontai la pente. Janvier fut tiède, et ma mère installa mon lit sur le balcon. Je voyais le ciel, le soleil, les nuages, et j’entendais les enfants jouer dans la