Meurtrière

célèbres.   Le contexte historique     Cette oeuvre date de l’après-guerre, de juillet 1920, juste un an après la signature du traité de Versailles. Elle est à relier à la première guerre mondiale dont l’usage des nouvelles armes particulièrement meurtrières a totalement traumatisé les hommes et les femmes sur le front et à l’arrière.  Les pertes humaines énormes, se sont élevées à dix millions de soldats morts au combat et des millions d’hommes sont rentrés blessés et mutilés. Leur retour à la vie

L'industrie fournie des armes de plus en plus meurtrières [canons, mitrailleuses, gaz, avions...] Les Etats mobilise femmes, enfants, travailleurs provenant des colonies pour les mains d'oeuvres dans les industries et les champs. C'est une guerre totale. La bataille de Verdun 1916 La bataille de Verdun se situe au NE de la France, sur le front ouest. Elle oppose les armées françaises et allemandes de février à décembre 1916. C'est la bataille la plus meurtrière de la première guerre mondiale.

journalier travail cette identité qui nous rend unique, au final c’est seulement nous qui forgions cette identité. Seulement il raconte que ces notions d’identités sont parfois soumises à certains conflits éventuels. D’où le titre d’identité « meurtrières »… Il y a en effet le fait de ne pas assumer son appartenance à plusieurs pays. Comme un belge de mère française et de père libanais, la question qui se pose alors est « pourquoi » ? Pourquoi n’assumons nous pas ces divergences ? Maalouf répondra

Puis nous terminerons par aborder les conséquences dramatiques en matière de perte humaine chez les personnes fragiles. Les aspects du risque canicule en France Cette notion du « risque canicule » n’a été mise en place qu’après la canicule meurtrière de 2003, faute d’initiative de la part des autorités locales. En effet, elle aurait dû être mise en place beaucoup plus tôt à savoir que la France a déjà connu une période de canicule et de sécheresse au cours de l’été 1976. Les évolutions de

sur la même ligne, entrevoit le crime et, très vite devine qui en sont les auteurs. Pour acheter son silence, Roubaud encourage sa femme à le séduire. Jacques tombe aussitôt amoureux de Séverine et espère, grâce à elle, échapper à ses pulsions meurtrières dès qu'il voit une femme. Le juge Denizet préfère, sous la pression du ministère de la Justice, ne pas salir la réputation de Grandmorin et conclut l'affaire par un non-lieu. Tandis que les relations entre Roubaud et Séverine se dégradent, la liaison

selon les lois du « droit public » Théâtre dissonant Terme inadapté  casser l’illusion : « une harmonie telle qu’il n’y en eut jamais en enfer ». L’énumération des instruments s’achève sur une arme : « les canons » Dimension meurtrière de la guerre  toutes les phases du carnage y sont décrites Le carnage est partout, et atteint tout le monde C’est le regard de Voltaire qui est pointé pour prendre le parti de la population civile. Ironie : Antiphrase avec

cette colère, Zola veut nous montrer une vraie fureur meurtrière démontrée tout d’abord par la métaphore filée du sang « ensanglantaient », « sembla charrier de sang », « saignants » qui elle évoque aussi la couleur de la Révolution. Ensuite, le champ lexical de l’animal « femelles », « sabots », « galoper », « bêtes fauves » nous évoque une image de troupeau et aussi une idée de sauvagerie. Les mineurs sont déshumanisés. La fureur meurtrière est traduit aussi par une Comparaison « comme des bouchers

Etude analytique I. Une puissance meurtrière : Cette scène finale de La Bête humaine témoigne de la vocation narrative du train. Omniprésent dans l’action du roman, le train se révèle dans cet extrait à la fois comme force agissante et comme personnage. Livré à lui-même, pris d’un mouvement furieux et incontrôlable, le train caractérise ici une puissance terrifiante qui provoque l’effroi sur son passage : "l’épouvante glaça la gare, lorsqu’elle vit passer, dans un vertige de fumée et de flamme

Avril : entrée en guerre des EUA Mutineries Avril : reprise des offensives Allemandes. 11 nov. : Armistice, fin des combats 28 juin : traité de Versailles Création de la SDN Première guerre mondiale : une guerre totale Extrêmement meurtrière à cause des nouvelles armes Extrêmement traumatisante à cause des conditions horrifiantes Premier génocide (1915, Arménie) Première fois où tous les pays du globe sont touchés Première fois où la guerre mobilise toutes les forces du pays (économiques

Une guerre totale est un conflit dont les conséquences et les implications ne se limitent pas aux champs de batailles mais touchent l'ensemble des sociétés des pays mobilisés. I/ Les guerres totales : des guerres planétaires de plus en plus meurtrières et destructrices - Un changement d’échelle : Des guerres mondiales (multiplication des zones de combat…) qui s’éternisent ; ce qui implique des effectifs considérables : nombre, nationalités…soldats originaires des colonies….adolescents soldats ;