Mitidja

Constantine. * 1837 30 mai : Traité de la Tafna : nouveaux avantages à Abd el-Kader. * 1839 * 19 avril : Traité de Londres réglant la question belge. Reprise de la lutte contre Abd el-Kader : massacre de la Mitidja. * 27 juillet : Les Puissances imposent leur médiation entre la Turquie et l'Egypte. * 1840 * 15 juillet : Traité de Londres réglant sans la France le problème égyptien : Mehemet Ali abandonne la Syrie et ses

touristiques, a fait exploser la demande en eau, qui a quintuplé à Alger et Tunis entre 1970 et 2000. Dans un premier temps, les villes se sont approvisionnées dans les nappes phréatiques environnantes au détriment des cultures qui s'y étaient développées (Mitidja près d'Alger, Ghouta en Syrie). La hausse de la demande a ensuite entrainé l’élargissement de ces approvisionnements (montagnes kabyles en Algérie). B. Un avenir hydraulique très incertain pour l'Egypte Des besoins accrus :Actuellement, les eaux

0,19 ha en 2010 et 0,17 ha en 2020. La Mitidja, qui compte les périmètres irrigués les plus performants du pays, risque de perdre quelque 20 000 à 25 000 ha durant les 20 prochaines années, selon le CNES. Le département de Saïd Barkat est impuissant devant l’utilisation des terres agricoles à d’autres fins. Les arguments des autorités ne convainquent pas tout le monde. « Il faut penser à protéger la SAU. Quand on a des plaines très fertiles dans la Mitidja, il faut beaucoup réfléchir avant de la

Indochine. Ces productions locales et tropicales sont destinées à la satisfaction du marché français et mondial, et non pas aux populations locales. • Les aménagements se traduisent aussi parfois par des expropriations : l’aménagement de la vallée de la Mitidja (arrière-pays d’Alger) à la fin du siècle conduit à l’assèchement de marais, la mise en place d’exploitations céréalières et viticoles. Une entreprise modernisatrice mais qui oblige aussi les fellahs (paysans) à quitter leurs terres et à devenir les

instituteur (issu de l’École normale d’instituteurs de Bouzaréah) originaire de Gouraya. Sa mère, Bahia Sahraoui, appartient à la famille amazigh des Berkani (issue de la tribu des ait Menasser du Dahra). Assia Djebar passe son enfance à Mouzaïaville (Mitidja), étudie à l'école française puis dans une école coranique privée. À partir de 10 ans, elle étudie au collège de Blida, faute de pouvoir y apprendre l'arabe classique, elle commence à apprendre le grec ancien, le latin et l'anglais. Elle obtient le

d’aide aux PME / PMI, Blida) relève notamment des problèmes « d’attestation d’éligibilité », l’État étant en droit de sélectionner les entreprises pouvant bénéficier des aides publiques. Illustration : le CEIMI et Eco‑Mitidja 22 Le Club des entrepreneurs et industriels de la Mitidja (Blida) (CEIMI) est une association, dont le FCE s’est largement inspiré dans son fonctionnement et ses projets. Ni syndicat, ni lobby, mais un peu des deux, il publie, tous les deux mois, une revue dont la lecture

économiques en colonie : -activité agricole: plantation (prévéas (caoutchoucs), cotons, thé, riz : colonie asiatique ; café, cotons, arachides, riz, clous de girofle, la vanille (Madagascar), vignoble (Algérie) par la mise en valeur de la plaine la Mitidja: colonies africaines). -activités minières : Charbon (Vietnam), Fer (Inde, Algérie), Phosphate (création de l'engrais), Nickel (Nouvelle Calédonie), Cuivre, Diamant (Amérique du sud). Ces matières premières sont transportés brutes en métropoles et

grandes crises démographiques ne coïncident pas avec les razzias et les enfumades perpétrées par les Français. L’auteur avance d’autres explications comme les mauvaises récoltes de 1865-1868, la sécheresse de 1866 et les sauterelles qui envahissent la Mitidja en 1867 et 1868. Citant, entre autres, des données provenant de la thèse fameuse d’Annie Rey-Goldzeiguer, dont il souligne qu’elle ne saurait être suspecte de nostalgie coloniale, il rappelle qu’on n’avait pas vu cela en Algérie depuis trois siècles

mémoire collective toute faite (et de lui prêter l’appui de son talent), au lieu de rechercher la vérité sur ses origines, faute de disposer d’une véritable mémoire de ses racines rurales (contrairement à d’autres écrivains, fils de colons de la Mitidja, Jean Pélégri et Jules Roy). De même, il a donné à Henry Cormery une origine alsacienne, comme pour conforter un mythe patriotique [8] cher à ses compatriotes, celui de l’Algérie nouvelle Alsace-Lorraine et substitut des provinces perdues. Recherchant

quelques points peuvent être relevés : " les meilleurs terres font l’objet de convoitises de l’urbanisation ; on recense plusieurs milliers d’hectares de bonnes terres agricoles cédées au profit de l’urbanisation dans les plaines les plus riches : Mitidja, Annaba, Oran, Béjaïa, Skikda et plaines et vallées de l’intérieur. " " certaines actions tendent à rééquilibrer les armatures urbaine et rurale, ou à atténuer la complication des problèmes urbains dans les grandes villes et " le gaspillage des