Mimésis Aristote

politiques, Aristote dénonçait le scandale de la « chrématistique », cet enrichissement ayant pour origine l’argent lui-même et non la production de biens nouveaux. Il y voyait un mode de production de richesse privée de toute base naturelle, étant entendu que pour lui une telle base est définie par une propriété (soit tout un ensemble de biens comme instruments) liée à une production, une activité de transformation (« poièsis »). Et cette forme d'échange non naturel éclate, selon Aristote, dans le

que nous sommes. Outre le langage, la pensée, le raisonnement, l’intelligence, la créativité et la communication, il nous a été donné avant tout le moyen de nous exprimer. Le rire n’est-il pas le propre de l’homme ?,……..Ce qu’affirmait déjà Aristote, repris par Rabelais, et martelé par Bergson ! Depuis l’antiquité, l’homme s’est toujours interrogé sur ce qui est le propre de l’homme. Le rire, les pleurs, ou simplement l’expression du visage n’est-il pas donné à l’homme lui-même, qui le

quantitativement. Ainsi, la création poétique apparaît bien avant tout comme une recherche sur les potentialités du langage et en ce sens elle exige un travail inlassable. II. 2 La création poétique, un travail inlassable Déjà dans l’Antiquité, Aristote avait précisé dans sa Poétique, que le poète pouvait poétiser le langage courant, « le dialecton », grâce au travail. Au Moyen Âge, les grands rhétoriqueurs ont poussé au paroxysme le goût de la perfection technique et ont ajouté aux difficultés

Note | Observations | L’Homme est souvent considéré comme le plus intelligent des êtres vivants. Aristote fait partie des philosophes qui affirme cette thèse, qu’il souligne à travers le thème de la culture avec la technique. Dans ce texte, il place la main de l’Homme comme outil principal par lequel il se différencie, peut s’exprimer mais aussi réaliser ce qu’il lui manque pour lutter contre la nature et survivre. On fera donc une explication linéaire en décomposant son développement

Intro Je vais vous présenter une poésie de Guillaume de Bartas intitulée « un chaos de chaos » datant de 1580, tirée du recueil poétique La Semaine (ou Création du monde). De Bartas est un poète du 16°, il est le premier représentant du mouvement baroque. Les thèmes principaux abordés dans cette œuvre sont spécifiques au mouvement baroque, ils relatent les interrogations sur la vie. C’est une œuvre poétique divisée en 7 chants, chaque chant correspond à un jour de la semaine de la création du

| | | | |1. Définition(s) = |Définition(s) : Selon Aristote : vérité = accord entre les faits, la| |Toute vérité naît de l’assemblement logique de tous les faits qui |pensée, le discours et la réalité. | |nous sont donnés.

Etre n'est évidemment pas un prédicat réel, c'est-à-dire un concept de quelque chose qui puisse s'ajouter au concept d'une chose. C'est simplement la position d'une chose ou de certaines déterminations en soi. Dans l'usage logique, ce n'est que la copule d'un jugement. Cette proposition : Dieu est tout-puissant, renferme deux concepts qui ont leurs objets : Dieu et toute-puissance ; le petit mot est n'est pas du tout encore par lui-même un prédicat, c'est seulement ce qui met le prédicat en relation

PLATON Le Banquet - Préambule sur la transmission du récit - Arrivée de Socrate o Proposition d'Eryximaque § Discours de Phèdre § Discours de Pausinias (et intermède : Le hoquet d'Aristophane) § Discours d'Eryximaque § Discours d'Aristophane § Discours d'Agathon o Intervention de Socrate o Discours de Diotime - Irruption d'Alcibiade - Eloge de Socrate par Alcibiade Le Banquet (ou De l'Amour) APOLLODORE Je crois que je suis assez bien préparé à vous faire le récit que

moyen de purification puisque les crimes sont souillures. Protagoras, pour sa part, connaissant seulement le droit humain qui établit et sanctionne par une collectivité souveraine ceux qui menacent la cité, trouve sa garantie dans les exécutions. Aristote, pour qui le libre arbitre est le propre de l’homme[1], considère le citoyen comme étant responsable de ses actes : si crime il y a eu, un juge se devra de définir la sentence qui permettra d’annuler le dommage causé en le compensant. C’est de cette

concorde et comme une vertu partagée par tous. La justice est la même pour tous. C'est même la vertu principale, celle qui engendre toutes les autres. Pour Platon la justice consiste à donner à chaque homme la place qui lui revient dans la société, mais Aristote a une vision différente de la justice : elle consiste à se tenir aux lois, les respecter, afin de conserver le bonheur de la communauté politique: « le juste est le bien politique, à savoir l'avantage commun ». Cette justice met fin à l’état de nature