Méthodes quantitatives

puisque ces deux surfaces sont identiques, c’est-à-dire w1xr0 +M1xr0 = w0xr0. L’augmentation du revenu réel dû au bien être des individus qui augmente grâce à l’introduction de la monnaie. Cela s’appelle le surplus du consommateur . * Les deux méthodes dont Johnson à analyser ne sont pas équivalentes. Cependant il considère que la monnaie interne, comme la monnaie externe, rendent des services Les deux monnaies sont donc des richesses : c’est la richesse nette des individus.

la théorie quantitative de la monnaie remonte aux travaux de Jean Bodin en 1568. Ses travaux portaient sur les effets inflationnistes de l'arrivée massive d'or en provenance d'Amérique latine ; cet afflux provoquant une hausse des prix en Espagne et sur le continent européen. Il est toutefois très courant d'attribuer les origines de la théorie quantitative de la monnaie à David Ricardo (disciple de Smith)3. Les classiques (John Hicks en particulier) ont formalisé la théorie quantitative à partir d'une

de manière différente le paradoxe de Smith, en effet le diamant a une utilité marginale plus forte que l'eau. 2. La théorie quantitative de la monnaie. Les classiques séparent les phénomènes réels des phénomènes monétaires, la monnaie n'est qu'un voile. On n'en détient pour financer les échanges mais elle demeure neutre. Cette conception fonde la théorie quantitative de la monnaie : la monnaie en circulation est strictement proportionnelle au niveau de l'activité économique, formulée mathématiquement

provoque la fuite des pauvres ) 4. Développement des banques avec l'apparition des métaux précieux 5. Courants de pensée économique : auteurs : Thomas MUN (1571-1641), Jean BODIN (1530-1596), Antoine DEMONTCHRESTIEN (1576-1621) BODIN : Théorie quantitative de la monnaie : lien entre la quantité de richesse et les prix ( réponse au paradoxe de malestroit):relation strictement proportionnelle entre le volume d la masse monétaire et le niveau des prix. Cette théorie est reprise par l'economiste libéral

sectoriels. Le premier concerne le marché du travail qui est lié à la production de biens et de services et recquiert que l’offre de travail est égale à la demande de travail. Le deuxième est celui du marché de la monnaie qui implique la théorie quantitative de la monnaie. Le troisième est celui du marché du capital qui suppose non seulement une égalité entre l’épargne et l’investissement, mais aussi que les individus sont rationnels :il n’accumulent une épargne que si elle a un rendement. Ainsi à

l'investissement, des exportations, des importations, de la consommation? Elle ne détermine dans la théorie classique aucune de ces variables. Les variations de quantité de monnaie n’influence que le niveau général des prix. ➢ Théorie quantitative de la monnaie et inflation 1. Qu'est-ce que le pouvoir d'achat de la monnaie ? Le pouvoir d'achat de la monnaie est la quantité de biens et services qu'une unité monétaire permet de se procurer. 2. Quel est, selon les économistes libéraux

valeur de travail non monétaire 2) La neutralité de la monnaie 3) Le principe de la dichotomie II. La loi de débouché 1) Elément historiques 2) Le postulat de J.B.Say III. La théorie quantitative de la monnaie 1) Présentation général 2) La formulation de I. Fisher Conclusion Introduction générale L'école classique se compose d'un groupe d'auteurs, on trouve les préclassiques, dont les

phénomène inflationniste, mais c'est aux classiques que revient la paternité de la théorie quantitative de la monnaie. Ricardo commence par poser la valeur réelle d'un bien qui est fonction de la quantité de travail nécessaire à sa production : c'est le coût relatif. Si la quantité de monnaie en circulation détermine le niveau général des prix, le prix relatif ne se trouve pas modifié. La théorie quantitative de la monnaie est reprise par Fisher et Pigou et s'énonce sous la forme : MV = PT (avec

Autofinancement, financement direct/direct, taux d’intérêt, risque de crédit Economie endettement/ marchés financiers ; Qui crée la monnaie ? Masse monétaire, marché monétaire, banque centrale, prêteur en dernier ressort. Inflation, théorie quantitative de la monnaie Plan : I Qu’est ce que la monnaie ? A Les fonctions de la monnaie : 1) fonctions économiques : unité de compte, réserve de valeur, intermédiaire des échanges 2) nature de la monnaie : enjeu politique, social et anthropologique

d'influence dans l'économie réelle. Les classiques ignorer la monaie qu'il n'on pas analyser car le phénomène ne les intéresser pas. Il parler d'une monnaie neutre ou monnaie passive. I. L'approche classique : La monnaie neutre, la théorie quantitative. A. Les principes classiques. a. Le principe de dichotomie. Pour les classiques la sphère réelle est l'essentiel car tout les phénomène réel vont s'influencer entre eux mais la monnaie est une variable a part, variable neutre. La