Misoprostol

délivrés uniquement sur ordonnace dans une pharmacie. L’IVG par voie médicamenteuse consiste à la prise de deux médicaments complémentaires : la mifépristone (RU 486), à action antiprogestative, qui a pour effet d'interrompre la grossesse et le misoprostol, analogue de la prostaglandine E1, qui augmente les contractions et permet l'évacuation de l'œuf. Il peut cependant y avoir des effets secondaires comme d’importants saignements génitaux ou encore des troubles digestifs conséquents. LA VOIE

alors lancé un site Internet, "Women on web", qui propose des consultations médicales à distance, avec des médecins qui échangent par mail avec les femmes et qui leur rédigent des ordonnances pour les deuxmédicaments utilisés pour l'avortement : le Misoprostol et Mifepristol. Ces médicaments sont ensuite envoyés par une firme indienne. Cette pratique est tout de même dangereuse. Une femme peut mentir sur la date du début de grossesse ou d'éventuelles maladies qui l'empêcheraient de recevoir les médicaments

indésirables Liés à l’inhibition des prostaglandines • Digestifs : - Bénins : épigastralgies, nausées, douleurs abdominales, troubles du transit - Sévères : ulcères ± hémorragie ± perforation ⇒ prévention ++ par oméprazole (MOPRAL® 20) ou misoprostol (CYTOTEC ®) si facteurs de risque • Bronchospasme (chez sujets asthmatiques) • Rénaux : - Insuffisance rénale fonctionnelle d’origine hémodynamique - Nécrose papillaire (rare) - Troubles ioniques : hyponatrémie, hyperkaliémie - d’une HTA pré-existante

cas d’un avortement précoce, on préconise la prise successive de deux médicaments. D’abord, la femme est invitée à avaler 600 mg de mifépristone (ou RU 486), qui met un terme à la grossesse. Entre 36 et 48 heures plus tard, elle doit prendre du misoprostol, qui a pour but l’expulsion complète de l’embryon. Le procédé n’est pas efficace dans 100 % des cas. Si une femme qui a bénéficié de ce traitement décide malgré tout de garder son bébé, elle l’expose à des malformations. L’IVG par voie chirurgicale

lésions gastro-duodénales induites par les AINS Contre-indications - allergie connue - allaitement Effets secondaires - nausées , vomissements , flatulences - céphalées , vertiges 3/Analogues des prostaglandines Cytotec* (misoprostol) Mode d’action Ils sont anti-sécrétoires et cytoprotecteurs . Ils protègent la muqueuse gastrique des lésions provoquées par différents facteurs Leur action est plus marquée sur le débit basal diurne que sur la sécrétion nocturne . Indications

l’occasion d’un dépistage. Deuxième consultation : fait suite au délai de réflexion de 7jours théoriquements mais qu’on peut réduire lorsque le délai est très proche. La femme choisi son moyen d’IVG. * par médicament : MIFEGYNE RU486 ou MISOPROSTOL . échec plus important que la méthode chir, on risque également l’infection et la rétention. * méthode chirurgicale , ou aspiration, on dilate le col et on introduit le matériel d’aspiration. Risque de saignement ou de perforation de l’utérus

de l’état de l’animal. D’après Verwaerde, 2006. Tableau 3: Comparaison de trois protocoles comportant un nombre différent d’injections de cloprosténol. Tableau 4: Protocole proposé par Romagnoli et al. en 2006, comprenant des injections de misoprostol associées à des injections d’aglépristone. Tableau 5: Protocole proposé par Fieni, 2007. Tableau 6 : Protocoles utilisés par Gobello et al. en 2003. Tableau 7: Protocole proposé par Corrada et al. en 2006. Tableau 8 : Liste des prix utilisés

d'un deuxième rendez-vous, elle signera un consentement, puis au cours de la troisième consultation, un comprimé de Mifégyne® (Mifépristone) lui sera administré. 48 heures plus tard, la femme devra prendre le Misoprostol. Il faut savoir que la Mifépristone interrompt la grossesse et le Misoprostol provoque l'évacuation de l'oeuf, comme lors d'une fausse-couche. Enfin une visite de contrôle est obligatoire 15 à 20 jours plus tard. Si cette méthode est efficace dans 98 % des cas, dans 2 % des cas, la grossesse

par la chirurgie. La première ne nécessite pas d'hospitalisation mais est réservé seulement pour des grossesses jusqu'à cinq semaines. Elle consiste en l'ingestion successive de deux produits, la mifépristone qui interrompt la grossesse et le misoprostol qui fait évacuer l'embryon. En prenant c'est médicament il y a quelques effets indésirable comme des saignements génitaux importants et des troubles digestifs divers. Si l'avortement chimique ne fonctionne pas, la patiente peut y aller par chirurgie

ministre de la santé Philippe Douste-Blazy, promulgue le décret d'application rendant légale l'IVG médicamenteuse en ville; c'est à dire toute femme enceinte de moins de 5 semaines peut se voir délivrer des comprimés de Mifégyne (RU 486) ou de Misoprostol (prostaglandine) en pharmacie et opérer son avortement à son domicile ( sur environ 200000 avortements recensés chaque année, 50000 sont réalisés par voie médicamenteuse). II-Aspect social de l’avortement La mise en relation (à priori