Microcosme

donc connaissance Peut être joue-t-il sur les effets sonores en fin de paragraphe ? III Volonté d’essayer de dépasser la limite de la mort. On sent la douleur d’un homme vieillissant. Il sait qu’il n’y a rien après la mort : athéisme Microcosme : Toi et Moi, il y a un petit point de vue et un gros point de vue Nous sommes donc invités a s’identifier à ce personnage fictif qu’est l’arrière petit enfant.

correspondances verticales. • Pour certains penseurs, l’Homme serait une réplique, à échelle réduite (microcosme), de l’Univers (macrocosme). • Selon l’influence du philosophe suédois Swedenborg, dont l’influence est très nette chez Baudelaire, « l’homme intérieur est le ciel sous sa petite forme » et « le ciel est un grand homme ». En vertu de cette analogie (entre le microcosme et le macrocosme), l’Homme pourra donc connaître l’univers mais aussi découvrir en lui son appartenance au monde

« Instinct et raison, marques de deux natures ». Fracture entre l'ordre du corps et de l'esprit. Individu pensant supérieur à l'ordre de l'univers matériel. Contraste de taille : « Par l'espace l'univers me comprend, par la pensée je le comprends »; le microcosme qu'est l'homme par la pensée est supérieur au macrocosme de l'univers. Mais la pensée est aussi le drame de l'homme, car par elle il a connaissance de sa détresse et de sa misère. Mais cette conscience permet à l'homme d'accéder à la lumière de

climat étouffant de l’Asie ; et surtout au milieu des épées et du sang de la guerre . Les personnages : Elle: écolière chinoise de 16 ans passionnée du go. Adolescente en quête d'identité, et joueuse exceptionnelle, le go est au centre de son microcosme.

 Lui: officier japonais originaire de Tokyo, affecté en Mandchourie. Son histoire est assez originale. Entraîné dans la guerre par la force du destin, il joue son rôle de soldat malgré lui, avec ses faiblesses et ses nombreuses hantises.

trouble la quiétude). La cour n'est en fait qu'une illusion, une illusion du pouvoir, de la richesse, de la connaissance… Candide vit donc au sein d'un monde d'illusions dont il est victime. Il croit à ce qu'il voit car il ne connaît que ce monde. un microcosme qui n'est qu'incohérence. Un paradis où tout le monde s'efforce de mentir et croire à autre chose que la réalité. Candide n’est donc qu’au début de son apprentissage, il est encore bien loin de l'idéal voltairien

dans le but de dévoiler de manière implicite un idéal humaniste à travers cette analogie, décrivant le fonctionnement d'une véritable utopie. II- Un idéal humaniste 1. Unesociété idéale au sein d'un corps Analogie entre le corps et le monde : CL «microcosme »,« petitmonde »,« cemonde »→ Le corps est une métaphore de la société. Montre le fonctionnement du corps comme le fonctionnement d'une véritable société: hiérarchie des différents membresqui sont désignés comme des «travailleurs »ou des «débiteurs;

L’intérieur de l’huître • Introduction par « À l’intérieur ». • Dualité : beauté « nacre + laideur, répulsive • • => ambivalence ; dégoûtant mais fascinant ; mélange hétérogène et indissociable de beau et de laid. II. Portée symbolique 1. Microcosme de l’huître • Symbolique de l’univers : répétition de « monde » • Composition du monde de l’huître : « halos », terme d’astronomie • Symboles géographiques (« cieux », « firmament », « sachet visqueux » = terre, « mare » = mer, « bords » =

contrats vont jusqu'à douze ans). Times Square est un quartier en constante effervescence, à toute heure du jour et de la nuit, qui reflète sans doute le mieux l'activité de New York, « La ville qui ne dort jamais ». Times Square est une sorte de microcosme à l'intérieur de la ville, avec ses magasins géants et ses panneaux publicitaires (les billboards : enseignes lumineuses ou non) démesurées : publicités pour des voitures, pour des séries télévisées, où pour des pièces de théâtre devenues mythiques

points : • La dimension métaphysique (L.A n°1, 3 et 4) : la peste comme allégorie de la condition humaine. o Habitant d’Oran = homme en général (cf. texte 1 avec les indices de la généralisation du propos) o Ville d’Oran = Toute ville moderne = microcosme représentant le monde o Peste qui touche l’homme = représentation de l’absurdité de la condition humaine (cf. extrait n°1) o Peste = symbole du mal qui est dans l’homme (« l’homme est un loup pour l’homme » = l’homme est naturellement mauvais, cf

ambulances des personnes sur les barricades.3) la barricade comme microcosme : : : � lieu de vie Ainsi, la barricade semble devenir une sorte de microcosme où s’organise un véritable lieu de vie  : : : � d’ores-et-déjà, il y a une organisation propre dans la barricade, une nouvelle autorité puisqu’il y a des procédures pour maintenir l’ordre, empêcher les pillages, distribuer les vivres, opérer des tours de garde. Mais ce microcosme n’est pas qu’une organisation d’autorité, il renvoie aussi