Metternich

contre la misère (Les Misérables, roman publié en 1862, peu après la grande crise agricole de 1847-1848 qui provoqua des émeutes de la faim, des désordres populaires dans toute l'Europe et fit s'écrouler le régime de Louis-Philippe en France et de Metternich dans l'Empire austro-hongrois), Emile Zola [1840-1902] contre l'antisémitisme (le pamphlet « J'accuse » dont le ton polémique fit trembler l'appareil judiciaire et toutes les institutions politiques de la III° République en 1898 - l'affaire Dreyfus)

géographique constituée de sept (huit si on inclut la Vénétie, sous domination autrichienne) Etats : le royaume des deux Siciles, les Etats de l’Eglise, le royaume de Parme, de Modène, de Toscane, de Lombardie, et du Piémont Sardaigne. Le but de Metternich, politicien autrichien, est de maintenir la domination autrichienne dans la péninsule – et il y arrive pendant la première partie du siècle. La Lombardie et la Vénétie appartiennent à l’Empire d’Autriche, la Toscane, Parme et Modène sont dirigées

sans perdre vos qualités distinctes et votre glorieuse individualité, vous vous fondrez étroitement dans une unité supérieure et vous constituerez la fraternité européenne (...)». C’est dans ce climat, que l’émeute atteint Vienne, faisant fuir Metternich, le souverain plie et accorde la Constitution ; les tchèques réclament, eux, l’indépendance de la bohème ; les hongrois obtiennent l’indépendance de leur pays. Pour l’Allemagne et l’Italie, la question se pose pour l’unité, dès mars 1848, suite

véritable croisade contre Napoléon. Le tsar et le roi de Prusse auront fait appellent à l’Allemagne pour les aidés. L’Autriche aurait devenue neutre selon leurs médias et Napoléon, après ses victoires de Lützen et de Bautzen accepte l’armistice que Metternich lui aura proposé. Napoléon n’avais pas accordé au chancelier autrichien aucune concession alors le chancelier rejoint la coalition russo-prussienne. Cette guerre aura été déclarée le 12 aout. Napoléon avait maintenant perdu la bataille à Leipzig

veut réorganiser l'Europe et rétablir la légitimité des Souverains dans un soucis d'équilibre afin d'éviter une nouvelle « catastrophe » = révolution française et l'épisode Napoléonien. Il y avait de grandes personnalités, diplomates tel que Metternich (Autriche), le cardinal Consalvi (Etats Pontificaux), Talleyrand (France, ministre affaires etrangères) etc. 1er objectif : Le sort réservé a la France. → Traité de Paris 30 Mai 1814, à la première chute de Napoléon, avant le congrès de Vienne

déclaration n'est pas seulement une déclaration de principe, elle est une forme de réponse aux mouvements d'indépendance qui se propagent en Amérique latine entre 1818 et 1823 et à la Sainte Alliance qui, inspirée par défiance obsessionnelle de Metternich envers toute libéralisation, envisage avec l'appui de la France, de la Russie et de la Grande-Bretagne d'aider l'Espagne à reconquérir ses provinces révoltées. Toujours est-il que très vite, au nom de la Déclaration de 1823, va apparaître une

secret. Pendant les journées de Juillet, il se consacre à la correction de son second roman, Le Rouge et le Noir qui paraîtra en novembre 1830. Le comte Molé, ministre de Louis-Philippe, le nomme consul à Trieste. Ses idées libérales y déplaisent à Metternich, et il est nommé en 1831 à Civitavecchia, où il rédige les Souvenirs d'égotisme et le roman inachevé Lucien Leuwen. 1834-1842 : dernières œuvres, derniers voyages[modifier] Tombe de Stendhal au cimetière de Montmartre À Civitavecchia, il s'ennuie

suscitent l’enthousiasme des patriotes polonais qui se soulèvent. La répression russe est sévère. La contagion révolutionnaire atteint également l’Italie et l’Allemagne. Les carbonari se soulèvent en 1831 mais se heurtent aux troupes envoyées par Metternich. Mazzini fonde alors le mouvement « Jeune-Italie » qui allie étroitement combat pour l’unité et la liberté. De la même manière, la répression est accentuée dans les Etats allemands libéraux. Ainsi les révolutions européennes de 1830 marquent

Wellington pendant les Cent-Jours. La Prusse après le congrès de Vienne Finalement, les vainqueurs de 1815 remodèlent l’Europe au Congrès de Vienne. Mais les intérêts de la Prusse sont insuffisamment défendus par un von Hardenberg hésitant face à Metternich, et Frédéric-Guillaume doit céder les territoires acquis lors du troisième partage de la Pologne (1795) et une partie des territoires acquis lors du deuxième partage (1793). En revanche, la Prusse obtient pratiquement toute la Rhénanie et toute

sécurité à leurs contrées que la création d'un État indépendant qui resterait entièrement tributaire d'une protection aléatoire de la France. (24) Cf. ibid., pp. 800-801. La réunion à la France fut particulièrement recommandée par Dorsch, Wedekind, Metternich, Forster et Hofmann. (25) Publié dans ibid., p. 812. (26) F. Dumont (voir n. 22), p. 137, n. 17. (27) Friedrich Christian LAUKHARD, Un espion sous la Terreur, présenté par Jean-Noël Picq, Paris, 1987, p. 115. 682 JOSEF SMETS En vérité, l'idée