Economie internationale
Bibliographie :
Mondialisation, Gérard Lafay, economica poche
La mondialisation n’est pas coupable, Paul Krugman
Introduction :
L’économie est généralement entendu comme l’activité économique, le premier à l’avoir découvert est Xénophon dans son ouvrage L’économique, où il s’attache à l’organisation du domaine au sens large, qui est pour lui à la fois le foyer, la maison, mais aussi le domaine à même de dégager une activité comme par exemple une exploitation agricole, autrement dit le grec oiconomia signifie l’administration d’un foyer, qui est une activité humaine consistant à produire, à distribuer, et enfin consistant à échanger des biens et services. Pendant plusieurs siècle on restera sur cette définition, jusqu’à que l’économie soit vu comme une science multiple, car on parle des Sciences Economiques. La science économique doit être un champ clos et dépolitisé, Tirole postule d’amblée que la science économique doit être élargie, qui dépend de la vision de l’état.
En économie, nous avons deux visions de l’état : • La première, l’approche normative, considère ce que devrait faire l’état, on est dans la prescription, et on analyse ce que l’état devrait être. Cela veut dire que l’économiste est dans ce cas là, un « mélioriste social », il doit améliorer le sort des citoyens. On considère que l’état doit être un despote bienveillant, expression du à Wicksell, pour expliquer qu’il n’en est pas un, le despote bienveillant n’a qu’un seul but celui de veiller au bien être général pour reprendre la terminologie de Keynes, ou de maximiser le bien être collectif avec un postulat fondamental qui est que la satisfaction de l’état correspond à la satisfaction de la collectivité. • La deuxième, l’approche positiviste, abordé par Friedman, on doit décrire l’état tel qu’il est non pas tel qu’il devrait être, autrement dit l’état n’est pas un despote bien veillant. Le rôle de l’économiste change, il va cherche à expliquer et décrypter le