Mitidja

l’Atlas Saharien, qui enserrent les Hauts Plateaux. - le Sahara, avec son étendue d’environ 2 millions de km2, occupe les ¾ de la superficie du pays. - c’est au Nord de l’Algérie que l’on trouve des plaines riches et fertiles, comme celles de la Mitidja, de Mascara, de Sidi-Bel-Abbès, de Tlemcen… Le Nord de l’Algérie est aussi la partie la plus peuplée du pays, qui compte environ 35 millions d’habitants. 1.2. Rappel historique La diversité des dénominations qu’a reçue « l’Afrique blanche » témoigne

démographique: le taux d’accroissement doubla et, de 1931 à 1954, la population musulmane s’augmenta de 3 millions. Elle compta, dès lors, de plus en plus de chômeurs totaux ou partiels, qui affluaient dans les zones de colonisation et dans les villes. La Mitidja, par exemple, vit sa population musulmane passer de 80.000 à 250.000 entre 1925 et 1948. La population citadine représentait 7,6 p. 100 de la population musulmane totale en 1906, 11,6 p. 100 en 1936, 18,9 p. 100 en 1956. Cette urbanisation accélérée

des terres Développement de l'élevage bovin dans le secteur agricole moderne du pourtour d'Alger Etude d'une unité de séchage conditionnement de fruits et de légumes, Wilaya de Blida BLIDA Etude de l'aménagement hydro-agricole de la plaine de la Mitidja, dans la Wilaya de Blida et Boumerdès Diagnostic et plan de redéploiment de l'office régional des viandes rouges du centre (OREVIC) Etude d'impact et de rentabilité de la dérivation de Oued-Djer, Wilaya de Blida et de Ain Defla Etude agro-pédologique

intensifiée. Au cours de la seule année 1843, 14 137 immigrants arrivèrent aux ports algériens parmi lesquels 12.006 Français et le reste composé d'Allemands, d'Irlandais et de Suisses. En 1844 seulement, le nombre de colonies a atteint 28 dans la Mitidja et le Sahel et en 1845, environ 46 mille immigrants arrivèrent en Algérie, ce qui entraîna l'expansion de la colonisation vers l'Ouest et l'Est. Pour favoriser cette expansion, le gouvernement français mit en place des sociétés ayant pour but de

D’ORAN[2] Pour aller d’Alger à Oran il faut un jour en chemin de fer. On traverse d’abord la plaine de la Mitidja, fertile, ombragée, peuplée. Voilà ce qu’on montre au nouvel arrivé pour lui prouver la fécondité de notre colonie. Certes la Mitidja et la Kabylie sont deux admirables pays. Or la Kabylie est actuellement plus habitée que le Pas-de-Calais par kilomètre carré ; la Mitidja le sera bientôt autant. Que veut-on coloniser par là ? Mais je reviendrai sur ce sujet. Le train roule

tomber. Les 20K émeutiers n’ont pas fait le poids face aux 50k soldats. Plus de 1500 morts, 3000 blessés, l’archevêque Afre, intermédiaire est tué par une balle militaire. 15k arrestations, plus de 4000 sont déportés en Algérie, dans la plaine de la Mitidja. La fin de la république sociale : Karl Marx séjourne à Paris quelque temps après et rédige à ce propos une brochure sur les luttes de classe en France : il emploie à propos ce qui c’est passé le terme de guerre sociale : les notables ayant l’appui

départementalisé », Renoir, « orientaliste occasionnel », visite Alger comme il ferait de Menton ou de > I N T RO DU C T I ON > Hyères, ou de telle autre ville du Midi de la France, au climat roboratif : « Il faut voir cette plaine de la Mitidja à la porte d’Alger. Je n’ai rien vu de plus somptueux et de plus fertile », écrit-il en 1882. Et d’ajouter : « Je vous avoue que je suis bien heureux et quand on a vu l’Algérie, on l’aime. Les fermiers font des fortunes énormes. Les terrains augmentent

pouvoir aux autorités françaises du territoire, jusqu'alors censé être sous l'autorité du Dey. C'était mal connaître les réalités politiques, sociales et économiques de la régence aux portes mêmes d'El Djezaïr. En s'engageant dans la plaine de la Mitidja sans rencontrer la moindre résistance, l'armée du Général Bourmont découvre immédiatement qu'en fait le Dey n'exerce qu'un pouvoir illusoire, en dehors de la collecte de l'impôt avec l'aide des tribus du Maghzen, ce qui explique la désertification

(issu de l‘École normale musulmane d’instituteurs de Bouzaréah) originaire de Gouraya. Sa mère, Bahia Sahraoui, appartient à la famille berbère des Berkani (issue de la tribu des ait Menasser du Dahra). Assia Djebar passe son enfance à Mouzaïaville (Mitidja), étudie à l'école française puis dans une école coranique privée. À partir de 10 ans, elle étudie au Collège de Blida, en section classique (grec, latin, anglais) et obtint son baccalauréat en 1953, puis elle entre en hypokhâgne à Alger. En 1954

d'Arzew-Mostaganem, de Tipaza, d'Alger, de Skikda et d'Annaba. Les montagnes sont séparées par des vallées, riches par leur flore et leur faune, arrosées par des cours d'eau dont les principaux sont le Chelif et la Soummam et par des cuvettes (Sebkha d'Oran, Mitidja). Les plaines et vallées du Tell abritent la plus grande partie des terres fertiles du pays. Les Atlas, les Hauts plateaux, les chaînes de l'Est Entre le Tell et le Sahara, s'élèvent l'Atlas tellien et l’Atlas saharien, deux ensembles montagneux