Minimalisme

concours « le Ballet pour demain » offre un tremplin et son palmarès révèle les futurs chefs de file de ce qu’on a appelé par la suite « la génération Bagnolet ». * Dominique Bagouet (1951-1992) s'inspire des événements de la vie quotidienne et du minimalisme. * Dans cette lignée, Maguy Marin, ancienne élève et interprète de Béjart, poursuit cette approche de la modernité et bouleverse les conventions. * Jean-Claude Gallotta montre, quant à lui, dans ses chorégraphies, son refus du concret et

1937 dans une famille d'architectes (son père, son grand père et son oncle sont architectes), Renzo piano reprend le flambeau. Il étudie à florence et à milan, travaille également avec son père, puis sous la direction de Franco Albini partisan du minimalisme. De 1965 à 1970, il travaille chez Louis Kahn à Philadelphie, puis chez Z. S. Makowsky à Londres. Au cours de cette période il fait la connaissance de Jean Prouvé, avec lequel il se lie d'amitié, et dont il subit l'influence. Ingénieur et architecte

tout genre, une salle d’animation pour contes, ateliers, éveil de l’enfant, projections et lectures, un coin jeunesse spécial BD et documents audiovisuels, et plus de 3000 enregistrements musicaux et films. Côté déco, on apprécie le calme zen du minimalisme moderne et raffiné choisi par les architectes 102425570485 Signalétique de l’établissement Des parois vitrées Illustration 3 : façade de la médiathèque 1071880128905Effet de la lumière artificielle sur l’espace Découpage

production picturale est largement valorisée. Souvent pourtant cette production picturale est l’occasion d’utiliser des techniques éprouvées, mais aussi des modèles artistiques récents ou plus anciens (du tachisme à la Pollock au surréalisme ou au minimalisme à la Malévich ou au cubisme...). Parfois même c’est l’art africain, polynésien ou asiatique qui sert de modèle de construction. Comme en musique, les enseignants n’imaginent pas produire un Rothko, un Picasso ou un Soulage dans leurs cours. Ils

submerger par la cruauté et l’idée de dire que les écrivains sont eux aussi affecté par cette cruauté, ils auraient donc tendance à se replier sur le moi. L’art à cette difficulté à formuler des réponses imaginatives, l’art évolue vers un art minimalisme : un art qui opère une restriction drastique de ses champs de vision. L’art tomberait dans l’ordinaire, voir même avec un effacement de la personnalité de l’artiste un rejet des contextes clarifient, l’art aurait tendance à refuser des model tel

Ex : Les « Bobos »  Bourgeois / Bohème Ex : Les gays Les tribus de la planète jeune : Les kitschs : Dimension régressive et ludique Les revivals : Cultivent la nostalgie des années 70 Les branchouillards : Collectionnent les icônes du minimalisme froid Les technonautes : Culte des nouvelles technologies Les enrapés : Revendiquent la culture de la musique rap Les tout glisse : Vénèrent le mouvement La personnalité et le concept de soi : Personnalité : Confiance en soi, Autonomie

Introduse de Lidia Cotea: À la lisière de l’absence. L’imaginaire du corps chez Jean­Philippe Toussaint, Marie Redonnet et Éric Chevillard Les héros stendhaliens. Un monde d’êtres ineffables Le Rouge et le Noir ou comment ne pas être Sorel Entre minimalisme et quête identitaire. Le corps dans l'oeuvre de Marie Redonnet Corps à corps avec la réalité. Le corps dans l'oeuvre de Jean­Philippe Toussaint Éléments pour une lecture anthropologique de la corporéité Outils pour le cours pratique de français langue étrangère dans l’EAD

corbusier utilise le blanc et le béton comme le rassemblement de toutes les couleurs. Le blanc permet d’aller à l’essentiel. Les murs des maisons sont blancs pour laisser l’espace respirer, pour que la simplicité s’instaure sans ambiguïté. Blanc et minimalisme pour lui vont de pair. ° Franck lloyd lui architectes «organiques» préfère laisser exprimer les matériaux dans leur propre nature LE COUVENT SAINTE-MARIE DE LA TOURETTE FOLLING WATER FLW °La question est de se poser si on peut restituer

lentement à leur hauteur. Elle regarde l’enfant qui se frotte la joue. Il lui rend son regard, sans pleurer, comme s’il sentait vaguement que tout ça ne le concerne pas vraiment. Dans cet extrait, l’action se déroule sans interruption, dans un minimalisme descriptif, suffisant et en cohérence avec le propos. Pierre Lemaître soigne le rythme de sa scène, depuis l’agacement évident de son personnage qui allume sa cigarette, qui se transforme en colère débordante face à l’enfant, jusqu’au climax

scène par Serge Postigo qui la monta comme en 1668, sans électricité et avec force chandelles, sans amplification des voix, sans musique préenregistrée et sans variations d'intensité et de couleur dans la lumière, avec une certaine sobriété, un minimalisme des plus appréciables. Pourtant, il ne s'affranchit pas complètement du comique à l'américaine : le burlesque, le clownesque et la caricature pointent ici et là : on entend un comédien vomir en coulisses ; on voit un autre descendre un escalier