Méthodes quantitatives

L’équation des échanges : à partir de son équation MV=PQ (où M la masse monétaire, V la vitesse de circulation de la monnaie, P le niveau des prix et T le nombre de transactions pendant une période donnée), fisher montre que la fonction principale de la monnaie est de permettre des transactions monétaires. Trois paramètres fixent la quantité de monnaie nécessaire : • le nombre de transactions, lié aux biens de consommation échangés d'une part et aux actifs d'autre part. • la vitesse de circulation

Combinaison de loi de Walras et de la loi de Say. Théorie quantitative de la monnaie est-elle compatible avec la combinaison loi de Walras et loi de Say ? Le paradoxe de Patinkin : Partons de la contrainte budgétaire d’un agent j, parmi les h agents existants, évoluant sur n marchés :∑_(i=1)^n▒〖 pi.Eij+m_j^d- (m_j ) ̃ =0〗 La combinaison de la loi de Walras et de la loi de Say :∑_(i=1)^n▒〖p_i ∑_(j=1)^h▒〖E_ij (p) 〗〗 + ∑_(j=1)^h▒〖m_j^d (p)〗 = ∑_(j=1)^h▒〖(m_j ) ̃ = M〗 (m_j^d la demande

s’inspire de la théorie quantitative de la monnaie qui stipule que la masse monétaire n’a pas d’influence sur la production et l’emploi mais qu’en revanche le niveau général des prix est fonction de la quantité de monnaie mise en circulation. Cette Théorie trouve ses origines dans les travaux de J. Bodin (XVIe siècle), de D. Hume et des classiques du XIXe siècle, D.Ricardo, J.B Say et L.Walras. Au début du XXe, I. Fisher donna une formulation mathématique à la théorie quantitative de la monnaie. Considérée

augmenter ses prix, ex : prix des matières premières, ou une hausse des coûts salariaux) cela se répercute sur les prix des produits, création monétaire génère de l inflation aussi.  Cela repose sur la théorie quantitative de la monnaie proposée par Fischer Irving, équation quantitative de la monnaie, M x V= P x Y, M= masse monétaire, V= vitesse de circulation de la monnaie (se mesure au nombre de fois qu’une pièce est utilisée pour acheter un bien ou un service, P= niveau général des prix, Y= production)

autrement dit la monnaie n’a que des effets nominaux sur l’économie et non des effets réels, elle est un voile. Cette idée se retrouve dans la loi des débouchés de SAY (les produits s’échangent contre des produits) et sert de base à la théorie quantitative de la monnaie, dont Jean BODIN est à l’origine. Ce dernier explique la hausse des prix au 16e siècle qui affecte la péninsule ibérique puis l’ensemble de l’Europe par l’augmentation de la quantité d’or et d’argent en circulation. C’est Irving FISHER qui

l’inflation est partout est toujours la même : un accroissement anormalement rapide de la quantité de monnaie par rapport au volume de production ». La justification de cette idée repose sur l’existence d’une relation économique, appelée « Théorie Quantitative de la Monnaie » ou équation d’Irving Fisher. Cette dernière s’exprime ainsi : M.V = P.Y où M représente la masse monétaire en circulation (demande de monnaie), V la vitesse de circulation de la monnaie, P le niveau général des prix et Y le volume

clivages théoriques sur la conduit ou non d'un pol monetaires et dans une seconde partie nous analyserons les confrontation empirique de ces théories Partie 1 ) Clivage théorique sur l'utilisation de la politique monétaire a) de la théorie quantitative au monétarisme : la politique monétaire doit etre minimale Il est intéressant de noter que les premiers économistes à avoir recherché les causes de la hausse des prix furent tentés par l'explication monétariste. Ce fut le cas de Jean Bodin

donc plus sensible au variation de ces actifs. Or ces actifs diminue entre l’année N et l’année N+1 ce qui justifie la diminution de MP3 entre l’année N et N+1 II) Théorie de l’offre et de la demande de monnaie 1) Théorie quantitative de la monnaie Il s’agit d’une théorie proposer par Fisher (Américain) Dans les années 20-30. Fisher propose une identité qui vient mettre en relation 4 variables macro-économiques : M : masse monétaire, V : Vitesse de circulation de la monnaie

monnaie Selon les classiques et les néoclassiques, la monnaie n’a pas d’influence sur l’économie réelle. Il n’y donc pas de relation entre la sphère réelle et la sphère monétaire. La monnaie détermine le niveau général des prix : c’est la théorie quantitative de la monnaie. Si on augmente la quantité de monnaie en circulation, on augmente d’un coup la demande globale. Puisque l’offre, elle, n’a pas bougé, le niveau des prix va augmenter. En effet, il y a trop de demande et très peu de produits offerts

La théorie quantitative de la monnaie peut être vue comme une sorte de cristallisation sur les mouvements monétaires qui permet d'une certaine façon, par sa formulation et surtout par sa modélisation mathématique, de faire l'impasse sur des conflits économiques. La monnaie se prête bien à ce jeu parce que précisément elle semble servir de moyen d'échanges entre des choses alors que sont bien plus en cause des relations entre les acteurs de la vie économique. Sa première formulation remonte