Mise En Scène Séduction

Analyse de L’Illusion comique, de Corneille Acte I scène  1   Pièce de Corneille, 1636, mvmt baroque, dernière de la série des comédies de l’auteur. Scène d’exposition, permet de situer l’intrigue (recherche du fils), des personnages qui l’embrayent Intérêt : une scène d’expo traditionnelle qui présente un personnage exceptionnel, absent du plateau mais essentiel pr l’intrigue.   1)Un père déchiré 2)Un père désespéré 3)Une histoire de comédie   Transition : tous les moyens épuisés

4. Le Merchandising de séduction : Le seul qui mérite d’être appelé Merchandising. Celui qui intègre les 3 types précédents et va plus loin. Il repose sur un mix-merchandising souple et renouvelable, composé de tous les éléments qui interviennent lors de la séduction Consommateur et qui peux suivre son évolution : 1. Sélection de l’Assortiment (en cohérence avec la stratégie et l’image du point de vente, donc sa vocation) 2. Mise en scène générale et mises en scène détaillées (pilotage simple

regardée. N'oubliez pas de faire une phrase d'introduction présentant la thématique qui unifie le corpus et la question, et une phrase de conclusion synthétisant ce que vous avez relevé. Proposition de réponse rédigée Tous ces textes mettent en scène un ou plusieurs hommes contemplant une femme à son insu, sauf dans le texte d’Hugo (texte B) ; nous pouvons donc observer comment les jeux de regards mettent en valeur les relations entre les personnages. Nous pouvons remarquer d’abord que dans les

première partie du roman qui révèle la première rencontre fatale des deux protagonistes. On peut se demander en quoi ce texte révèle un coup de foudre. On expliquera les trois mouvements de texte, le hasard qui mène à la rencontre ensuite, la mise en scène du coup de foudre et enfin, la conversation entre les deux protagonistes. II. Analyse linéaire : · Premier mouvement : Le hasard qui mène à la rencontre (ligne 1 à 5) : Dans

Acte 1 scène 1 I - Portrait d’un séducteur : - pèlerin -> péjoratif : va de fête en fête - 5 énumérations : (deux phrases) hyperboles (idem) croyances de Dom Juan -> Ø (3 phrases) ternaire -> ordre décroissant du plus au moins important -> c’est pour le spectateur (4 phrases) ternaire -> Dom Juan ne respecte pas le sacrement du mariage, donc il ne croit pas à la religion -> prédateur des fêtes (5 phrases) gradation décroissante -> hiérarchie - Sganarelle se flatte de son maître -> démonstratifs

Corpus : Acte I, scène 1 Acte I, scène 4 Acte III, scène 3 (« Tu me demandes pourquoi je tue Alexandre […] le tribunal de ma volonté ») Acte IV, scène 9 Lectures cursives : Ionesco : Le roi se meurt (ed. 1963) Racine : Phèdre (1677) Projections video : Lorenzaccio de Musset, mis en scène par Zeffirelli à la Comédie française (1976) Lorenzaccio de Musset, mis en scène par Dusan Jovanovic à la Comédie de Saint-Etienne (1998) Phèdre de Racine mis en scène par Patrice Chéreau

Première réplique + didascalies = redéfinition de l'espace scénique = précision de la relation acteurs/spectateurs "s'éloignent à 10 pas" > deuxième territoire, celui des valets parallélisme = fonctionnement par couple + jeu d'opposition >>> mise en place des valets/acteurs et maîtres spectateurs didascalies suivantes = verbes d'action = jeu caricatural ( jeu dans le jeu ) b) les spectateurs Spectateurs= maîtres > présence du début "s'éloignent" et à la fin "nos patrons" >>>encadrement

Le chapitre 4 est une mise en scène blasphématoire d'un sacrement, le baptême. Comment Voltaire tourne la religion en dérision dans ce passage ? Dans un premier temps nous étudierons une scène mouvementée à caractère théâtral, puis l'Ingénu ou l'application des règles et enfin la religion tournée en dérision . I) Une scène mouvementée ou le caractère théâtral a) La vivacité de la scène - alternances : -> des discours directs et indirects ---> accélération du récit ce qui rompt avec les

deux parties : la première, intitulée Autrefois (livres I à III, 1830-1843), avant la mort de Léopoldine, se fait l’écho d’une période heureuse d’amour et de joie de vivre, tandis que la seconde, intitulée Aujourd’hui (livres IV à VI, 1843-1855), et mise en forme après le drame de la noyade, contient des poèmes aux accents plus sombres, angoissés, mais non dépourvus de toute espérance. Bien qu’écrit en 1853, le poème « Elle était déchaussée » appartient au Livre I intitulé Aurore qui rassemble les

dépourvus. a) Le culte du moi et de l’orgueil : L’orgueil : Mertueil et Valmont refusent de considérer Cécile et Danceny comme leurs éventuels successeurs ou de élèves dignes d’eux. • Volonté de puissance • Mise en scène du jugement dernier • Eux face aux mondes (hyperboles) • Je b) La séduction considérée comme une guerre : • Champ lexical de la guerre • Myrte (symbole et l’amour) +laurier (de la victoire) rapprochement constant de l’amour et d’une quête militaire c) Profanations des religieux