Mobilier funéraire

Présentation des lieux ,du temps et des personnages : →Lecture et travail sur le chapitre I A quelle personne le récit est-il raconté ? Pourquoi ? Le récit est raconté à la première personne du singulier « je ».C’est pour mieux faire adhérer le lecteur ( souci de réalisme). Quand l’histoire se déroule –t - elle ? Où se passe cette histoire ? Elle commence un Samedi à six heures du matin .L’histoire se déroule rue Dauphine à Paris dans un hôtel meublé. Que sait-on des personnages ? dressez

révolte et de l’abandon à la tentation du plaisir. Si dans ces expériences, son âme ne s’est pas noircie, du moins a-t-il perdu de sa native pureté. L’agonie solitaire du père Goriot lui enlève ses derniers scrupules. À la fin, il suit le convoi funéraire de celui qui lui a donné un premier exemple. Il est naturel qu’il ne se connaisse qu’une fois Goriot mort et enterré. Il a perdu ses illusions mais acquis aussi une volonté d’affirmation de son ambition. Il se montrera, dans d’autres œuvres de ‘‘La

l'eau, parfois même moussue, la plus éloignée possible de la réalité animale; puis l'odeur entêtante et synthétique qui s'en dégage. La chose faite, l'acte pleinement accompli, il est même possible à l'homme d'abattre sans attendre le couvercle funéraire sur le forfait, rendant la chose invisible avant même d'y avoir jeté un oeil ! La crotte, que dis-je : la merde, n'a plus alors qu'à suivre le courant. Ainsi en est-il des individus sur terre, produits par on ne sait quelle nécessité, et qui

pouvoir déceler les espèces différentes comme en témoigne cette peinture funéraire. Les Egyptiens utilisèrent au début une gamme de couleurs restreintes puis arrivèrent à la polychromie. La hiérarchisation des personnages par la grandeur permettait de les différencier de leurs classes sociales. Plus un personnage prend de la place, plus il est important et haut placé III – La vie éternelle - Les rites funéraires Les Egyptiens fort de leur croyances, pensaient avoir une seconde vie après

de Barbier (l.8), on lit que « tout … toit » On peut également noter la présence des armoiries du prince même si on ne distingue pas bien les blasons, ainsi qu’un grand monument au milieu de la nef qui est en fait un catafalque, ie une estrade funéraire supportant le cercueil, qui a toujours des dimensions assez impressionnantes, d’où mon terme tout à l’heure de mort-spectacle. Le terme est aussi utilisé par Voltaire dans l’extrait de l’Ingénu (l.14 à 17). 2) Le deuil Le deuil est aussi

COMPÉTENCE MOTS CLES 2007 COLLEGE : CYCLE CENTRAL (5°) Histoire REALISER : CHOISIR Sélectionner, choisir, en autonomie, une ou des informations pertinentes Fondation – Démocratie – Citoyen – Marseille – Phocéen – Egypte – Hiéroglyphe – Rite funéraire - Papyrus Titre : Sélectionner l’idée essentielle d’un texte historique PRESENTATION DE L’OUTIL • RÉSUMÉ Cet outil permet d’évaluer la capacité des élèves à saisir le sens global d'un texte. Pour cela, les élèves doivent sélectionner parmi

Durant ces années, il n’avait pas été question de construire des édifices publics destinés au culte. Les chrétiens adoraient leurs dieu dans des maisons particulières/privés, généralement de petites dimensions. Par opposition a la crémation (pratique funéraire romaine à l’exterieur de la ville), les chrétiens se servaient des catacombes (galeries creusées sous la ville) pour y déposer leurs morts. Celles-ci pouvaient être de simples cavités (loculi) ou parfois de véritables petites chambres (cubicula)

Paul Pettavino 1ère ES 2 Français : Les Obsèques d’une Lionne 1. Quels enrichissements apportent La Fontaine à son modèle ?  Tout d'abord dans le texte de La Fontaine, La Fontaine ajoute que tous les animaux ont accourut envers le Roi Lion pour la mort de sa femme. Tandis que dans le texte source on dit que tous les quadrupèdes sont venus honorer les obsèques du Roi. La Fontaine en continuation développe plus sur la cérémonie des obsèques de la Lionne, tous les gens exprimant des compliments

Bossuet, Oraison Funèbre d’Henriette D’Angleterre En 1689, Bossuet publie les six plus belles oraisons funèbres qu’il a prononcées à l’occasion de la mort de hauts personnages. Henriette d’Angleterre, qui fait l’objet de cette oraison, est la fille de Charles Ier d’Angleterre et de Marie de France. Elle a épousé depuis peu Monsieur, Philippe d’Orléans, frère du roi. L’oraison signifie « langage préparé » en latin et s’oppose au langage sans art : le sermon. Dans le cas de ses oraisons funèbres

sont des rites qui viennent rappeler le premier. Ce sont des rites d’étapes parce que la commémoration est, d’une certaine façon, encore une autre étape du premier rite. C’est le cas, comme le précise l’auteur, du retour de noce, des anniversaires funéraires, de la confirmation et du renouvellement de la première communion. Enfin, Van Gennep montre que ces étapes existent aussi dans la vie ordinaire mais, selon lui, elles ont un sens social restreint parce qu’il ne s’agit que d’une « répugnance »