Modeste Proposition

quatrains, car ceux-ci sont consacrés à la vision de la morte dans le tombeau, tandis que les tercets évoquent la punition que lui fera subir la mort. Examinons le poème strophe par strophe : Premier quatrain : En évoquant un avenir dans une proposition circonstancielle de temps commençant par «Lorsque tu dormiras», Baudelaire s’adresse à une femme qu’il tutoie, ce qui indique le lien (connivence, proximité) qui l’unit à elle. Il l’appelle «ma belle ténébreuse», ce qui n’est pas tant la féminisation

générale) : "Qui vivra, verra". - Le futur proche s'exprime avec le verbe « aller » au présent de l'indicatif suivi de l'infinitif : Je vais essayer de garder mon sang froid. - Devant le 'si' de condition, le futur se met à la proposition principale devant le présent de la proposition subordonnée : si + présent = futur simple : si tu étudies, tu iras au cinéma.

montrer dans leur réalisation, dans leur réalité. En général, dans la proposition subordonnée on utilise l'indicatif, à différence des propositions subordonnées de but dans lesquelles le subjonctif va être le mode verbal choisi. • LE BUT: Exrpimer le but c'est montrer que les résultats, les effets d'une action, d'un fait ou d'un événement sont voulus, désirés. Cela explique la présence du subjonctif dans la proposition subordonnée. • Il faut noter que toute phrase causale implique une

le genre romanesque. - le style indirect libre: est un type de discours indirect, dont la particularité est de ne pas utiliser de verbe introducteur, autrement dit, la proposition subordonnée contenant l'énoncé cité, se retrouve privée de proposition principale : en conséquence, l'énoncé cité devient normalement proposition principale.

épaulait » Présentatif : « Ce fut la meilleur position qu’il chercha pour bien sentir les balancements des cinq tonnes de métal qu’une nuit mouvante épaulait » 11) «  Il s’assura qu’elle ne glissait pas » Il s’assura : proposition principale qu’elle ne glissait pas : proposition subordonnée conjonctive, introduite par la conjonction de subordination que, complément d’objet direct de « s’assura ». 12) Futur simple : « il s’étira un peu, appuiera sa nuque au cuir du siège, et commencera cette

Les propositions subordonnées complétives. -Les propositions complétives sont des propositions subordonnées qui se substituent, (dans certains cas déterminés et selon certaines règles à préciser), à des groupes nominaux (GN) constituants du groupe verbal (GV), ou plus rarement au GN sujet, voire à des GN compléments de noms et d’adjectifs. -Selon le mécanisme syntaxique mis en jeu pour leur formation, on distingue les complétives introduites par que (ou conjonctives) ; les constructions infinitives

catégories peuvent également jouer le rôle d’attribut du sujet : un nom (avec ou sans déterminant), un pronom : Natacha est (une) infirmière. Elle l’est. un groupe nominal : La féminisation des noms de professions est une chose scandaleuse. une proposition subordonnée relative substantive C’est-à-dire une relative sans antécédent. : Elle n’est pas qui vous croyez. un infinitif : Souffler n’est pas jouer. etc. Les verbes attributifs Les verbes essentiellement attributifs : le verbe être, les verbes

 GRAMMAIRE : Une proposition subordoné relative est introduite par un pronom relatif : QUI , QUE , DONC , OU , DUQUEL , LEQUEL , LAQUELLE , AUQUEL .(+ Verbe conjugué) , sa fonction grammatical et de completer le nom qui la précéde qu'on appelle l'antécédent , on diras donc quelle est complement de l'antécédent . L'adjectif qualification peut etre epithéte lorsqu'il et placé a coté d'un nom qu'il qualifie , il peut egalement etre atribut du sujet lorsqu'il

a) Elle ne lui dit rien : elle savait sa susceptibilité. Proposition indépendante juxtaposée. b) Il s'était fié par optimisme à sa chance. pleurant de rage Groupe nominal introduit par une préposition, CC de C c)  Elle était peinée de le voir contrarié. Il s'irritait d'avoir négligé ce conseil. Groupe verbal à l'infinitif introduit par une préposition

une histoire avortée. Fausse piste : tout cela n'était qu'une situation initiale stable, la mort de « La femme du lion » faisant en fait partie d'un rituel codifié. L'élément perturbateur du schéma narratif se situe au vers 25. On retrouve une proposition indépendante très brève (un hémistiche) comme au premier vers : « Le Cerf ne pleura point. » Au vers 28, le premier hémistiche, introduit par l'adverbe bien significatif « Bref» est une phrase simple qui reprend cet événement charnière. La forme