Mini-récit

Le roman est construit sur deux récits enchâssés dans un troisième, d'où les nombreux changements de narrateur. L'histoire commence en 1834, où Alexandre Dumas, personnage du livre et narrateur, retrouve un vieil ami Alfred de Nerval. Celui-ci lui raconte l'étonnante histoire de Pauline, qui est décédée un an auparavant. Les deux jeunes gens l'ont connue tous les deux, bien qu'Alexandre n'ait qu'un vague souvenir d'elle. On entre alors dans le premier récit enchâssé, désormais raconté par Alfred

l’argumentation : Présence indices personnels : convaincre Absence indices personnels : impartialité, efface les marques de l’énonciation. Modalisateurs : Adverbes : peut-être, sans doute … Verbes : sembler, paraître … Conditionnel : doute Rythme du récit : tertiaire ou périodique Schéma narratif Lexique évaluatif : exprime le jugement : bien ou mal Lexique affectif : exprime un sentiment : aimer ou haïr et la subjectivité : en faveur ou défaveur. Destinataire : 2eme personne: directement

du xviie siècle. L'essentiel de son travail consista en la collecte et la retranscription de contes issus de la tradition française. Il est l'un des formalisateurs du genre littéraire écrit du conte merveilleux. L’univers Narratif : Amour Dans un récit d'amour, il y a au moins deux personnages qui vivrons une histoire d'amour. Il peut aussi y en avoir trois si l'un des personnages principaux à un ou une rivale. Il peut y avoir plusieurs situations comme un ''triangle amoureux’’ (l'un aime l'autre

délivré des faiblesses de l'Amour" C'est le jour où il soutient à la Sorbonne un exercice de Théologie que Manon, informée, assiste à la séance puis se précipite dans le parloir. Le moment est capital fragment des Mémoires , texte narratif : récit d'un nouveau tournant dans l'existence de DG. Grand suspense sur l'issue de cette rencontre. Le premier intérêt c'est la réactualisation de cette scène. Le second : les pouvoirs de Manon . A) La réactualisation Tout est donné à voir et

l'ordre des notions => chiasme = > ambivalence du genre inventé par Voltaire : plaire et instruire, c’est le but du conte philosophique. C’est en cela que l’on parlera d’apologue (genre qui englobe tous les récits courts et plaisants à visée instructive)  ➢ Plaire par le récit invraisemblable, voire le recours au registre merveilleux et qui apparente alors Candide au conte de fées : le pays d’Eldorado, Chapitre XVIII. ➢ Instruire : Le sous-titre propose un débat philosophique

pour la transmettre au tableau. Comme la définition du mot ‘’Fantastique‘’ le décrit si clairement, ce terme désigne une intrusion surnaturelle dans le cadre réaliste d’un récit. Dans cette œuvre, nous pouvons observer un phénomène que nous ne pouvons pas expliquer de manière rationnelle. En effet, au fur et à mesure que le récit se pose, une intrigue apparaît graduellement : la passion du peintre pour son art opposé à la dégradation de l’état de santé de sa femme. L’auteur nous fait donc voir avec

vainqueur grâce à son intelligence et sa vivacité d'esprit. Nous montrerons que la vivacité et la variété du récit sont mises au service d'une critique véhémente contre la société qui gravite autour du Roi-Soleil. I. Un récit vivant, attrayant 1. Récit riche en rebondissements - Des événements rapidement présentés - Deux coups de théâtre 2. Récit avec une énonciation diversifiée - Un récit qui alterne avec le discours du fabuliste, présent dans sa fable - Les différentes voix des personnages

Fable qui rappelle les récits mythologiques • Récit • « Un mal qui répand la terreur » : allusion à Œdipe de Sophocle (mauvais comportement des Hommes qui entraîne des châtiments avec la nécessité d’une victime expiatoire) • Idée du destin • Début récit mythologique puis scène de théâtre, justice et enfin morale 2. Variété, diversité • Versification (rimes embrassées qui lient les vers, strophes de longueurs variables), accélération • Alternance récit / discours • Polyphonie

LE ROMAN ET SES PERSONNAGES, Fiche bilan 1/6 Définition : genre narratif apparu au XII° ; récit fictif en prose, qui se distingue de la nouvelle par sa longueur. Dans le roman, le narrateur relate l’histoire de personnages qui subissent des péripéties. I. Le langage romanesque Narrateur : Celui qui raconte l’histoire, qui prend en charge le récit. Il n’existe que deux types de narrateur : interne ou externe. Il est interne quand il est un personnage qui fait partie de l’histoire ; il

le portrait d’un personnage imaginaire Compétence du programme : Rédiger des textes courts de différents types (récits, descriptions, portraits) en veillant à leur cohérence, à leur précision (pronoms, mots de liaison, relations temporelles en particulier) et en évitant les répétitions. Compétence attendue au palier 2 du socle commun : Rédiger un texte d’une quinzaine de lignes (récit, description, dialogue, texte poétique, compte rendu) en utilisant ses connaissances en vocabulaire et en grammaire