Meursault Ne Joue Pas Le Jeu

absurdité. Certainement qu’il refusait de leur mentir en se conformant ou en jouant le jeu. Certainement aussi que sur ce plan, il n’a jamais changé. Camus s’était déjà projeté dans la peau de Meursault, héros de son premier roman, L’Etranger pour le charger entre autre, de représenter ses propres sentiments envers les femmes et sa fidélité inflexible à ses principes. Rappelons-nous les sentiments de Marie pour Meursault dans ce récit et ce qu’en pense ce dernier : « …elle m’a demandé si je l’aimais

parce qu'il ne joue pas le jeu. En ce sens, il est étranger à la société ou il vit, il erre, en marge, dans les faubourgs de la vie privée, solitaire, sensuelle. Et c'est pourquoi des lecteurs ont été tenté de le considérer comme une épave. Meursault ne joue pas le jeu. La réponse est simple : il refuse de mentir." "...On ne se tromperait donc pas beaucoup en lisant dans L'Étranger l'histoired'un homme qui, sans aucune attitude héroïque, accepte de mourir pour la vérité. Meursault pour moi n'est

tout cela, il est obligé de devenir indifférent et savoir se détacher. L’indifférence= condition de survie morale. C’est pour cela qu’il est indifferent. * On a l’impression que le narrateur est insensible car il présente ça comme une sorte de jeu. Le soldat ne comprend pas pourquoi il se bat. Il est juste la par obligation. * C’est sinique, le colonel se réjouie de la mort de quelqu’un. Aucune solidarité humaine. * La comparaison est atroce, et abominable. Il n’y aucune pitié dans la

porter par l'intrigue.On peut illustrer cet argument au travers de l'étranger d'Albert Camus. Meursault, Le personnage principal est intrigant de par sa froideur,sa franchise et son manque de sentiment.Suite à un concours de circonstances,il se trouve emprisonné. Une seule envie nous anime,celle de connaitre l'issue de cette histoire intrigante.La simplicité du récit et le réalisme des pensées de Meursault en font une oeuvre abordable à tous. Il est fréquent au quotidien de rencontrer des personnes

d’enfants, n’en est pas moins assez violente, influence actuellement les cours d’école et nous amène à réfléchir. Le jeu nous accompagne toute la vie et éveillent nos sens dès la naissance. A travers ce mode ludique, nous développons nos relations aux autres. Qui dit autres, dit sentiment , car l’être humain a des sentiments qui lui sont propres et donc incontrôlables. Le jeu éveille donc les sentiments positifs et négatifs et donc participe à la construction de l’enfant et son passage à l’âge

« elle reçut mes politesses », « je lui demandai » (l.12 et 13) = formes de hardiesse qui ne correspondent pas au tempérament habituel du narrateur dont l’adverbe « excessivement » l.10 a valeur d’intensité, renforce la métamorphose. Energie et audace. Jeu d’enchainement de causes et effets = emprisonnement fatal.- « la maitresse de mon cœur » l.11 = périphrase et métonymie (« cœur ») = narrateur subjugué et dépendant de la JF. Disparition du contexte = cristallisation amoureuse. Plus rien n’existe en

« Monsieur Roger » (encore figure-t-il que dans la parole rapportée du proviseur par souci de réalisme) et dont on ne sait pas plus que le personnage qui nous est présenté. Ces personnages sont donc définis par le rôle qu’il joue au sein de l’établissement. Le Proviseur joue bien le sien par exemple, présenté comme une figure d’autorité : Il en est de même pour le garçon de salle et le professeur. En ce qui concerne les élèves, aucun n’est individualisé (« un voisin », l…), au contraire l’emploi

Céline (1932). SEQUENCE 2 (séquence majeure) : L’Etranger de Camus (1942), un roman absurde. Problématique : En quoi le roman du XX° siècle achève-t-il la déconstruction du « héros » ? Perspectives d’étude : l’absurde, le portrait de Meursault, le rôle des éléments dans l’œuvre. Lectures analytiques : 1- L’incipit : de « Aujourd’hui maman est morte » à « Oui, monsieur le Directeur ». 2- Le meurtre (fin de la première partie du roman) : de « C’était le même éclatement rouge » à

pour la première fois à la mort. […] je n’avais jamais pensé à la mort parce que l’occasion ne s’en était pas présentée, mais maintenant l’occasion était là et il n’y avait pas autre chose à faire que de penser à ça. (ŒR, 217) Dans L’Étranger, Meursault réfléchit également, après sa condamnation à mort, sur l’exécution et finit par reconnaître l’inéluctabilité de sa mort. Car en réfléchissant bien, en considérant les choses avec calme, je constatais que ce qui était défectueux avec le couperet,

connaissance du monde et du cœur humain dont il a percé les « mystères » par son expérience et sa lucidité cynique. Son discours abonde ainsi de précisions chiffrées (6, 8, 11, 22, 23, 26) et de formules générales par lesquelles Vautrin énonce les règles du jeu social et dont certaines ont valeur de véritables maximes : « Tous les frères flouent plus ou moins leurs sœurs» (6), « Il faut vous manger les uns les autres comme des araignées dans un pot » (13-14), « Il faut entrer dans cette masse d’homme comme