Mlle Gamard

habits de soie. Au second plan, il y a la servante noire en habits rose avec un énorme bouquet de fleurs dans les bras. En fond, les couleurs sont assez foncées. La jeune femme serait Victorine Meurent, modèle fréquent de Manet, il l’a peinte dans Mlle V. en costume d’espada ou encore dans le déjeuner sur l’herbe. Elle a les jambes courtes, le ventre rond, le cou épais, le visage carré, c’est assez simple. Il y a le petit chat aux pieds de Victorine, Manet est fasciné par les chats, il en a fait

pouvons constater que Mlle Gamard et Mlle Bérard ont de nombreux points communs dans le physique et notamment dans les expressions du visage. La description de leur nez est péjorative et ressemblante car l'un est « aquilin » est l'autre « pointu » et elles ont un mauvais regard assez dur. Elles pourraient nous faire penser à un rapace ou un corbeau. Elles ont également des points commun du point de vue moral car elles sont décrites comme étant dures et méchantes. Par exemple Mlle Gamard n'est dite en aucun

assouvi par le legs de son mobilier que lui a fait le feu chanoine et l’acceptation de Mlle Gamard de lui louer cet appartement qu’elle destinait pourtant à l’abbé Troubert. Une fois la porte ouverte, en l’absence de son bougeoir, de ses pantoufles et de feu dans sa cheminée, Birotteau doit se rendre à l’évidence du caractère intentionnel de ces oublis. La raison en est qu’il s’est attiré la haine de Sophie Gamard en la vexant sans même s’en rendre compte. En effet, la vieille fille couvait, quant

Être le pensionnaire de Mlle Gamard et devenir chanoine furent les deux grandes affaires de sa vie. L'abbé Birotteau, vicaire de Saint-Gatien, à Tours, n'avait pas d'autre ambition. Pouvoir succéder à son ami, l'abbé Chapeloud, comme chanoine à Saint-Gatien, et pouvoir reprendre l'appartement que celui-ci occupe en location chez Mlle Gamard où il bénéficie aussi du couvert et de l'entretien. Lorsque Chapeloud meurt, Birotteau hérite du mobilier de son ami, dont deux tableaux de maître et une magnifique

: celles des animaux, des objets, des éléments naturels et des personnes plus ou moins illustres. Les animaux se rangent en deux grandes catégories antithétiques. La première est celle des bêtes malfaisantes, dangereuses et souvent prédatrices. Mlle Gamard, par exemple, « se plaisait à planer, à peser sur le vicaire comme un oiseau de proie plane et pèse sur un mulot avant de le dévorer »15. Devant Goupil, Ursule et Savinien de Portenduère « éprouv[ent] la sensation que cause un crapaud » 16. Grandet

jouissait l'abbé Chapeloud dans l'appartement que celui-ci louait chez Mlle Sophie Gamard. Son rêve s'est réalisé à la mort de son ami, mais son bonheur fut de courte durée. C'était compter en effet sans la haine d'un troisième prêtre, plus jeune que les deux autres, l'abbé Troubert. Celui-là aussi guignait la succession de Chapeloud, aussi bien l'appartement que le canonicat. Sa vengeance sera impitoyable. Il fait alliance avec Sophie Gamard et ils montent à eux deux une machination savante contre le pauvre

son maître, 1796 * Gustave Flaubert, Bouvard et Pécuchet, 1881 * Jean-Paul Sartre, La nausée, 1938 * Sylvie Germain, Magnus, 2005Groupement de textes 2 : Portraits réalistes * Balzac, César Birotteau, portrait de Mlle Gamard * Stendhal, Lucien Leuwen, portrait de Mlle * Zola, La curée, portrait de Sidonie RougonGroupement de documents 3 : Autour de Berlin, AlexanderplatzExtraits de Berlin, Alexanderplatz de Alfred Döblin, 1929 : la technique du collage adaptée au récit1er épisode de Berlin

scolaire, celle-ci refusant d’ôter son bandana dans l’enceinte de l’établissement. Le Conseil d’Etat a rejeté la requête introduite par la mère de la jeune fille au motif qu’« il ne résulte pas que l’administration, en décidant de maintenir en permanence Mlle EL H. tout en poursuivant un dialogue avec sa famille, ait procédé à une application de la loi du 15 mars 2004 qui serait entachée d’une illégalité manifeste alors même qu’un doute existe, en l’état de l’instruction, sur le motif du port d’un bandana

PERDUS TROUVÉS PERDU CHIENNE, type Berger, couleur Fauve, 50 cm, poitrine blanche, tatoué oreille droite XWC784, nom Justine. _ Tél. 06.75.83.02.02. 643414 THIERS Mme GENESTE Christiane, son épouse ; M. et Mme MARSOLLAT Brigitte et Jean-Paul, Mlle GENESTE Annick et Gilles, M. et Mme RULLIAT Christine et Bruno, M. et Mme OLLEON Nicole et Jean-Luc, M. GENESTE Jean-Yves et Patricia, Mme GENESTE Sylvie et Gérard, ses enfants ; Laure, Xavier, Fabien, Aude, Alexandre, Marion, Charlène, Amandine, Loïc

roman Paris, automne 1819. Dans une pension miteuse de la rue Neuve-Sainte Geneviève, la maison Vauquer (du nom de sa tenancière), se côtoient des pensionnaires et des habitués du quartier qui ne viennent y prendre que le dîner . Ils ont pour nom Mlle Michonneau, Victorine Taillefer, Madame Couture, Monsieur Poiret, Bianchon, Vautrin, Eugène de Rastignac et le père Goriot. Quelques personnages émergent de ce groupe de pensionnaires falots : Vautrin, mystérieux pensionnaire d'une quarantaine d'années