Metternich

jeu du régime représentatif. Le 8 août 1829, il renvoie Martignac, un libéral, de la tête du ministère, et le remplace par le prince de Polignac. De nombreux ministres rappellent pareillement l’Ancien Régime, tels Bourmont ou La Bourdonnaye. Selon Metternich, « l’événement a valeur d’une contre-révolution ». Soumis à une opposition de plus en plus virulente, le roi dissout la chambre des députés le 16 mai 1830. Les élections, qui se déroulent du 23 juin au 19 juillet, voient le nombre des députés d’opposition

Guillaume 1er d’orange .Cette révolution belge amorcée à partir de 1830 qui sera une remise en cause de l’Europe de Vienne aura un grand succès eu égard au contexte international favorable .Ainsi « la contagion révolutionnaire » comme le soulignait Metternich va phagocyter toute l’Europe qui sera le théâtre de plusieurs affrontements. b- L’attitude des puissances La révolte Belge débute le 25 Août 1830 et déjà le 27 Septembre les troupes hollandaises sont chassées de Bruxelles. Le 4 Octobre

pour partager des passions, pour aider les autres, pour lutter contre des maladies, pour défendre des droits, ou pour mille autres raisons, le mouvement associatif ne s’est jamais aussi bien porté. On ne peut que s’en réjouir ! PDG Alain METTERNICH Directeur central Jean-François DAVIN RÉDACTION Directeur de la rédaction Laurent DAVID - ldavid@digroup.fr Rédacteur en chef adjoint Isabelle AVET - iavet@digroup.fr Secrétaire général des rédactions Patrick AVET - pavet@digroup.fr Chef de

La politique menée par Bismarck en AllemagneIntroductionI-Un homme conservateur au pouvoir a- Bismarck, fils de junkerb- Les débuts de Bismarck contre révolutionniste c-  “Par le fer et par le sang”II- La création d’une allemagne unie a- l’unification du territoire en deux étapes                -La victoire de 1866                -La victoire de 1871 b- l’unification du peuple et la naissance d’un sentiment national par des réformes sociales                -affirmer le parti politique et lutter contre

géographique) avec les régions de l'"Autre", souvent situées en "Asie", parfois en "Afrique". L'étiquette "Asie" comme synonyme d'un "Autre" qui combine la menace et l'infériorité a de tout temps été collée sur le dos de la Russie. On se souvient du mot de Metternich "Asien beginnt an der Landstrasse" - l'Asie commence à l'est de Vienne. De la politique aux mythes, il n'y a qu'un pas. Le mythe européen par excellence est celui de l'identité primordiale. Ce que nous avons en commun est essentiel, ce qui nous

proclame l’indépendance du pays. La guerre entre ottoman et grec est très violente. En 1811 les grecs prennent la ville de Tripolitza et égorge 12 000 musulmans. Les chancelleries européennes considèrent que cette guerre est faite par des pillards. Metternich en 1822 dit de la guerre en Grèce est hors de la civilisation. Cette guerre menace l’équilibre européen. Mahmud II refuse de reconnaitre l’indépendance de la Grèce et appelle à la guerre sainte. Il laisse les Imams se déchainer contre les chrétiens

respect des nationalités. L’Allemagne est découpée en 38 états, la Belgique est tampon rattachée au Pays-Bas, l’Italie du nord est rattachée à l’Autriche-Hongrie. La Pologne est dépecée entre la Russie et la Prusse. L’Europe devient L’Europe de Metternich qui ne respect pas les nationalités et favorise les monarchies absolue (jusqu’en 1848). Le soulèvement nationaliste de 1848 contre l’ordre de Vienne. La crise économique touche l’Europe : mauvaise récolte, augmentation des prix du grain : surproduction

Introduction L’ouvrage commence avec cette affirmation suivante: “Un spectre hante l’Europe : le spectre du communisme. Toutes les puissances de la vieille Europe se sont unies en une Sainte-Alliance pour traquer ce spectre : le pape et le tsar, Metternich et Guizot, les radicaux de France et les policiers d’Allemagne” (p. 18) Il nous est donné un bref contexte historique de la situation du communisme à l’époque à laquelle le manifeste est écrit. Afin d’exposer leurs idées, leurs buts et de rétablir

généralement réprimées, mais les conséquences sont souvent importantes, portant notamment en elles les germes d'une nouvelle révolution voire de l'achèvement de l'unité d'un pays ces revolutions amèneront à la pousée du libéralisme contre le Systeme de Metternich ainsi qu’a celle des sentiments nationaux. 28.  a) Sur l’unification Italienne : en 1815 l’Italie est constitué de 8 états, largement dominé ou allié à l’Autriche avec une politique de tendance absolutisme et réactionnaire. De 1820 à 1830 il y

autres puissances. « L'Europe en tant que concept politique n'existe pas (l.1) » « […] le concept politique d'Europe, par rapport au concept géographique (l.38) ». Le lexique utilisé par l'auteur n'est pas sans rappeler la déclaration de Metternich précédant le processus d'union de l'Italie, selon laquelle l'Italie n'était qu'« une simple expression géographique ». De même que l'Italie du premier XIXe siècle, l'Europe est constituée d'une multitude d'État et en particulier au lendemain de