Meurtre

Mon intervention s’adresse à ceux, il en existe, pour lesquels il n’aurait pas fallu abolir la peine de mort, ou alors avec des restrictions, par exemple pour les crimes d’enfants. Mais le meurtre d’un adulte n’est-il pas, lui aussi, odieux ? ou le meurtre d’une femme est-il péché véniel ? Ou avec des restrictions pour les tyrans, les Ceucescu (qui firent un gros succès à l’Audimat), ou Saddam Hussein (tyran sanguinaire devenu bête de cirque que l’on filme avec un téléphone portable) ou ses coaccusés

c'est d'être juste. Logique me direz vous, le symbole de la justice est une balance droite, ce qui signifie quil faut une équité dans le jugement, que le jugé soit proportionnellement puni (voir plus) en fonction du mal quil a fait non? un viol ou un meurtre vaut-il 10 ans de prison? où est l'équité là dedans? il s'en tire bien le type, quand on voit un multirécidiviste qui commet plusieurs viols et qui est relaché au bout de 10 ans. Est-ce juste? Trouvez vous que 10 ans c'est suffisant après avoir détruit

l’accusé se verra alors alourdie si par exemple l’accusé tient des propos racistes. Parallèlement la famille des victimes ne pourra tirer satisfaction et justice si le meurtrier bénéficie de circonstance atténuante. Pour eux il s’agit d’un meurtre et les raisons de ce meurtre leurs sont bien égales. On peut considérer que les punitions ne rendent pas toujours justice. Quand un représentant de la loi punit une personne qui a commis une faute, le but de la punition est le même que précédemment : convaincre

chacun. Cette œuvre est réaliste et naturaliste, c’est aussi une tragédie. L’histoire se déroule à Paris, plus précisément vers le quartier de Pont-neuf dans les années 1860-1870. Ce roman est construit sur le thème de l’adultère, le meurtre et le suicide ce qui emploie déjà un registre très tragique. Le narrateur est Emile Zola et on peut aussi constater que c’est un récit à point de vue omniscient. Le narrateur s’exprime à la troisième personne du singulier et connait tout de ses personnages:

dera éclater en plein tribunal à la stupéfaction générale. _______________________________ Stangerson et sa fille Mathilde habitent le château du Glandier où ils poursuivent leurs recherches scientifiques. La presse annonce la tentative de meurtre sur Mathilde qui dormait dans la "Chambre Jaune". Alerté par ses cris, son père n'a pas vu d'assassin dans la pièce qui ne comporte qu'une porte et une seule fenêtre grillagée. Le jeune Rouletabille, reporter à l'Époque, se rend au Glandier avec Sainclair

Sujet : Lorenzaccio : tragédie politique ou drame psychologique ? « Il est des échecs plus sublimes que les réussites » dira André Stegmann à propos de la vaine tentative de Lorenzo. Par son meurtre, il ne parvient ni à ramener la république, ni à redorer son image. Ces deux dimensions qu’il confère à son acte nous amènent à nous demander si Lorenzaccio est un drame psychologique ou une tragédie politique. En d’autres termes, est-ce que l’un des aspects de la pièce prédomine sur l’autre ? Nous

trouve la copie conforme de Pluton à l’exception d’une large tache blanche. L’animal s’attache très rapidement à son maître, mais cette adoration et la tache qui s’est précisée en forme de gibet obsèdent le narrateur et le mènent à une tentative de meurtre contre le chat qui résulte dans la mort de sa femme. Il décide de murer le cadavre dans la cave. Lorsque les policiers viennent la fouiller, l’hurlement du chat provenant du mur se fait entendre. 2. Analyse de la nouvelle 2.1 Le personnage

arrêté cobb et willars ? Sherif : Oui je les ai arrêtés pour viol et tentative de meurtre sur Tonya hayley, dix ans Avocat : est t-il vrai que willard a confessé par écrit avoir, avec cobb, violer tonya haley Procurreur : objection votre honneur ; c’est inadmissible et mr brigance le sait très bien Juge : mr brigance, je vous rappelle qu’on n’est pas en train de juger le viol de mlle haley, mais le meurtre de deux jeunes gens et si vous continuez, je vous poursuis pour outrage à la cour

regarder en face, non pas même Mélitus, lui, qui me voit si bien jusqu’au fond de l’âme, qu’il m’accuse d’impiété. Présentement donc, au nom des dieux, enseigne-moi ce que tu prétendais tantôt savoir si bien : qu’est-ce que le saint et l’impie sur le meurtre ; et sur tout autre sujet ? La sainteté n’est-elle pas toujours semblable à elle-même dans toutes sortes d’actions ? Et l’impiété, qui est son contraire, n’est-elle pas aussi toujours la même, de sorte que le même caractère d’impiété se trouve toujours

lorsqu’Œdipe décide de s’exiler. - Tirésias : Devin clairvoyant, conseiller de longue date du couple royal, et avant lui de Laïos, il est remis en cause et accusé de servir la conspiration de Créon par Œdipe lorsqu’il ose porter sur lui l’accusation du meurtre qui souille la ville. [...] [...] le mythe complet d’Œdipe) à Thèbes où, après avoir vaincu le Sphinx, il devient roi. Il est ici confronté à une enquête commandée par l’oracle au nom d’Apollon lui- même, qui le mènera par le truchement de différents