Mobilité Des Capitaux Imparfaites

individus sont empreints d'une rationalité limitée. La situation de concurrence pure et parfaite est la situation dans laquelle faut tendre : unicité de la production, atomicité du marché, libre entrée sur le marché, transparence de l'information et mobilité parfaite des facteurs de production. Il faut s'occuper de l'efficience productive de sa production. Troisième section : le marxisme. Marx établit ses théories entre les classiques, fin XVIIIe début XIXe, et les néoclassiques, fin XIXe début

travail, détermine la quantité de travail dont dispose l’économie au cours d’une année. […] • Le capital L’augmentation du stock de capital productif résultant de l’investissement est le facteur de croissance le plus fréquemment avancé. […]. A. Beitone, A. Cazorla, E. Hemdane, Dictionnaire de science économique, Dunod, 2019. Questions : 1) Rappeler les définitions de travail et de capital. 2) Quelle source de la croissance ce document met-il en lumière ? B. Progrès technique et productivité

flux immatériels, de capitaux, d’informations → Depuis 1970, explosion des Investissements directs à l'étranger (IDE) tableau p24 → Flux Nord/nord essentiellement, • révélateur de la puissance financière de la Triade, 85% des capitaux sont investis dans la Triade • mais de + en + de flux venant du Sud car émergence de nouveaux pôles de puissance financière : Chine par exemple. → L'essor de ces flux permet le fonctionnement d'une économie mondiale caractérisée par la mobilité des unités de production

raisonnables car si ce n'est pas le cas on consomme chez les concurrents. Les producteurs doivent donc être compétitifs, et proposer « ce que les consommateurs désirent » (W.Baumol Doc 6). La concurrence permet donc d'établir un équilibre entre le capital et le travail, ce qui n'est pas forcement le cas. D'ailleurs A.Smith considère que la concurrence est beaucoup plus bénéfique pour les consommateurs, que pour les grands industriels qui on tendance a « rançonner la société » (François Perroux). En

Néanmoins aujourd’hui, la branche dite de la nouvelle économie internationale extrêmement critique envers le modèle de la CPP tente d’imposer une nouvelle vision, en intégrant les acquis de l’économie industrielle et sur la théorie de la concurrence imparfaite. Pour aboutir à une théorie de l’économie internationale on définit le concept de nation. Sans cette étape, il est impossible de définir les échanges internationaux. Effectivement on doit passer d’une analyse de flux internes à une analyse de

l’échange marchand car c’est un facteur de dynamisme de la croissance économique. Cette dynamique s’étend pour concerner premièrement les marchés régionaux puis les marchés internationaux. Cette croissance économique s’appuis sur une accumulation de capital. Elle produit d’abord ces effets dans la manufacture, puis à des retombés positives sur les marchés locaux, régionaux, nationaux et enfin le marché mondial. Cette dynamique repose également sur la division du travail et la partialisassions des taches ;

spé dans un bien ?) Protectionnisme ou libre-échange ? La balance des paiements (échange entre résidents et non résidents) Les taux de change Les politique économique (budgétaire, monétaire, intervention de l’OMC…) Le marché international des capitaux Division en deux de l’économie internationale : Commerce international : transaction réelle, échange qui concerne des biens, ou des services mais avec un engagement de ressources concret ; Finance internationale : transaction financière. 2/

d’un monde ». - Nouvelles(s) approche(s) du libéralisme et de l’économie de marché. • Bouleversement des modèles managériaux : - Poids de l’économie de la connaissance, des questions de technologie, d’innovation et de capital humain. - Centralisation de l’approche en « mode projet » dans les organisations. Poids de la Chine • Aspect industriel : dépassement de la vision en termes d’ « atelier du monde ». Spécialisation « tous azimuts » (en rupture

comparatifs aux politiques économiques est fourni par Mundell (1962) lui-même, comme extension directe de son principe en économie ouverte. Mundell considère un modèle IS-LM à prix fixes en régime de changes fixes avec stérilisation des mouvements de capitaux (). Les objectifs sont l'équilibre interne et l'équilibre externe, et les instruments la politique monétaire et la politique budgétaire. Quatre types de déséquilibres sont possibles : * excès de demande intérieure et déficit extérieur, Demande

asiatique. C'est l'aspect le plus paradoxal de cette crise: les banques japonaises ont réduit leurs prêts risqués aux pays asiatiques pour pouvoir respecter les normes de sécurité financière internationale qui les obligeaient à mettre de côté, en capital, l'équivalent de 8% de ces prêts. Ce qu'elles avaient du mal à faire, compte tenu de leurs problèmes internes. Le respect d'une norme de sécurité a ainsi été l'une des causes de l'accident! Les investisseurs se démarquent des banques Contrairement