Mill Et Altruisme

valeurs telles que l'égalité , la justice ou encore la paix deviennent réellement effectives. Cette volonté rassemble aussi bien le combat des philosophes pour l'égalité que celui de femmes telles que Mère Thérésa ou Soeur Emmanuelle oeuvrant avec altruisme pour améliorer la situation des plus démunis. Néanmoins, il semblerait que depuis l'Antiquité grecque et encore de nos jours, l'action morale ne soit pas apparue aux hommes comme étant compatible avec leurs intérêts individuels. En effet,

au paradis lors du jugement dernier. Mais le faible pardonne mais vit le ressentiment et ce sentiment est l'affect d'une volonté qui cherche à se venger. Le faible n'a pas cherché à s'épanouir, il cherche à créer des valeurs humanitaires (pitié, altruisme) conte les forts et va même à se venger du fort sous un prétexte humanitaire. On peut aussi vouloir être faible pour paraître meilleure auprès des autres et on peut pardonner ou aider les autres par pur hypocrisie. Selon Nietzche cela n'est pas

dans son groupe et moins l’individu parvinet à se penser comme distinct de ce groupe et il ne peut plus exister en dehors de son groupe, et de ses limites. Les individus ne s’appartiennent plus et peuvent en venir à se tuer par devoir. Le terme « altruisme » exprime la situation où le moi ne s’appartient pas, où il se confond avec autre chose que lui-même et où le pôle de sa conduite est situé en dehors de lui. On peux considérer trois cas de suicides altruistes : -l’obligatoire ou celui qui est accompli

des nations. * Robert MALTHUS (1766-1834), mesures de restriction démographique et économique. * David RICARDO (1772-1823), a repris les thèses de Smith et Malthus, a introduit la rigueur dans la pensée économique. * John STUART MILL (1806-1873), synthèse de l’ensemble des apports des classiques, Principes d’économie politique 1848. A partir des classiques le déroulement de la science économique ne sera plus linéaire. Constitue le tronc commun. Ce classicisme en économie provient

moralité au bonheur si l’on ne parvient pas à définir le bonheur. On retient 2 objections : 1° L’idée de bonheur n’est pas définie malgré l’apparence objective du calcul. 2° L’accord des intérêts particulier > général est seulement postulé. Suart Mill va perfectionner la morale utilitaire sur ces deux points : • D’abord il éclaircit l’idée de bonheur en distinguant des degrés dans les plaisirs : « On donne une préférence à la vie qui exerce nos facultés les plus élevée. Aucun homme ne consent à

faire à partir des données individuelles des habitants interrogés sur des thèmes divers mais individuels (accomplissement, santé, travail, famille, finances personnelles, amour, liberté, reconnaissance, amitiés, optimisme, spiritualités, sérénité, altruisme, environnement, connaissances, conscientisation sociale, jugement). D’autres, plus politiques, comme celui de l’Indice de développement humain (IDH) du PNUD9, mesure depuis 1990 trois critères : la 9 Programme des Nations Unies pour le Développement

inédite et transversale. On peut, selon lui, identifier deux types de théories ou d’attitudes morales : le minimalisme et le maximalisme.   Minimalisme, maximalisme   Le minimalisme, qui s’inspire beaucoup de la tradition libérale de John Stuart Mill, s’articule autour de trois principes : 1) le rapport à soi-même est moralement indifférent ; 2) seuls les torts envers autrui sont condamnables (harm principle) ; et 3) chacun a droit à une considération égale.   Pour un minimaliste, le domaine

conduit, si elle est suffisamment menée, à un état de "béatitude", qu'il définit comme étant la connaissance désintéressée de la vérité. Or, selon lui, cette connaissance s'accompagne inévitablement de toutes les autres vertus (générosité, courage, altruisme etc): la recherche du bonheur s'accompagne donc inévitablement de la prise en comptes des critères moraux. Aristote, quant à lui, allait même plus loin; selon lui, le bonheur était un mode de vie rationnel et vertueux, et non pas forcément la satisfaction

(n-1) va influencer le comportement de B en (n). Le comportement de A induira une réaction de B au coup suivant. Cf. L’œuvre de Robert AXELROD : Donnant, donnant. A priori, en recherchant son intérêt personnel, chacun va coopérer non pas par pur altruisme ou gentillesse mais par égoïsme en vue de maximiser son gain ou minimiser sa perte. Si le boulanger vend un bon pain à prix abordable, c’est parce qu’il espère revoir son client la fois suivante pour que celui-ci lui achète de nouveau du pain. L’équilibre

droit Schopenhauer, Le fondement de la morale Nietzsche, Aurore, réflexions sur les préjugés moraux ; Par-delà bien et mal ; Généalogie de la morale Bentham, Déontologie ou science de la morale Stirner, L'Unique et sa propriété Mill, L'Utilitarisme Spencer, Les Bases de la morale évolutionniste Maine de Biran, Fondements de la morale et de la religion Henri Bergson, Les Deux Sources de la morale et de la religion Scheler, Le Formalisme en éthique et l'éthique