Modernisme

pénalisé le Sud marocain, et par extension tout le Maroc, pendant de longues années. Cet écrivain « enragé » n’a cessé d’inciter les autres écrivains marocains engagés à purifier l’identité collective et la culture marocaine de tous les afférents du modernisme : « Nous devons nous imposer, il est temps. Nous dénoncerons les malfaiteurs qui strient les chairs de notre peuple, essayer d’abolir les traditions les plus proches des ferrements. Proclamer la liberté. Ce n’est pas sans raison que je m’exile ici »

peut se rappeler d’ailleurs la démarche de certains, à l’époque du post-modernisme, qui par soucis d’égalitarisme, voulaient confondre les valeurs et refuser d’établir une hiérarchie entre celles-ci. Ce post-modernisme va être « contre-culturel » car il va créer une confusion générale des valeurs, et instaurer un refus de la hiérarchie dans la culture. Cela va conduire à une sorte de désordre, car ces acteurs du post-modernisme vont mettre sur le même plan l'art et ce qui n'était pas vu comme art

mouv) ou le style moderne inspiré plus ou moins du futurisme avec matériaux moderne (béton , fer , acier) Comment Musso va t-il choisir ? -> ne choisit pas et ménage les deux courants I) Comment vont se combattre le pastiche et le modernisme ? Entre le modernisme et le sabaudismo. Le sabaudisme -> pastiche d'une architecture régionale qui parfois va copier les styles étrangers et qui met en avant les traditions de la construction. Ce sont des matériaux anciens (pierre , brique ect) et des styles

rencontrer le mouvement du « modernisme » en Espagne et en Amérique du Sud. Le modernisme est cosmopolite, non seulement parce qu'il est le fait d'écrivains venus de pays différents (Rubén Darío est originaire du Nicaragua, Manuel Gutiérrez Nájera du Mexique, José Asunción Silva de Colombie, etc.), mais aussi parce qu'il est ouvert aux influences étrangères. Darío parle de son « gallicisme mental » ; d'autres se réfèrent à Verlaine, à Rimbaud, à Laforgue. Le modernisme est sensible aux suggestions

passivement ce que le grand capital voulait leur faire achter. Triomphe du rock-and-roll, idiome ado dérivé du blues urbain né spontanément dans les guettos noirs d’Am de nord, montre que les masses savent reconnaître ce qu’elles aiment. 2) La mort du modernisme qui avait légitimé créat° artistique non utilitaires et justifié l’emancipation des artistes de toutes contraintes. =art d’avant-garde, reposant sur le rejet des conventions libérales et bourgeoises du XIXe et sur nécessité éprouvee de créer art

III. PRESENTATION DES PERSONNAGES PRINCIPAUX : 1) Ibrahima Dieng C’est le héro de l’œuvre. Il représente l’Afrique qui subit tout ce que l’occident implanta en elle. Cette Afrique traditionnelle qui a du mal à s’accommoder avec le modernisme Occidental. 2) Mety et Aram : Elles sont les deux épouses respectives de Dieng. Elles symbolisent l’image de la polygamie africaine, où plusieurs (illustrent) leurs épouses, bien que partageant le même époux, s’entendaient normalement.

casa Batlo 4)Le Parc Guell Description: Le nom: En 1905 les époux Mila de la chute bourgeoise catalane demandent à Gaudi la construction de l'édifice. Aussi appelée la Pedrera(la pierre) car elle est entièrement construit en pierre. Le style: Le modernisme, c'est l'art nouveau Espagnol, il y a une rupture avec l'architecture classique. Les oeuvres on été beaucoup critiqué, il cherche de nouvelle forment. Il accorde une valeur esthétique au objet de la vie quotidienne,il s'inspire de la nature. Pour

modèles, de deux visions de l'Histoire, de deux systèmes de Valeurs. Le marquis de Lantenac incarne l'Ancien Régime, celui du Sacré, de la Tradition, de la Fidélité, de l'anti-matérialisme au profit du spirituel, tandis que son neveu incarne le modernisme et l'idéalisme révolutionnaire et républicain. Un troisième personnage plane sur ce livre et éclipse ces deux protagonistes par le caractère fouillé qu'en donne Hugo, il en est le personnage principal, il s'agit de Cimourdain, l'envoyé du comité

comme mobilité, mobilisation, automobilisation, tendance moderne ne peut s’assigner un terme. Zygmunt Baumau : réaffirmation incessante de la valeur du progrès conduit à l’érosion, la fragilisation de ses fondements. CL° : Nous sommes sortis du modernisme défini comme croyance en la viabilité d’un projet collectif rationalisé. On assiste à l’affaissement de la modernité mais celle-ci connaît un crépuscule interminable. La modernité est aujourd’hui fissurée : sans être déchue, elle ne peut se revendiquer

s'affirmer. L'esthétique, le prix élevé ou la marque de certains produits flattent et sont achetés alors que le besoin réel n'existe pas. Chacun veut être à la mode, faire preuve d'un certain standing Nouveauté : curiosité à satisfaire, goût du modernisme, besoin de changer, envie de se renouveler, attrait de l'inconnu, tous ces facteurs peuvent jouer un rôle déterminant dans un achat. Confort : ce besoin est le moteur même du monde moderne, il est la base de toutes les recherches en gain de temps