Meursault Ressemblance Camus

La question de l’Homme dans les genres de l’argumentation, du XVIe siècle à nos jours ...........229 Séquence 14 Les visages de l’Homme ................................................................231 Séquence 15 Parcours de lecteur : Albert Camus, La Peste, 1947 .....................258 Sommaire | Litterature.indb 3 3 06/09/11 11:52 Séquence 16 Les découvertes des voyageurs ......................................................270 Séquence 17 Histoire des arts : La photographie

La question de l’Homme dans les genres de l’argumentation, du XVIe siècle à nos jours ...........229 Séquence 14 Les visages de l’Homme ................................................................231 Séquence 15 Parcours de lecteur : Albert Camus, La Peste, 1947 .....................258 Sommaire | Litterature.indb 3 3 06/09/11 11:52 Séquence 16 Les découvertes des voyageurs ......................................................270 Séquence 17 Histoire des arts : La photographie

mais ces derniers ne manquent pas de l’intéresser car, tout simplement, ils sont des êtres exceptionnels qui sortent du commun : c’est ainsi qu’ils parviennent à apporter un « souffle de renouveau » dans une société conformiste, figée par une ressemblance exaspérante sinon par une « fastidieuse uniformité ». Il convient de signaler, en définitive, que l’intervention de Diderot prend une dimension satirique ; en effet, il s’attaque à la base de la société et aux conventions inutiles qui la

si l’auteur se prête à certaine ressemblance mais dans une mesure qu’on ne peut déterminer. Ce n’est pas parce que le personnage a une opinion que l’auteur partage les mêmes opinions. Comment définir ces liens ? « Mes personnages de mon roman sont mes propres possibilités qui ne sont pas réalisé, ce qui fait que je les aime tous et que tous m’effraient pareillement. Ils ont, les uns et les autres, franchi une frontière que je n’ai fait que contourner.» Camus dit que l’auteur c’est tout ses

au-delà de ces différences, ils sont dans les « mêmes dispositions » : le déterminant défini exprimant l’identité dit, de façon paradoxale, qu’ils se ressemblent ; et cette ressemblance est encore une réalité qui les oppose : les deux personnages sont semblables, donc « ils ne courent pas risque de se heurter » : leur ressemblance réside dans leur sentiment du déshonneur. d. L’argument pourrait se formuler ainsi : La Bruyère parvient, dans ce passage, à brosser simultanément le portrait de deux personnages

au-delà de ces différences, ils sont dans les « mêmes dispositions » : le déterminant défini exprimant l’identité dit, de façon paradoxale, qu’ils se ressemblent ; et cette ressemblance est encore une réalité qui les oppose : les deux personnages sont semblables, donc « ils ne courent pas risque de se heurter » : leur ressemblance réside dans leur sentiment du déshonneur. d. L’argument pourrait se formuler ainsi : La Bruyère parvient, dans ce passage, à brosser simultanément le portrait de deux personnages

la violence de la première moitié du xx e siècle, prennent position par rapport à l’insupportable (la guerre, le nazisme, toutes les formes de totalitarisme) dans des romans engagés : Céline, avec Voyage au bout de la nuit, Malraux, dans L’Espoir, Camus avec La Peste, etc. Dans les années 1950, le Nouveau roman refuse la psychologie des personnages et toute subjectivité ; les auteurs de ce courant (Robbe-Grillet, Duras, Sarraute) ne livrent que l’extérieur des choses et des êtres, laissant au lecteur

violence de la première moitié du xx e  siècle, prennent position par rapport à l’insupportable (la guerre, le nazisme, toutes les formes de totalitarisme) dans des romans engagés : Céline, avec Voyage au bout de la nuit, Malraux, dans L’Espoir, Camus avec La Peste, etc. Dans les années 1950, le Nouveau roman refuse la psychologie des personnages et toute subjectivité ; les auteurs de ce courant (Robbe-Grillet, Duras, Sarraute) ne livrent que l’extérieur des choses et des êtres, laissant au

violence de la première moitié du xx e  siècle, prennent position par rapport à l’insupportable (la guerre, le nazisme, toutes les formes de totalitarisme) dans des romans engagés : Céline, avec Voyage au bout de la nuit, Malraux, dans L’Espoir, Camus avec La Peste, etc. Dans les années 1950, le Nouveau roman refuse la psychologie des personnages et toute subjectivité ; les auteurs de ce courant (Robbe-Grillet, Duras, Sarraute) ne livrent que l’extérieur des choses et des êtres, laissant au

la violence de la première moitié du xx e siècle, prennent position par rapport à l’insupportable (la guerre, le nazisme, toutes les formes de totalitarisme) dans des romans engagés : Céline, avec Voyage au bout de la nuit, Malraux, dans L’Espoir, Camus avec La Peste, etc. Dans les années 1950, le Nouveau roman refuse la psychologie des personnages et toute subjectivité ; les auteurs de ce courant (Robbe-Grillet, Duras, Sarraute) ne livrent que l’extérieur des choses et des êtres, laissant au lecteur