Meursault Héros Traditionnel

distance entre la narrat° et le récit. * Traitement de l’espace : comme ds un journal, le moment de la narrat° se déplace. Le 1er paragraphe laisse imaginer par l’alternance du présent et du p.composé la récept° du télégramme ds l’appartement du héros ; le 2ème paragraphe envisage au futur le voyage à Marengo, ce qui donne au lecteur un indice référentiel. Dès le 3ème paragraphe, le moment de la narrat° est devenu postérieur à ce voyage, et on ns précise les détails de l’autobus à deux heures, le

Les récits de Bernanos juxtaposent de grandes scènes d’affrontement dialogué, un peu à la manière de Dostoïevski, et plongent parfois le lecteur dans une perplexité née d’une écriture elliptique qui se refuse aux explications de la narration traditionnelle. Gaëtan Picon remarque très justement : Chacun de ses romans s’ouvre par une attaque brusque ; il nous plonge dans un état de fait au lieu de nous y préparer lentement ; il raconte moins qu’il ne fait voir. L’obscurité de chaque début est

dichotomie fondamentale qui divise l’Afrique du Sud à cette époque est au cœur du roman. Brink dépeint le monde blanc en parlant de la société sud-­africaine blanche, de ses structures politiques, de l’éducation, des loisirs, des évènements familiaux traditionnels ou de l’Église puritaine. Mais cet univers des blancs se définit également par le système juridico-­policier mis en place, un système totalitaire qui justifie les abus, la violence et la propagande raciste. - 20 - L’auteur propose également une

; Ce qui inquiète le parfumeur chez celui qu’il baptise « le gnome » c’est qu’en lui semblent réunis les portraits de l’enfgant et du vieillard. La première partie du récit abonde en comparaisons et métaphores animales empruntées au bestiaire traditionnel de la sorcellerie. « Araignée » pour le père Terrier, les pensionnaires de Mme Gaillard ou Baldini (21,27,87), « reptile », « crapaud noir » chez le parfumeur (82,85) ; On peut aussi mentionner le « poisson carnassier » (39) ou la « bête aux aguets

par le parti communiste, se prépare. Gisors est un Français, amateur d’art et homme de réflexion. Son fils Kyo, de mère chinoise, est engagé au côté des forces révolutionnaires. Tchen, révolutionnaire lui aussi, est issu d’une famille chinoise traditionnelle, qu’il a rejetée. Dans le passage, Gisors réfléchit aux motivations de Kyo et de Tchen, compagnons de lutte.] Kyo avait choisi l’action, d’une façon grave et préméditée, comme d’autres choisissent les armes ou la mer : il avait quitté son père

de leur classe d’origine, de leur classe sociale, de leur culture, se moulant dans des rôles et des statuts sociaux de père ou de mère, de salarié ou de patron, de citoyen. Aujourd’hui, il n’y a plus de transmission de l’héritage dans sa forme traditionnelle. Il ne s’impose plus comme allant de soi, mais passe par sa mise en débat, en discussion, son expérimentation. L’acquisition d’une capacité à délibérer, à juger, à choisir, à négocier, la « réflexivité » devient essentielle. C’est une capacité

narrateur peut se présenter comme un témoin-observateur : il aura tendance à montrer l'action, comme un témoin apparemment impartial, sans en tirer toutes les ficelles. C'est le cas du roman américain behavioriste. Le narrateur peut-être le ou un héros de la fiction : il raconte l'histoire selon son point de vue. Ce narrateur-protagoniste (intradiégétique) peut même se cacher derrière l'anonymat : cf. le Dr Rieux dans La Peste de Camus. On peut caractériser le rapport entre le point de vue du narrateur

écrivain français réaliste et romantique, connu en particulier pour ses romans le Rouge et le Noir et la Chartreuse de Parme. Dans l'extrait a étudié, Stendhal s'inscrit dans le réalisme en mettant en évidence toutes les caractéristiques d'un anti-héros et utilise parfois l'ironie à l'égard du jeune soldat. Nous allons nous demander en quoi l'horreur de la guerre est elle soulignée à travers le regard de Fabrice . Pour ce faire, nous analyserons dans un premier temps le tableau de guerre réaliste

narrateur peut se présenter comme un témoin-observateur : il aura tendance à montrer l'action, comme un témoin apparemment impartial, sans en tirer toutes les ficelles. C'est le cas du roman américain behavioriste. Le narrateur peut-être le ou un héros de la fiction : il raconte l'histoire selon son point de vue. Ce narrateur-protagoniste (intradiégétique) peut même se cacher derrière l'anonymat : cf. le Dr Rieux dans La Peste de Camus. On peut caractériser le rapport entre le point de vue du

Qu'est-ce qu'un héros? Introduction : On sait que dans les années 60 et 70, réagissant à une tradition critique qui avait abusé, selon elle, du « psychologisme» et du « biographisme », l'école textualiste s'est employée à repenser sur de nouvelles bases épistémologiques la notion de personnage. C'est l'époque où, s'inspirant des formalistes russes, des sémioticiens comme Greimas et des poéticiens comme Philippe Hamon élaboraient une théorie « syntagmatique» ou « syntaxique» du personnage, le