Mikhaïl Gorbatchev

courant de l'accident. Aucune mesure de protection n'est prise et la vie suit son cours. Très vite, Moscou apprend la catastrophe, mais la désinformation à l'intérieur du système soviétique est telle que le chef de l'état soviétique de l'époque Mikhaïl Gorbatchev mettra plus de deux heures avant de savoir ce qu'il se passe réellement. Des unités militaires sont envoyées sur place dans la précipitation mais les passants ne s'en préoccupent pas. Les militaires constatent que par endroit le taux de radiation

est à l’origine de la création de la Communauté européenne du charbon et de l’acier en 1951 et de la Communauté économique européenne en 1957. Fédéraliste, il souhaite transférer le pouvoir des Etats à une entité européenne supranationale. Mikhaïl Gorbatchev (né en 1931) Secrétaire général du parti communiste soviétique en 1985, il s’engage une réforme profonde de l’URSS, la « perestroïka ». En 1989, il interdit aux troupes soviétiques présentes en Europe de l’Est d’intervenir et laisse les révolutions

que sont installés les SS20 soviétiques en RDA. Les Etats-Unis et l'URSS ne peuvent pas empêcher les conflits au Proche-Orient. Enfin, la seconde moitié des années 80 marque un apaisement, sûrement facilitée par l'arrivée au pouvoir de Mikhaïl Gorbatchev en 1985. Ce dernier met fin à la crise des euromissiles, et c'est la fin des internements psychiatriques, et de la censure des radios occidentales. Le monde s'apaise, la Hongrie ouvre son « rideau de fer » et le 9 novembre 1989 tombe le mur

mette un terme à l'apartheid.    L'arrivée au pouvoir de Mikhaïl Gorbatchev en 1985 est ressentie comme un tournant. De plus, les États-Unis sont désormais en position de force pour négocier la réduction des armements stratégiques. Un sommet Reagan-Gorbatchev se tient à Genève, suivi d'une rencontre en 1986 à Reykjavík, qui aboutit à un traité d'élimination des forces de courte et moyenne portée, signé à Washington en 1987. En 1988, Gorbatchev annonce le retrait des troupes soviétiques de l'Afghanistan

Poutine joue un rôle dans les négociations délicates entre le KGB de Léningrad et les structures militaires liées aux putschistes du Kremlin. Poutine prétend avoir donné sa démission officielle du KGB le 20 août 1991 lors de ce coup d’État contre Gorbatchev, mais elle n'aurait pas été acceptée. C’est à sa propre initiative qu’il accepte alors la proposition d'Anatoli Sobtchak de passer dans son cabinet à la mairie, tout en restant officiellement officier opérationnel supérieur du KGB local. Sa démission

de ressortissants de la RDA perdent la vie en essayant de le franchir, les gardes-frontière est-allemands et soldats soviétiques n'hésitant pas à tirer sur les fugitifs. L'affaiblissement de l'Union soviétique, la perestroïka conduite par Mikhaïl Gorbatchev et la détermination des Allemands de l'Est, qui organisent de grandes manifestations, provoquent, le 9 novembre 1989, la chute du « mur de la honte », suscitant l'admiration incrédule du « Monde libre » et ouvrant la voie à la réunification

l'ordre d'empêcher les tentatives d'évasion par tous les moyens, même au risque de la mort du fugitif. Le mur fait près de 1.135 victimes et 75.000 prisonniers. LA CHUTE DU MUR … L'affaiblissement de l'Union Soviétique, la politique de Mikhaïl Gorbatchev (président russe de l'époque) et les manifestations des Allemands de l'Est provoquent, la chute du mur de Berlin. Dans la nuit du Jeudi 9 au Vendredi 10 Novembre 1989 le mur "tombe" après 28 ans d'existence. Le 12 septembre 1990 le traité de

les soldats soviétiques n'hésitent pas à tirer sur les fugitifs. Vestige du mur de Berlin, 2004 Panneau indicateur de l'ancienne division allemande L'affaiblissement de l'Union soviétique, la perestroïka conduite par Mikhaïl Gorbatchev, et la détermination des Allemands de l'Est qui organisent de grandes manifestations, provoquent le 9 novembre 1989 la chute du « mur de la honte », suscitant l'admiration incrédule du « Monde libre » et ouvrant la voie à la réunification allemande

désarmement qui contribueront à augmenter la stabilité et la sécurité. Il faut que le principe selon lequel l'importance des forces armées ne doit répondre qu'aux stricts besoins d'autodéfense, soit appliqué dans le monde entier. Le 7 octobre 1989, Mikhaïl Gorbatchev était en RDA pour célébrer les 40 ans de la plus occidentale des frontières soviétiques. En fait d'anniversaire, il consacrait la rupture de Moscou, en lançant à une foule conquise :« Celui qui vient trop tard est puni par la vie. »Les leaders

entreprises se mettent en grève. Le 17 juin, l'agitation gagne très vite le reste du pays. Des centaines de milliers de personnes descendent dans les rues des principales villes. L'affaiblissement de l'Union soviétique, la perestroïka conduite par Mikhaïl Gorbatchev, et la détermination des Allemands de l'Est qui organisent de grandes manifestations, provoquent le 9 novembre 1989 la chute du « mur de la honte », suscitant l'admiration incrédule du « Monde libre » et ouvrant la voie à la réunification allemande