Mobilité réduite

Introduction Marx – classes sociales – dualisme bourgeoisie/prolétariat – lutte de classe -paupérisation/révolution évolution historique dans pays développés: capitalisme survit – amélioration sort classe ouvrière – pérennisation capitalisme – mobilité sociale ascendante - beaucoup de CSP mais « classe moyenne » en croissance mais aujourd'hui: inégalités augmentent – questions comment naissance concept classe moyenne? Quelle définition? Ambiguïtés concept toujours pertinent ou non? Quelles raisons

plusieurs positions sociales. Ainsi, lorsque l’un individu occupe une position sociale différente de celle de ses parents, nous disons qu’il y a mobilité sociale. Cette mobilité se caractérise par un changement de position sociale au cours de la vie active d’un individu (mobilité intragénérationnelle) ou par un changement de position sociale entre générations (mobilité intergénérationnelle). Ces dernières années, nous avons trouvons habituel qu’un individu ait une position sociale plus élevée que celle de

l'enfant à modifier son statut social, c'est à dire l'ensemble des positions sociales qui lui ont été assignées par sa famille ? L'éducation scolaire est-elle toujours en opposition à la socialisation de la famille ? L'école peut-elle être un facteur de mobilité sociale ascendante ( accès des enfants à une position sociale supérieure à celle de leurs parents ) et peut-elle être un facteur d'émancipation pour les filles ou pour les milieux populaires ? * Nous allons montrer que si l'école peut libérer

compétences, diplômes pour ensuite avoir un emploi, et elle permet à chacun de construire son identité. Cependant elle est de plus en plus critiquée car pour certains elle n’est pas synonyme d’égalité des chances (Bourdieu), elle ne permet pas forcément la mobilité sociale et l’intégration professionnelle. Par exemple un fils de cadre grâce à son milieu aura plus de chance mais aussi plus d’envie de réussite scolaire afin d’obtenir un emploi plus prestigieux, qu’un fils d’ouvrier qui quant à lui va se contenter

sociales, mais que ces dernières ont aussi d'autres origines. Après avoir montré que les évolutions de l'emploi favorisent la mobilité sociale, vous expliquerez pourquoi celle-ci reste limitée. Après avoir mis en évidence les principales caractéristiques de la mobilité sociale en France, vous montrerez que l'origine sociale reste encore un frein important à cette mobilité. Après avoir exposé les causes principales du processus d'exclusion sociale, vous présenterez les moyens mis en ouvre pour

classe. Cela a un impact important sur l’identité. _ LE GROUPE D’APPARTENANCE OU DE REFERENCE - Le groupe d’appartenance, c’est celui auquel on appartient. - Le groupe de référence est important sur le sentiment de frustration et sur la mobilité sociale (Merton 1957). La frustration ressentie va se faire par rapport au groupe de référence que l’on a dans la tête. On est frustré si le groupe est plus évolué que nous. III) Stratégie identitaire : 1) La recherche d’une identité positive

d’entreprises. Par conséquent le sentiment d’appartenance sociale n’existe pas chez les travailleurs non qualifiés, ce qui exclut toute idée de classe sociale. 4/Par le passé, l’identité de classe était rendue possible par l’idée chez le travailleur, d’une mobilité sociale ascendante au sein de l’entreprise. La perspective de grimper les échelons garantissait le sentiment d’appartenance mais avec la déréglementation qu’a connu l’emploi à partir des années 80, le parcours de ces travailleurs n’est plus tracé

qui nous permet de connaître le devenir des fils (âgés de 40 à 59 ans) en fonction de leur origine sociale • Plus forte immobilité sociale : fils d’ouvriers, fils de cadres (catégories extrêmes) • Mobilité sociale est réelle pour les autres catégories (ascendante) • Mobilité de proximité • Mobilité à la fois structurelle et nette DOC 2 • Causes de l’échec scolaire • Position sociale liée au niveau de diplôme • Rôle du capital culturel (surtout celui de la mère) – rôle du capital économique

le groupe n’est plus homogène dans les qualifications, les principaux bastions ouvriers tels que les mines ont disparus, les politiques de démocratisation scolaire pendant les 30 glorieuses ont permis un accès plus large à l’éducation et donc à la mobilité sociale : par conséquent la conscience de classe a disparu. Cependant, la réalité d’un monde à part, celui des ouvriers, est toujours observable : il reste le deuxième groupe le plus important quantitativement, l’accès à certains biens d’équipement

et fixent la position des individus dans la hiérarchie sociale. La formation continue, bénéficiant en priorité à ceux disposant déjà d'une formation initiale, accentue ce phénomène. L'école est de plus le canal privilégie, sinon exclusif, de la mobilité sociale. A ce titre, l'homogénéisation des niveaux scolaires serait de nature à diagnostiquer une baisse des inégalités, comme le feraient d'ailleurs les chiffres prouvant la démocratisation du collège et de l'enseignement post-bac en augmentation