Mit brennender Sorge

neutralité de la Belgique et des Pays-Bas est garantie par l'Allemagne. 9 Mars 1937 :Expulsion de 2 000 personnes, accusées d'actes criminels ou "d'offense à la morale publique". 21 mars (Dimanche des Rameaux) : publication de l'Encyclique Mit brennender Sorge condamnant entre autres les persécutions religieuses, le racisme, la main-mise du parti sur les consciences dans l’Allemagne nazie. 1er juillet : arrestation du pasteur Martin Niemöller et de de 800 membres de l’Église confessante. Il restera

l’encadrement social et culturel du pays. En 1933, un concordat est signé en 1933 entre Hitler et l’Église catholique. Malgré cela, des tensions émergent quand les organisations de jeunesse de cette dernière sont interdites. L’encyclique du pape Pie XI Mit brennender Sorge (en allemand, avec un souci brûlant) en 1937 dénonce le non-respect du Concordat du 20 juillet 1933. Elle condamne également le racisme, le culte de l’État et du chef et le paganisme nazi. Selon Le Matin, c’est «une sévère condamnation du

dont il n'est qu'une composante, à savoir la doctrine sociale de l'Eglise[4]. Le texte fondateur a pour signataire le Pape Pie XI, celui qui, en 1937, condamna le communisme dans l'encyclique Divini redemptoris et le nazisme dans l'encyclique Mit brennender Sorge, et ne cessa de rappeler que "c'est à la dignité, à la liberté, à l'intégrité de la personne humaine qu'est subordonné l'ordre social". Il avait marqué, six ans plus tôt, par l'encyclique Quadragesimo anno, le quarantième anniversaire de l'encyclique

eu l'habileté de ménager globalement les Églises allemandes, évitant un conflit ouvert dangereux pour l'adhésion des populations à sa personne. Ni lui ni ses partisans n'ont jamais été excommuniés, et l'encyclique antinazie du pape Pie XI, Mit Brennender Sorge (1937), évite prudemment de mentionner le nom de Hitler. Cyniquement, Hitler n'a jamais rédigé de déclaration de sortie de l'Église catholique et se prêtait à la simagrée de continuer à payer ses impôts d'Église. Sa santé n'a cessé de se

une doctrine qui nie l'existence de Dieu, comme en URSS et en Allemagne Nazie. Ces régimes sont, en règle générale, condamnés par les autorités ecclésiastiques. La doctrine raciste de Hitler est dénoncée par le pape Pie XI en 1937 (encyclique Mit brennender Sorge). Cela n'empêchera pas l'Église Catholique de soutenir les régimes autoritaires comme l'Espagne de Franco ou encore le Portugal de Salazar. En conclusion, face aux avancées scientifiques et le développement de la société industrielle, les

condamner officiellement et fermement. Le pape y est contraint à cause l’attitude de plus en plus agressive des états. Les négociations n’ont pas aboutie à quelques choses de constructifs. Ainsi, le 14 mars 1937, le pape publie l’encyclique « mit Brennender Sorge », une semaine après, l’encyclique est lue dans toutes les églises Allemandes. Le communisme athée est officiellement condamner le 19 mars 1937, par la publication de l’encyclique « divini redemptoris ». Cette condamnation étaient nécessaire :

infinieà l'egard des juifs mais sa compassion ne l'empechait de ratifier le lois antisemites. Le pape Pio IX n'avait pas attendu l'adoptions des lois raciales pour faire connaitre sa condamnation de la doctrine nazie et du racisme dans l'ecyclique Mit Brennender Sorge. Pourtant, la portée des condamnations pontificiales resta limitée, ne causant jamais une crise opuverte avec le regime.En effet la diplomatie vaticane oeuvrait, pas forcement en accord avec Pio IX, pour atténuer les déclarations pontificales

En 1933, le puissant parti catholique, le Zentrum, s'était sabordé en échange de la signature d'un concordat entre l'ADO (en allemand, Ausland Deutsches Organisation) et le Vatican. Mais en 1937, le pape Pie XI dénonce dans l'encyclique Mit brennender Sorge les violations répétées du concordat, les tracasseries contre des hommes d'Églises, le racisme d'État et l'idolâtrie entourant le Reich et son chef. Son texte est interdit de lecture et de diffusion en Allemagne et ses exemplaires en circulation

l’Église catholique. D’autre part l’Allemagne nazie veut la liquidation du parti politique catholique allemand : le Zentrum. Cet événement provoque la signature du concordat en 1933. Enfin en 1937, Pie XI condamne le nazisme dans une encyclique « Mit brennender Sorge », de même dans autre encyclique « Divini Redemptoris » condamne le communisme. II) La stratégie de résistance de l’Église * L’Église condamne toute sorte de modernisme * L’Église s’exprime à travers les journaux pour montrer

donc pas de bons chrétiens et la religion d'État perdrait de sa valeur. Pour les religieux allemands, ceux-ci protestent car Hitler avait signé avec Pie Xi un Concordat le 20 juillet 1933, mais l'Église critique l'idéologie nazie. L'encyclique Mit Brennender Sorge (Avec une Brulante Inquiétude) dénonce le non-respect du Concordat et critique l'idéologie nationale-socialiste et condamne le racisme, le culte de l'État et le paganisme (à noter que certains historiens disent lire quelques passages qui font