Mesure De Perte Sociale Dans Le Cas D Un Monopole

Microéconomie 02 Plan : ◊ Partie 1 : Concurrence parfaite. * Chapitre 1 : Equilibre partiel et surplus. * Chapitre 2 : Equilibre général. ◊ Partie 2 : Concurrence imparfaite. * Chapitre 3 : Le monopole. * Chapitre 4 : L’oligopole. Introduction. Le cours se développe en deux parties, la première partie complète l’étude des marchés de concurrence parfaite, la seconde partie aborde l’étude des marchés de concurrence imparfaite. Dans le cadre de la concurrence parfaite, où les

inégalitaire. L’économiste Clark considère qu’une situation pareto-optimale est juste (au sens de justice sociale) dans la mesure où chaque facteur est rémunéré à sa productivité marginale : chaque agent perçoit un revenu proportionnel à sa contribution à la production de richesse. On retrouve ici le principe de justice commutative2( à chacun selon ses mérites). Cette conception de la justice sociale exclut toute politique étatique de redistribution des richesses créées. Le libéralisme justifie l’intervention

opérationnelle. Il y a une contradiction entre la théorie de la valeur en CPP et la réalité de la pratique des affaires. Il avait une vision différente des classiques et néo-classiques concernant les « rendements d’échelle » Il estimait que c’est le monopole et non la CPP qui devrait être…. b) Edward Chamberlin (1899-1967) Il a pris ses distances avec la CPP en développant, à partir des travaux de Marshall, la théorie de la concurrence monopolistique. Celle-ci a été exposée au début des années

Microéconomie -> cas extrêmes : monopole et concurrence parfaite. L’économie industrielle cas intermédiaire de l’oligopole (économie de concurrence imparfaite) En résume : l’économie industrielle est l’étude systématique du fonctionnement des marches, en particulier de la manière dont les entreprises se font concurrence. Aussi s’intéresse par l’analyse de l’organisation interne de la firme et l’économie de la régulation des entreprises. L’accent est : * Concurrence imparfaite ou le monopole. * Stratégies

I. THEORIE DE L’ENTREPRISE pp 1 à 10 1. Pourquoi l’entreprise ? pp 1 à 3 + 1 A) UNE SYNERGIE STATIQUE Les économies d’échelle. Au fur et à mesure que la Q produite augmente, les rendements d’échelle sont : d’abord croissants (le coût moyen décroît) et ensuite décroissants (le coût moyen croît). Aussi longtemps que le CM décroît, l’équilibre (profit max) est inaccessible car plus la Q produite augmente, plus le CM diminue, et donc plus le profit unitaire augmente. Donc, Q

sur feuille) 1 er cas : Rendement constant : si j’utilise, plus 10 fois plus de matière première et 10 fois plus de travail alors je vais obtenir 10 fois plus de produit fini. 2ème cas : Production de sortie moins que proportionnelle à ce que l’on multiplie des facteurs en entrée. 3ème cas : production de sortie plus que proportionnelle à ce que l’on multiplie des facteurs en entrée. En économie ce qui domine c’est le marché. Les économistes vont se demander dans quels cas on a recours à la

des capacités de productions existantes. Rendement décroissant : L’argument en faveur est qu’une grande taille génère des surcoûts d’organisation du fait de l’augmentation de la complexité, du poids de la bureaucratie ainsi que de la difficulté à mesurer les performances individuelles. 4 Minimisation des coûts (C)= coût de production (ω)= prix du travail (r)=prix du capital C=ωL+rK Programme de minimisation : Min C (K,L)= ωL+rK Slc Y = f(K,L) Résolution graphique : On appelle droite d’isocoût

l’économie industrielle 2. Bases microéconomiques de l’économie industrielle. Demande, couts, mesures de bien-être économiques, pouvoir de marche, efficacité économique. 3. La Firme. Comportement, frontières. 4. Concurrence Pure et parfaite. Définition, propriétés de l’équilibre concurrentiel. 5. Monopole. Firme non régulée (tarification uniforme et discriminatoire) régulation du monopole naturel (de Ramsey-Boiteux par le taux de rendement u capital, incitative par un prix de plafond)

opérationnelle. Il y a une contradiction entre la théorie de la valeur en CPP et la réalité de la pratique des affaires. Il avait une vision différente des classiques et néo-classiques concernant les « rendements d’échelle » Il estimait que c’est le monopole et non la CPP qui devrait être…. b) Edward Chamberlin (1899-1967) Il a pris ses distances avec la CPP en développant, à partir des travaux de Marshall, la théorie de la concurrence monopolistique. Celle-ci a été exposée au début des années trente

vivant en société. Les principes de base : rareté et choix Les grandes conférences internationales de science économique peuvent rassembler plus d’un millier de chercheurs qui travaillent sur des sujets très différents : L’impact des politiques sociales sur le chômage L’analyse des relations informelles qui se tissent dans les villages des pays en développement La politique monétaire des Etats Unis Les stratégies des entreprises multinationales L’origine des fluctuations des cours boursiers Les