Modele Revenu Depense

....................................................................... 8 TP Séances 1 : Chapitre II et V. ....................................................................................................................... 15 Chapitre VI : Le modèle IS/LM......................................................................................................................... 19 Chapitre VII: Le marché du travail. ................................................................................

Les dépenses publiques Intro : * dépenses publiques dans l’histoire économique moderne. Au 19ème : 10-12% du PIB en France. La 1ère GM : 30% 2ème : 40% 54% aujourd’hui. Evolution commune à tous les PDEM * Peut être vu comme : * le signe d’un progrès de la civilisation (Loi De Wagner « Plus la société se civilise, plus l’Etat devient dispendieux » Fin 19ème.) * Le signe d’ « effets de déplacements » selon la thèse de Peacock et Wiseman (67). * Après 45, véritable

division du travail. II.Les principales instances d’intégration. a.Le travail Sa place dans la soc. augmente. Moyen d’intégration et de construction de l’identité. Fait exister un collectif où chacun a sa place et donne un rôle social. Assure un revenu Valorise socialement Assure ou non des prestations sociales. Très chargé au niveau symbolique. b.La famille Transmet des normes et des valeurs. Lieu d’activité commune (partage des taches, loisirs…). Peut-être lieu d’activité éco (aide les

sous l’angle des motivations, des influences ainsi que l’usage des biens et services consommés et surtout leur rôle symbolique. Contrairement à ce que mentionnent certains économistes qui pensent que la conso varie uniformément selon l’échelle des revenus, les sociologues observent les modes de conso en montrant qu’il y a une variation des besoins et des goûts selon les catégories sociales. Qu’ils s’agissent des aliments que l’on mange, des vêtements que l’on porte ou même le nombre de fois où l’on

variations des prix; quand il s'agit d'ensembles plus larges, la croissance est évaluée à partir du produit intérieur brut (PIB), qui représente le produit global en termes réels, ou à partir du produit national brut (PNB), qui tient compte des flux de revenus des facteurs économiques entre un pays et le reste du monde. La croissance dépend de l'augmentation des capacités de production. Son analyse passe par l'étude des facteurs économiques qui conditionnent le processus de production. En effet, le

La consommation des ménages L’activité principale des est la consommation. Le revenu (salaire) disponible aux ménages est utilisé essentiellement dans le but de la dépense en biens de consommations. Le volume et la composition de la consommation dépendent de multiples facteurs. Au cours du temps, avec la croissance économique, la structure de la consommation se modifie. Problématique : Comment a évolué la consommation des ménages en France ces quarante dernières années dans sa structure ?

corruption a pour but d’étudier quels sont les facteurs, les comportements, qui peuvent faire qu’un individu passe d’un état « de citoyen simple exerçant ses fonctions » à un état corrompu. Ce mémoire a pour objectif d’expliquer quelques idées et modèles simples (l’approche « contractuelle » de la corruption notamment) afin de voir ce qui a déjà été étudié, les solutions qui ont pu être avancées et/ou trouvées, et ce qui éventuellement pourrait l’être à l’avenir. Dans une première partie, nous

élasticités prix et revenus 1. L’élasticité du prix Egale sensibilité de la demande par rapport au prix Une demande est élastique si à une légère baisse correspond une hausse de la demande. E(p) < -1 ou -2 ou -3 … [pic] Une demande est inélastique (ou rigide) au prix lorsqu’une variation du prix a peu de conséquences sur la demande E(p) > -1 (ou -0,1, -0,2) 2. L’élasticité du revenu Egale la sensibilité de la demande pour un bien aux variations du revenu - Biens inférieurs

des modèles basés. Les théories sont utilisées pour construire des modèles à partir desquels on obtient des prédictions quantitatives. Prédire n’a réellement d’utilité que lorsqu’on peut chiffrer des prédictions. C’est une des raisons pour lesquelles l’économiste construit des modèles mathématiques pour décrire les comportements des différents acteurs économiques en utilisant pour cela des données statistiques pour chiffrer l’amplitude de ces comportements ou de ces choix. Avec ces modèles mathématiques

épargne-investissement : - de maîtriser les soldes significatifs d'une balance des paiements, c'est leur aspect analytique ; - d’expliquer les mécanismes d’ajustement de la balance des paiements par les effets-prix (théorème des élasticités-critique) et par les effets-revenu (théorie de l’absorption) ; - de montrer que selon l’approche monétaire de la balance des paiements, tout déséquilibre de la balance des paiements est la contrepartie d’un déséquilibre sur le marché de la monnaie. De ce point de vue, la dépréciation