Métabolisme cellulaire

………………………………5 6.3.3. Gènes dont l’inactivation peut raccourcir la vie………...……………………………………………………..6 6.4. Les secrets des centenaires……………………………………………………………………………….……………..7 6.4.1. État des télomères………………………………………………………….……………………………………………7 6.4.2. Métabolisme de base…………………………………………………………………………………………………...8 6.5. Perspectives……………………………………………………………………………………………………………………..8 6.6. Conclusion………………………………………………………………………………………………………………………..8 Bibliographie……………………………………………………………………………………………………………………………9 M

de santé publique notamment dans les pays émergents ? I. Le processus biologique de la prise de poids A. Apports journaliers et métabolisme de base Les apports caloriques nécessaires sont la traduction en énergie de l’ensemble des nutriments que doit consommer un individu au cours d’une journée pour satisfaire le métabolisme de base (métabolisme basal). Le métabolisme de base est le besoin en calories nécessité par l'organisme pour assurer le fonctionnement des organes et maintenir la température

METABOLISME LIPIDIQUE Les lipides peuvent être classés physiologiquement en 2 catégories : - Les lipides de réserves. - Les lipides cytoplasmiques. Les lipides de réserves sont essentiellement constitués de triglycérides qui proviennent en partie des triglycérides alimentaires, mais sont aussi formés dans l'organisme à partir des glucides et des protides. Les lipides ne suffisent pas à eux seuls à fournir tous les composés organiques nécessaires (contrairement aux glucides). Ils sont pratiquement

rénale 17/10/13 Introduction. 1. Rôle des reins 2. Anatomie morphologie 3. Le néphron ou tubule rénal 1. Rôle des reins Rôle épurateur : nettoyer le sang. - Elimination des déchets du métabolisme via les urines : urée, acide urique, créatinine, hormones. Déchets qui, si accumulés, perturbent le métabolisme. - Elimination des substances exogènes : médicaments, pesticides, polluants. Fonction homéostasique : - Contrôle de l’équilibre hydrominéral (eau, Na, K, phosphates) - Contrôle de l’équilibre

d'activer la cellule. PATHOLOGIE: Maladie d'Alzheimer et protéine Tau phosphorée MODIFICATION POST-TRADUCTIONNELLE: O-Glycosylation Ajout de N-acétyl galactosamine sur la partie protéique de la sérine. Cela permet d'envoyer des signaux extra-cellulaire (à la surface des groupes sanguins) ou créer des agrégats de protéines. Les sucres peuvent représenter jusqu'à 50% du poids de la protéine. PATHOLOGIE: Cas des mucines: élevées dans les cancers R polaire et R polaire: Les AA contenant

: ▫ Résultat momentané ▫ Eliminer ou tuer micro-organismes ▫ Inactiver virus 10 Résistance bactérienne aux ATS • Naturelle +++ ▫ caractéristique innée et stable des espèces ou groupes microbiens ▫ du fait de leur structure ou de leur métabolisme enzymatique ▫ ex : mycobactéries, spores : paroi très épaisse • Acquise : rare ▫ sur une souche sélectionnée d’une espèce bactérienne ▫ mutation chromosomique ou plasmidique ▫ ex : S. aureus à gène qac • En pratique : résistance souvent due

spécifique localisée mais une maladie générale, chronique et dégénérative. En réalité il est davantage un symptôme qu’une maladie, le symptôme d’un corps malade ». D’après le Dr Gerson, si le cancer est une maladie du métabolisme tout entier, le meilleur moyen d’en guérir est de soigner le métabolisme. Pour cela il faut appliquer deux points : * Cesser d’intoxiquer notre organisme par une alimentation inappropriée et des toxines comme le tabac et l’alcool. La chimiothérapie est aussi considérée comme une

déficits en vitamines et minéraux a. b. • • • • c. • • Déséquilibres nutritionnels en macronutriments Déséquilibres nutritionnels et adaptations métaboliques Adaptation du métabolisme à un déficit énergétique Adaptation du métabolisme à un déficit en glucides Adaptation du métabolisme à un déficit en lipides Adaptation du métabolisme à un déficit en protéines Déficits nutritionnels et déficits en vitamines et minéraux Apports en calcium et minéralisation osseuse (cf. 4.4.2 a) Vitamines et autres minéraux

représente « l’unité de vie », l’élément fondamental de tous êtres vivant, simple ou complexe, bactérien animal ou végétal. Le concept de cellule, qui unifie le monde vivant, recouvre en fait une réalité plus complexe puisque deux plans d’organisation cellulaire existent, séparant le monde biologique actuel en deux grands groupes. Les progrès constant dans l’observation des cellules (techniques microscopiques) ont permis de distinguer, simplement sur une base structurale, les Procaryotes (cellules à noyaux

blanc=hydrogène. 4- L’ATP : L’Adénosine triphosphate [ATP] est une molécule présente dans tous les organismes vivants, elle est la principale source d'énergie immédiatement disponible pour l'activité des cellules. L'ATP est un produit du métabolisme cellulaire, dans des organites spéciaux appelées mitochondries. Comme les fonctions d'échange énergétique de l'ATP et les fonctions catalytiques (accélérateur) des enzymes sont intimement liées, l'ATP se comporte comme une coenzyme, (molécule organique