Mise En Scene Jeu Des Personnages

G. de LA TOUR : Le Tricheur à l’as de carreau Fonction référentielle : La scène représentée sur le tableau est une partie de carte, un loisir commun. Visiblement il s’agit du moment précédent un acte de tricherie de la part du personnage à gauche du tableau, le tricheur. On peut clairement identifier quatre personnages par le rôle qu’ils exercent : (de gauche à droite)  1. Le tricheur : il cache deux cartes, dans son dos, aux yeux des autres joueurs. 2. La servante : Son regard est anormalement

la servante. Axes de lecture Une scène d'exposition qui ouvre traditionnellement une pièce de théâtre, mais qui est ici détournée : l'auteur n'a pas préparé le spectateur à cette mise en abyme initiale ; Les relations entre les soeurs sont représentatives d'une relation maître / domestique. I. Une scène d'exposition A. Les éléments d'exposition 1. Un cadre spatial. (Voir le décor) un univers social, bourgeois ; un univers féminin : une scène d'intimité qui suggère sensualité voire

l’absurde est de transmettre un message à la société actuelle mais par le rire et la provocation. L’absence d’intrigue au théâtre est due à l’incompréhension totale du sens exact de la vie des hommes, c’est cette situation qui est critiquée et mise en scène dans le théâtre de l’absurde. •Pièces et auteurs importants : -Eugène Ionesco : auteur roumain, il passe son enfance à Paris. Il dénonce lors de la montée du fascisme, la domination et le fanatisme qui pèse sur l’individu. Il transmet ses idées

Acteurs de bonne foi, scène II. L'amour, sujet vaste et complexe longuement abordé au fil des écrits et de l'art. Elle offre un large terrain d'épanouissement à l'imagination. L'oeuvre de Marivaux, Les Acteurs de bonne foi, est un exemple d'exploitation sur ce sujet. Texte théâtrale de 1757, la scène II est un passage qui met en avant la complexité des différents couples et la comédie qu'il peut s'y jouer. On voit en premier lieu que les rapports entre les différents personnages sont mélangés par une

Antigone de Jean Anouilh Mise en scène de : Nicolas Briançon Assistante à la mise en scène : Catherine Gondran Production : Théâtre Marigny Créée et filmée : au Théâtre Marigny en mai 2003 Thèmes Cinéma, littérature, musique, théâtre Avec : Barbara Schulz, Robert Hossein, Bernard Dhéran, Pierre Dourlens, Julie Kapour, Elsa Mollien, Julien Mulot, Bruno Henry, Claudia Fanni, Dominique Roncero, David Loyola Décors : Pierre-Yves Leprince Costumes : Sylvie Poulet et Martine Mulotte Eclairages

de Cal: « Tout le monde t’a vu tirer« ; « Tout le monde t’a vu monter dans le camion« . La symétrie de la construction renforce la véracité de ces deux affirmations, fondées sur l’évidence de le présence des témoins, et dessinent le portrait d’un personnage violent, Cal, capable d’abattre un homme puis d’écraser ensuite son cadavre. Ce déchaînement se confirmera dans la dernière tirade de Cal, lorsqu’il évoquera ce qu’il a fait du corps, avant de le jeter à l’égout. Le racisme de Cal est sensible

valet Sganarelle, acte I scene I Intro : Introduction : - Dom Juan, 1665, au terme d'une période difficile marqué par les attaques du partie des Dévots et l'interdiction de Tartuffe (1664) : pièce qui s'attache à un phénomène social et culturel du XVII ème siècle : le libertinage - scène d'ouverture : * traditionnelle : délivre des informations ,personnalité du maitre « mise en « appétit » * originale : car ces informations sont présentées par des personnages secondaires et se mêlent à

Les costumes au théâtre ont plusieurs fonctions : -ils tiennent à la fois du discours et de la mise en scène : certains personnages peuvent en critiquer d'autres en évoquant leur façon de s'habiller. -ils sont porteurs de comiques : selon les textes, ils accentuent les traits de caractère d'un personnage (Harpagon et sa fraise à l'antique), ils participent de l'effet visuel et du comique de caractère. Tel vêtement débraillé va traduire un caractère fantaisiste ou défaitiste, par exemple. -Ils

représentation, au texte lui-même. Selon lui, nous privilégions les mots aux autres moyens d’expression sur scène. Notre théâtre est-il donc si obnubilé par la parole ? Nous répondrons à cette question en montrant tout d’abord que la parole est en effet indissociable au du genre théâtral, puis nous verrons l’importance de « l’autre visage » du théâtre, celui de la représentation , du jeu, de l’interprétation, qui forme avec la parole un tout indispensable. Le théâtre est avant tout parole

refaire le théier, alors lieu de parole par excellence, Ionesco c'est livré à une destruction du langage, a une dislocation du mot et de la phrase, a un jeu comique sur le langage. Le dialogue se transforme en une accumulation de répliques coupées du réel, qui pour la plupart reproduisent le modèle sentencieux de la maxime et du proverbe. Les personnages débitent mécaniquement des phrases qui semblent asséner des vérités définitives, mais qui ne sont plu que des énoncés vide de sens. On assiste ainsi