Mobilité Des Capitaux Imparfaites

protection 4. Aide internationale Chapitre 5 Mondialisation et inégalités au sein des pays développés Les perdants de la mondialisation Première approche: creusement des inégalités de rémunération Eclairages sur les inégalités du travail Travail et capital Perspectives Réactions françaises à la mondialisation Le processus d'ajustement La perception de la mondialisation Politiques de lutte contre les inégalités Pourquoi lutter contre les inégalités internes ? Les moyens de lutte contre les inégalités

conséquences de dif- son rôle. En effet selon cette théorie, une entreprise en situation de monopole est contrainte de se soumettre aux férences de demande entre les pays. exigences de la concurrence si elle ne veut pas voir surgir • Dans ce modèle, la mobilité du capital conduit à une de nouveaux concurrents. situation dégénérée : après un équilibrage des dotaLa seconde réponse est que l’intervention protectionniste tions relatives, les pays se retrouvent en autarcie. suscite des représailles et provoque en

Transparence tout le monde doit être au courant des prix. * mobilité des facteurs de production Monopole = un seul offreur Oligopole = quelques offreurs Barrières à l’entrée d’un marché : coût fixe d’un bien très élevé / étude supérieur,’est pas accessible à cause du concourt Les obstacles peuvent être réglementaires, linguistique, économique et sociales. Facteur le plus mobile entre capital et travail : le travail Si le prix est imposé aux agents, les

conditions 3.1.2 Utilisation 3.1.3 Énoncé 3.1.4 Limites et critiques du modèle de concurrence parfaite 3.2 La concurrence imparfaite et l’économie industrielle 3.2.1 Le tableau de Stackelberg 3.2.2 Présentation des cas les plus usuels de concurrence imparfaite 4 Les entreprises et la concurrence 4.1 L’entreprise structure alternative au marché et à la concurrence 4.2 Stratégies des entreprises 5 Les

Difficultés liées aux arbitrages, aux contraintes (qui font que l'économiste doit renoncer à la solution optimale, solution de premier rang. Il faut adopter une solution de second rang moins optimale mais implémentable) et à l’information incomplète/imparfaite (ex: asymétrie d'information entre différents niveaux de gouvernement, entre un vendeur et un acheteur d'occasion). L'économie normative cherche à savoir compte tenue des contraintes quelle est la mesure qui présente le meilleur cout/efficacité

......205 5. Migration et croissance ..........................................................................................208 6. Doit-on craindre un retour du protectionnisme ? ...................................................220 7. La mobilité des facteurs de production ..................................................................232 8. Assiste-t-on à une transformation du capitalisme ? ...............................................240 9. Les incidences économiques du vieillissement

moitié du 20ème siècle : le Mexique en 1994, la Thaïlande, l’Indonésie et la Corée en 1997, la Russie et le Brésil en 1998. Des analyses ont mis en évidence la vulnérabilité des régimes de change intermédiaires, dans les pays ouverts aux flux de capitaux, face aux attaques spéculatives (Kose et Prasad 2004, Fischer 2001, FMI 2000, Bubula et Otker-Robe, 2004). Ces analyses suggèrent la disparition des régimes de change «intermédiaires» et la polarisation vers des régimes extrêmes ou ce qu’on

renverse l'arbitrage travail-loisir au profit du loisir. b) La demande de travail • Hypothèse de capital fixe. L'analyse est de courte période : la courbe de demande individuelle de travail, décroissante par rapport au taux de salaire, se confond avec la portion de la courbe de la productivité marginale du travail en valeur située en-dessous de la courbe de productivité moyenne. • Hypothèse de capital variable. L'analyse est de longue période : la variation du taux de salaire induit une modification

premier ordre d'un programme de maximisation du profit en concurrence imparfaite. B. La problématique de l'allocation des ressources L'analyse marginaliste rompt avec l'analyse classique en mettant l'accent non plus sur les questions de reproduction et d'accumulation mais sur la question de l'allocation des ressources. Les économistes classiques était préoccupés par les conditions sur l'offre des ressources (travail, capital, terre) assurant la pérennité de l'économie. Les marginaliste eux, vont

d’échange. La monnaie définit elle-même l’intermédiaire des échanges. Elle est l’actif le plus liquide par excellence. Un actif liquide peut être facilement transformé en moyen de paiement sans perte de capital. L’action n’est pas un actif liquide car son échange peut entraîner des pertes de capital importantes. Pourquoi l’on détient la monnaie et non pas des actifs qui se font rémunérer ? C’est parce qu’on veut la liquidité. La monnaie est un facteur d’intégration dans la société. Elle a une