Meursault Et Les Femmes

« pauvreté », lui petit médecin de campagne vivant pourtant de façon aisé, et qui finira par se suicider. Emma Bovary stigmatise ainsi les stéréotypes féminins de la petite bourgeoisie : à travers elle, Flaubert dénonce les « mœurs de province » de ces femmes (accusation qui lui vaudra un procès pour « offenses à la morale publique et à la religion »). Mais, avant même de dénoncer une façon de vivre, Emma Bovary se fait le reflet du lecteur, le faisant ainsi réfléchir sur sa condition (Baudelaire, à la

concerne Flaubert, il écrit Mme Bovary qui est considéré comme le chef d'œuvre du roman réaliste français du XIXème siècle. En effet, ce roman fait grand bruit, remettant en cause le statut des femmes dans la société, dérangeant l’opinion publique. Le livre est tellement en opposition avec l’idéaliste position des femmes dans la société, représentant sans aucune retenue la société, qu’il faillit envoyer Flaubert en Prison. « Madame Bovary » est inspiré d’un fait réel : Delphine Delamare, femme d’un ancien

kilomètre d'Alger. Au restaurant de mon ami Céleste, tous avaient de la peine pour moi. Cependant, dans mon esprit, c'est comme si maman n'était pas morte. Je n'étais pas en deuil. A deux heures, j'ai pris l'autobus. Il y avait une chaleur torride. Mme Meursault, ma mère, vivait assez heureuse à l'asile, car je ne pouvais plus subvenir à nos besoins. Le directeur m'a dit : "Je suppose que vous voulez voir votre mère." Il m'a expliqué : "Nous l'avons transportée dans notre petite morgue. Pour ne pas impressionner

en opposant ces deux notions. La littérature de l’absurde a elle aussi pour objectif de penser l’homme, principe soutenu par l’un des auteurs les plus connus du XXème siècle : Albert Camus. Dans son œuvre L’Etranger, il met en scène son héros, Meursault, qui échappe à toute logique, et qui n’éprouve aucun sentiment envers la mort de sa mère, ne connaissant même pas la date de sa mort, si elle est survenue « Aujourd’hui […]. Ou peut-être demain ». C’est ainsi que de nombreux auteurs ont cherché

ralit. 3-Sur ce fond, Maupassant met en relief son personnage par diffrents moyens ( Il est le seul tre nomm alors que les autres demeurent des silhouettes il est le seul tre individualis alors que les autres forment des groupes les dneurs, les femmes, trois petites ouvrires etc.. Plus loin, les autres personnages ne forment quune masse indistincte dsigne par le nom collectif monde (dans une rue pleine de monde) ou les gens et sont mme dsigns par les paules par simple synecdoque. (Les indications

reçu dans son bureau. C'était un petit vieux, avec la Légion d'honneur. Il m'a regardé de ses yeux clairs. Puis il m'a serré la main qu'il a gardée si longtemps que je ne savais trop comment la retirer. Il a consulté un dossier et m'a dit : « Mme Meursault est en-trée ici il y a trois ans. Vous étiez son seul soutien. » J'ai cru qu'il me reprochait quelque chose et j'ai commencé à lui expliquer. Mais il m'a interrompu : « Vous n'avez pas à vous justifier, mon cher enfant. J'ai lu le dossier de votre

« Curiosité » et « impatience » sont les nouveaux sentiments ressentis par la PDC, qui se retrouve sous le joug de la passion. Elle se découvre même jalouse, ex : la lettre du vidame de Chartres.Autre exemple de découverte de soi : M. de Nemours : homme à femmes, puis homme fidèle. Toutes les descriptions sur son changement de personnalités nous viennent de témoins : la Dauphine, le Vidame de Chartres : en aimant Mme de Clèves, il découvre sa capacité à aimer de manière exclusive, il renonce au trône d’Angleterre

acceptent que la corruption existe à tous les échelons. Parce que pour Vautrin accepter d’être corrompu peut permettre à Rastignac de réaliser son ascension sociale. Pour Vautrin la corruption va jusque au crime, pour Rastignac elle passe pas les femmes. Rastignac se rangera-t-il derrière une morale et un conformisme apparent ? Ainsi le romancier réaliste s’engage pour éveiller les consciences de ces contemporains, puisque il cherche à comprendre son époque, comme Balzac cherche à comprendre

dans son bureau. C'était un petit vieux, avec la Légion d'honneur. Il m'a regardé de ses yeux clairs. Puis il m'a serré la main qu'il a gardée si longtemps que je ne savais trop comment la retirer. Il a consulté un dossier et m'a dit : « Mme Meursault est en- trée ici il y a trois ans. Vous étiez son seul soutien. » J'ai cru qu'il me reprochait quelque chose et j'ai commencé à lui expliquer. Mais il m'a interrompu : « Vous n'avez pas à vous justifier, mon cher enfant. J'ai lu le dossier de

reçu dans son bureau. C’était un petit vieux, avec la L égion d’honneur. Il m’a regardé de ses yeux clairs. Puis il m’a serré la main qu’il a gardée si longtemps que je ne savais trop comment la retirer. Il a consulté un dossier et m’a dit : « Mme Meursault est entrée ici il y a trois ans. Vous étiez son seul soutien. » J’ai cru qu’il me reprochait quelque chose et j’ai commencé à lui expliquer. Mais il m’a interrompu : « Vous n’avez pas à vous justifier, mon cher enfant. J’ai lu le dossier de votre