Meursault Solitude

médiocre d’un homme et le déroulement mécanique de son quotidien. Meursault est un personnage ordinaire, il vit dans un monde de sensations, dans l’exaltation de son corps mais ne laisse transparaitre aucun sentiment humain. Par exemple il n’éprouve aucune tristesse quand on lui annonce le décès de sa mère, ne semble porter aucun sentiment pour Marie, et ne regrette pas son crime. En effet le narrateur transmet les faits et gestes de Meursault sans qu’aucune émotivité n’apparaisse. Cette absence de sentiments

Malraux. LA1 : « L’Etranger » Chapitre 1 (1ère partie) , Incipit ; Albert Camus ; 1940 L’auteur Albert Camus est un grand romancier représentant l’Absurde et l’Existentialisme. Cet écrivain a représenté une image tragique de l’homme, voué à la solitude et confronté à un univers dépourvu de sens, comme dans cet incipit de son œuvre « L’Etranger » de 1942. Par conséquent, notre étude sera dirigée par la question suivante : Comment à travers cet incipit voit-on apparaître les caractéristiques d’un

laisse le droit de ne rapporter que l'essentiel. Au fil du roman, on va passer du journal au récit. Dans la première partie, la chronologie est assez précise, on va de jour en jour, ou éventuellement, de semaine en semaine. Épisode après épisode, Meursault raconte ce qu'il a fait, il n'a pas beaucoup de recul, on n'a pas d'allusions à l'avenir et peu de retours en arrière. On se situe peu de temps après ce qui s'est passé. Dans la deuxième partie, et même à partir du chapitre 6 de la première partie

II) L'art de persuader III) La satire de la justice Conclusion Achevé en mai 1940 et publié en même temps que Le Mythe de Sisyphe en 1942, L'Étranger est en partie la traduction romanesque des idées contenues dans cet Essai sur l'absurde. Meursault, le narrateur, est un modeste employé de bureau, à Alger. Il retrace son existence médiocre, limitée au déroulement mécanique de gestes quotidiens et à la quête instinctive de sensations élémentaires. Il vit dans une sorte de torpeur, une étrange

siècle, du réalisme et du romantisme du XIXème siècle gouvernés par la désillusion et la corruption et pour finir de la littérature de l’absurde. Cependant, tous proviennent de romans et mettent en scène un personnage principal qui montre une forme de solitude. Ainsi nous nous questionnerons sur les sentiments et les réactions que suscitent ces quatre personnages chez le lecteur. Dans un premier temps nous remarquerons que certains personnages sont admirables par les valeurs qu’ils nous transmettent

merveilleux et romanesques l'accompagnent. |s'inventer des histoires romanesques et de vivre dans l'illusion) par | |Il vise donc à susciter chez le lecteur: |son comportement passif ou de mise en échec (Bardamu, Meursault) ; il | |admiration |suscite aussi la compassion (Emma est prisonnière de sa condition de | |fascination |femme mariée au XIXème

le mouvement. Il s’est particulièrement intéressé au concept de l’absurde de l’existence après la seconde guerre mondiale. Notamment au travers du mythe de Sisyphe. Cette idée de l’absurde est aussi reprise dans l’étranger ou l’on suit la vie de Meursault, le meurtre qu’il commet, son procès et sa détention avant de se faire exécuter en Algérie où camus a d’ailleurs vécu. L’incipit A une attitude déconcertante 1) Une réaction étrange : question de la date de la mort, personnage décalé : garde

champ d'honneur, comme on dit » (“L’envers et l’endroit ”) Camus ne le «connut» donc qu'en photographie. Posthume : Le premier homme   La figure de « la mère ». S’installe à Alger, dans le quartier populaire de Belcourt quartier qu’habite Meursault. Des ménages pour vivre, ne savait ni lire ni écrire, parlait peu, voire se murait dans le silence. Avec le frère d’Albert et le reste de la famille, ils vivaient à six parfois sept, dans un trois-pièces sans eau ni électricité : «Je n'ai pas appris

laisse le droit de ne rapporter que l'essentiel. Au fil du roman, on va passer du journal au récit. Dans la première partie, la chronologie est assez précise, on va de jour en jour, ou éventuellement, de semaine en semaine. Episode après épisode, Meursault raconte ce qu'il a fait, il n'a pas beaucoup de recul, on n'a pas d'allusions à l'avenir et peu de retours en arrière. On se situe peu de temps après ce qui s'est passé. Dans la deuxième partie, et même à partir du chapitre 6 de la première partie

dernière se brusque si l’on ne se conforme pas à ce qu’elle attend de nous, renforçant la difficulté de croire qqn (s’il ne joue pas un rôle pour le public). -> Ex de Meursault dans l’Etranger qui ne pleure pas durant son procès, ni pour la mort de sa mère, x scandalisant le juré, plus que le meurtre qu’il commet. A partir de la Meursault n’est même plus juger pour avoir tuer l’Arabe, mais pour ne pas se conformer à ce que la société attend de lui, pour être un « Etranger ». TRANSITION : Mais portons-nous