Mobilité Des Capitaux Imparfaites

l’activité éco autour de 200 000 personnes -la deuxième : 1964-1974 : croissance rapide tout à la fois de la pop° active et de l’emploi. Toutefois on enregistre une lente montée du chô dont le vol double en 10 ans. L’adaptat° aux mutat° techno est imparfaite. Au chô conjoncturel de la 1ère phase s’ajoute un chô frictionnel : l’ampleur des transfo° de la structure des emplois, inadéquat° Offre et Demande de travail àle nb de chômeurs augmente mais aussi les pénuries de MO subies par les entreprises -depuis

l’activité éco autour de 200 000 personnes -la deuxième : 1964-1974 : croissance rapide tout à la fois de la pop° active et de l’emploi. Toutefois on enregistre une lente montée du chô dont le vol double en 10 ans. L’adaptat° aux mutat° techno est imparfaite. Au chô conjoncturel de la 1ère phase s’ajoute un chô frictionnel : l’ampleur des transfo° de la structure des emplois, inadéquat° Offre et Demande de travail àle nb de chômeurs augmente mais aussi les pénuries de MO subies par les entreprises

trend, de 4 à 7 %, et les crises jumelles, combinant crises bancaires et crises de change, susciteraient des pertes de production de l’ordre de 15 %. L’ampleur de ces chocs s’explique par la taille des reflux de capitaux. Lors de la crise asiatique de 1997, les sorties nettes de capitaux provenant des cinq pays les plus touchés, en l’occurrence la Thaïlande, la Malaisie, l’Indonésie, les Philippines et la Corée, ont ainsi dépassé en quelques mois les 100 milliards de dollars, soit environ 10 % de

l’industrie) : Il n’existe pas de barrière juridique ou réglementaire (brevets de fabrication…) à l’entrée de nouveaux concurrents dans la production du bien considéré. Il n’existe pas plus de barrières techniques ou financières (importance du capital fixe…). La concurrence pure exclut par hypothèse toute barrière, à l’entrée et à la sortie, quelle que soit sa nature. Cette hypothèse joue un rôle fondamental dans la disparition des profits anormaux, l’une des vertus majeures de la concurrence

financière -Bourgeoisie industrielle -Petite bourgeoisie -Bourgeoisie commerçante -Paysannerie -Prolétariat -Sous-prolétariatWeber: les classes de possession vs les classes de production Les classes de possession -surplus inemployé, moyens de production, capital VS -ceux qui ne possèdent rien et vendent leur force de travail les classes de production -ceux qui dirigent les moyens de production: ils ne possèdent pas les moyens de production (industriels, banquiers) VS -travailleurs Les classes sociales -classes

     Que peut‐on retenir des apports des économistes précités ?....... 2.       Géographie, économie et science régionale………………………………………… 2.1.     Les hypothèses de bases……………………………………………………………… 2.1.1.  Les rendements d’échelle croissants………………………………… 2.1.2.  Concurrence imparfaite……………………………………………………… 2.1.3. Interaction stratégique des agents……………………………………… 2.2.    Centralité……………………………………………………………………………………… 2.2.1.  Forces centrifuges ou de dispersions………………………………… 2.2.2.  Forces centripètes ou d’agglomérations……………………………

1.2 – LES STRATÉGIES DES FIRMES EN CONCURRENCE IMPARFAITE Introduction : Concurrence sur le marché et stratégies des entreprises 1. L'analyse des marchés concrets révèle qu'un petit nombre de très grandes firmes contrôle l'essentiel du marché. L'atomicité est rarement respectée. On peut mesurer le degré de concentration du marché en calculant la part de marché (% des ventes sur le total des ventes) détenues par les x premières entreprises du marché. Ainsi, sur le marché mondial de l'automobile

d. L’évolution des années 1990’ Plusieurs scénarios possibles après 1992-93 1. retour aux changes flottants (choix autonomie politique monétaire + liberté capitaux) : refus : < retour UE à simple ZLE, ↓ perspectives politiques communes ; < légimation dévaluations compétitives. 2. rerèglementation mouvements capitaux (choix autonomie politique monétaire + changes fixes) : Réalisations partielles : contrôle temporaire K par Espagne, Portugal, Irlande. Propositions non suivies :

étalement de la ville de Lomé. En fait, l’un des principes généraux auxquels aboutit notre analyse est que la relation entre la baisse des coûts de transport (Ces coûts sont définis au sens large afin d’inclure tous les éléments pouvant contrecarrer la mobilité des biens, des personnes et de l’information) et le degré de concentration des activités économiques n’est pas celle que croient beaucoup d’analystes: l’agglomération se forme lorsque les coûts de transport descendent au-dessous d’un certain seuil

l’entreprise. Cette économie qui est issue du marginalisme est fondée sur des hypothèses de concurrence pure et parfaite : la perfection de la concurrence étant réalisée par l’atomicité des agents, l’homogénéité des produits, la libre entrée ou sortie, mobilité parfaite des facteurs de production, transparence du marché. L’économie est basée sur l’optimisation sous contrainte. Chaque individu est rationnel, calculateur dont la préoccupation principale est de maximiser son utilité. Economie centrée sur