Mise En Abyme Dans La Tempete

Quelle est la nature réelle de notre dramaturgie nationale, quel est son contenu et quelle est sa marque esthétique ? En un mot, qu’apporte – t–elle de nouveau ou d’original par rapport aux autres œuvres et spectacles avec lesquels elle est souvent mise en compétition ? » Dans Le chant du lac, la névrose se traduit par l’obsession aquatique (existence dans le roman d’une isotopie hydrante) et l’obsession de la terreur sacrée qui hante les personnages plongés dans un univers fantastique caractérisé

Récurrence binaire = structure d’opposition. On a 2 narrateurs = Lockwood et Nelly. Il y a donc : 2 familles, 2 générations, 2 domaines, 2 rivaux. On a des prénoms qui réapparaissent d’une génération à une autre ; un récit qui est parfois répété (la tempête qui suit la mort de Catherine est relatée par Heathcliff, puis par Isabelle = d’où point de vue différent). Récurrence obsessionnelle des chiffres 1 et 2 dans le roman. Caractère cyclique de l’œuvre est accentuée par la présence du double. Heathcliff

soi…………………………………. I.2. :Le retour à Ithaque/Gênes………………………………………………………. I.2.a : Douleur et enseignement de l’exil………………………………………………. I.2.b : Terre promise……………………………………………………………………. II. Le voyage à l’épreuve des mots…………………………………………………….. II.1 : La nécessaire mise en mots du voyage…………………………………………... II.1.a : Elément déclencheur du récit………………………………………………….. II.1.b : La rhétorique du voyage……………………………………………………….. II.2 : Voyage au pays des mots…………………………………………………………. II.2.a : Mensonges………………………………………………………………………

maîtresse. Offre un cadeau à sa femme, le reprend pour l’offrir à l’autre et réciproquement). Frédéric fait des avances à Rosanette, qui les refuse. Il décide alors de faire faire son portrait par Pellerin. Avance 15000 F à Deslauriers et Husonnet pour la mise en place d’un journal politique. Va chez Dambreuse pour se faire recommander auprès du garde des Sceaux. Rosanette lui envoie un billet pour lui apprendre qu’elle s’est débarrassée de M. Oudry. Est invité chez les Dambreuse: rencontre Martinon et d’autres

31 34 34 35 39 42 46 46 48 51 57 57 57 59 62 65 67 5 6 7 10 15 17 18 18 21 Première partie : les éléments communs à « L'albatros », à « Syndrome albatros » et au corpus 3.2.1 – La pluie, le froid 3.2.2 – La brume, le brouillard 3.2.3 – La tempête, le vent 3.3 – Un univers sombre 3.3.1 – Le noir, l'obscur 3.3.2 – Le matin, le soir 3.3.2.1 – Le matin 3.3.2.2 – Le soir 3.3.3 – La nuit, minuit 3.3.3.1 – Elle est liée à la drogue, à la prostitution 3.3.3.2 – Elle est liée au froid, à la souffrance

et notamment « Smarra » (démon du cauchemar). Le Cauchemar (p. 458) : poème inspiré par « Smarra » (éléments romantiques contrastés et récurrents : oppositions entre des figures tout à fait contradictoires : le mal et la figure candide de la Vierge mise en scène par Hugo). La ronde du Sabbat p. 451 : Plus impressionnant quant à la technique d’écriture, texte de 1826. Il est assez long et a des particularités formelles. Il est lui aussi un texte inspiré par un autre auteur (lien d’intertextualité)

paraissent-ils efficaces ? Pourquoi ? Questions amenant à étudier le texte : - par rapport à un genre : Quelle relation s’établit dans ce texte entre le narrateur adulte et l’enfant qu’il a été et met en scène ? Comment s’opère dans ce texte la mise en forme du souvenir ? Comment ce poème joue-t-il avec le langage ? - par rapport à une esthétique : Par quels aspects ce texte se rattache-t-il à l’esthétique baroque ? - par rapport à une registre ou à l’articulation de plusieurs registres : Quels

un bateau magique. Il remarque «une belle chasseresse», et lui envoie Sancho en ambassade. Or cette duchesse et le duc connaissent de réputation «le chevalier à la triste figure», et les accueillent triomphalement dans leur château. Mais c’est une mise en scène par laquelle les deux compagnons sont l’objet de leur risée. Ainsi, on suscite à don Quichotte des aventures chevaleresques imaginaires, tirées des romans : - «la découverte que l'on fit de la manière dont il fallait désenchanter la sans

Commentaire Démarqué de Joseph Conrad, ce roman est une parodie, une dérision, du roman d’aventures où, à partir de données conventionnelles : l’exotisme, l’injustice, la rébellion, le recours aux amis, le trafic d’armes, le voyage en bateau, les tempêtes, le parti adverse qui met des bâtons dans les roues, l’amour et les retournements de situations, s’organise une action qui est constamment en porte-à-faux, qui, de deux personnages en deux personnages, de péripétie en péripétie, se défait, s’annule

ressortir, comme en chimie, bon nombre des mutations qui traversent le siècle. p.18 Pétia / mise en scène Andreï Serban : « […] il incarne dérisoirement un militant léniniste hystérique prisonnier de la langue de bois, tandis que dans celle de Peter Zadek il parle comme s’il avait déjà intégré l’échec futur de ses projections illuminées. Ce Pétia-là a conscience de la défaite à venir… » p.18 Pétia / mise en scène Andreï Serban, «  Pétia se rattache à la déclamation politique des animateurs de meetings »