Meurtre

Affronter la mort, la regarder en face semble répondre à la question :"Pourquoi vit-on?" . On vit pour que l'un tue l'autre et l'histoire remonte à l'infini, au meurtre originel dont l'humanité découle, celui de Caïn et Abel. On naît meurtri ou meurtrier ou les deux à la fois. Haroun ,comme Meursault, n'arrive à humer pleinement la vie qu'après le meurtre. D'un coup, Meursault devient Le merssoul , un messager avec un livre divin. La question de la religion s'impose. Le narrateur refuse la religion, défie

de personnage mythique (Goliath, Samson). Cette '' héros'', sans jugement moral, trouble et fascine en même temps, un être qui demeure inexplicable. Pourtant, son aspect sublimé présentes des facettes contradictoires: sa brutalité et sa colère ( meurtre, combat) face a ses paroles poétiques (il cite Hugo et Dante) bouleverse et perturbe le lecteur. Son raisonnement et sa lucidité mène à la constatation de son intelligence pourtant sa folie présente dérange. De plus Zucco porte un regard différent

peut prendre une femme dans ses bras sans éprouver l’irrésistible désir de l’égorger. Ainsi fuit-il leur compagnie, et trouve-t-il en la Lison la compagne sans danger, le palliatif à ses pulsions meurtrières. Comme Roubaud, comme Séverine après le meurtre de Grandmorin, son acte laisse Lantier dépourvu de regrets : « Depuis le crime, pas un frisson ne lui était venu, il ne songeait même pas à ces choses, la mémoire abolie. (...) Il n’avait ni remords, ni scrupules, d’une absolue inconscience » (p.449)

  Omar Raddad est né au Maroc en 1962, en France il trouve quelque petit boulot dont celui  de jardinier dans les villas de Mangin. Décrit comme un homme sympathique et un bon  père de famille il sera connu pour sont application dans l’affaire du meurtre de Mme.  Marchal. Omar Raddad travaillait pour Ghislaine Marchal une richissime veuve de 65 ans.  Le 24 juin 1991 elle sera retrouver morte dans sa villa, sur la porte de la chaufferie on y  voit inscrit “Omar m’a tuer”, une phrase devenue célèbre grâce à sa faute de 

Yard voit dans cette arrivée récente un moyen de se fournir un indicateur sur place, mais, malheureusement, Mr. Julie ne répond pas aux avances de la police et est assassiné le soir même au bistouri par Mr. Smith. Ce dernier, comme pour tous les meurtres précédents, a signé son forfait d’une carte de visite à son nom.La police et la presse, alertées par le criminel lui-même, descendent rapidement sur les lieux. Après un interrogatoire de tous les membres de la Pension Victoria et une analyse minutieuse

répliques on voit que R supplie C de le tuer et C qui est surprise et indigné refuse. Ensuite, au milieu de la scène, il y a 2 longues tirades ou les 2 héros argumentent et exposent leurs motifs. R retrace l’historique de sa vengeance, justifie le meurtre du Comte et demande à C de le tuer. Mais C explique pourquoi elle le poursuit et pourquoi elle ne veut pas le tuer(« Venger son père et se montrer digne de lui »). Ensuite on a à nouveau des répliques plus équilibrés où les héros font assaut d ?arguments

journal Républicain Lorraine. Ils ont trouvé un nouveau suspect. Il s’appelle Francis Heaulme un tueur en série. Il a déjà tué des personnes avec des pierres. Monsieur Florand trouve quelque similitude entre le massacre de Montigny et les autres meurtres commis par le tueur en série. Monsieur Florand n’a pas assez de similitude pour obtenir une nouvelle révision. Le journaliste Dominique Rizet qui travaille pour le magazine Figaro. Monsieur Abgrall parvient a donné des informations du jour de Francis

position de Macbeth : aussitôt après la rencontre des sorcières, à l’entrée de la pièce, il a cru être simplement un homme béni par le destin, il a cru que le titre de roi lui viendrait naturellement, sans passage à l’acte ni violence. Une fois le meurtre de Duncan accompli, il est consommé par le remords. Enfin, il choisit de nier le destin pour se guérir de son remords : dans la scène qui précède, il vient de commanditer l’assassinat de Banquo et de son fils Fléance, espérant en cela conjurer les

par Anne Damour et paru en 1977. Le récit se déroule la plupart du temps à New York. Cette histoire raconte l'enlèvement de Sharon Martin et de Neil Peterson et, parallèlement, les préparatifs de l'exécution de Ronald Thompson, un jeune accusé du meurtre de Nina Peterson, femme de Steve et mère de Neil. Personnage : * August Rommel Taggert (Arty) : Meurtrier, il a tué cinq femmes dont Nina Peterson. * Steve Peterson : Père de Neil, Mari de Nina, et futur époux de Sharon. le rédacteur en chef

parte à l’autre bout du monde pour suivre son enquête, mais cela reste plausible. Je vais d’abord parler du cadre spatio-temporel. Je l’ai particulièrement bien aimé. En effet, l’histoire qui se déroule en France est assez simple à comprendre. Des meurtres qui se passent dans des parkings sous-terrain ou encore dans un atelier qui travaille sur la constitution visuelle des hommes préhistoriques. Banal. Par contre, dès qu’elle quitte la France pour le Nicaragua, dans un premier temps, le cadre spatial